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  • Chrystel se touche en levrette sur le lit

Quelques clichés de Chrystel

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Chrystel, Justine, les autres

Chrystel est ma compagne.
Elle est belle et libertine.

Justine m'accompagne.
Elle n'existe qu'en rêve.

Entrez dans notre univers.
Laissez vos commentaires.


histoireslib at hotm**l.fr

Mode d'emploi

Certains textes sont des récits de nos soirées de luxure, d'autres sont le fruit de mon imagination... voyez les catégories dans le menu de gauche pour choisir votre univers !
Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 12:00
Il faut les chercher dans le menu de droite (catégorie "mes aventures libertines"), car elles n'apparaissent pas toutes sur la première page!

Voici le programme, par ordre chronologique :


Un trio endiablé avec ma copine et un homme qui nous a contacté via le net
Un de nos premiers trios, le premier dans notre appartement. L'homme, très BCBG, assez réservé de prime abord, se révèle au cours de la soirée très dominateur en actes comme en paroles. Chrystel, enculée très énergiquement pendant plus d'une demi-heure, répond par l'affirmative mais d'une voix haletante aux injonctions ordurières de son étalon : "
Toi, tu aimes ça te faire baiser par le cul. T'es une bonne salope !". La double pénétration qui a suivi, avec deux bites bien dures, l'a amenée au septième ciel.

Enculée par un jeunot en club échangiste début juillet 2006

Un soir caniculaire de juillet en club, on s'ennuie un peu. Crystel repère un jeune homme (environ 20 ans), mignon et manifestement en quête d'une aventure. Elle le chauffe sur la piste et, bien que le garçon soit très réservé et que l'on n'ait pas beaucoup de choses à se dire, nous allons dans un "coin calin" ensemble. Il ne dit toujours rien mais guide rapidement et sans fioritures la bouche de Chrystel sur ses couilles. Le jeune homme, sûr de son physique et sûr de lui,  doit penser qu'il peut être dominateur avec cette femme bourgeoise de 10 ans son aînée, qui s'habille comme les nanas des films pornos (chaussures plates-formes à semelle en plexiglass, robe qui révèle plus qu'elle ne cache, sous vêtements sexy, chaînette de cheville). Il n'est pas contredit par Chrystel qui, à quatre pattes, s'applique à lui lécher les couilles alors que je la baise et se laisse guider par lui qui la tient fermement par les cheveux. Il a un sourire en coin, mais ne dit toujours rien. Il la baise ensuite quelques minutes en levrette. Rapidement, il lui met un doigt dans le cul tout en continuant à la baiser. Puis, fidèle à son attitude, il entreprend de l'enculer sans se préoccuper de l'avis de Chrytel ou du mien! Je pense alors que la miss va protester mais, passé les grognements provoqués par la pénétration initiale, elle pousse des petits gémissements de plaisir et se masturbe avec vigueur. Il l'encule sans ménagement, excité de constater qu'elle aime ça... profondément!

Le pompier met le feu au cul de Chrystel
Chrystel et moi faisons la connaissance chez nous d'un pompier libertin de notre région, habitué des trios et des soirées plurielles. L'homme est dominateur et même un peu macho. Lui et moi nous relayons pour baiser la miss, après moult préliminaires. Je sodomise Chrystel alors qu'elle enlace notre ami et quelques temps après, il lui baise le cul sauvagement en levrette. Nous l'avons prise en double dans plusieurs positions, ce qui a toujours un effet terrible sur elle. Elle et lui ont terminé la soirée en faisant l'amour de manière plus conventionnelle...

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines
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Mardi 17 avril 2 17 /04 /Avr 14:47
Bonjour à toi, visiteur !

Une idée me vient à l'esprit : si le coeur vous en dit, proposez des idées de scénarii / jeux de rôles que ma copine et moi pourrions réaliser. Nous fantasmons tous les deux là dessus, mais n'avons jamais eu l'occasion de le faire... Nous avions pourtant failli sauter le pas lorsqu'un internaute avait proposé à Chrystel de lui faire passer un entretien d'embauche pour un poste de secrétaire avec un de ses potes... a ma grande surprise ça l'avait vachement excitée !!! Elle était bien branchée pour le faire, mais il y avait malentendu, les mecs habitaient trop loin... C'est d'ailleurs cette proposition qui a inspirée mon histoire de l'entretien d'embauche publiée dans ce blog...

En retour et si votre scénario nous excite, je vous raconterais comment s'est passée sa réalisation, avec si possible des photos!!!

A vos claviers!


Par David - Publié dans : Généralités / débats
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Mercredi 14 mars 3 14 /03 /Mars 10:42
Avez-vous aimé l'histoire fantasmée de l'entretien d'embauche? Si oui, je publierai la suite!!! Donnez-moi votre avis sur l'histoire et vos idées pour une suite...
David
Par David - Publié dans : Généralités / débats
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Mardi 13 mars 2 13 /03 /Mars 11:14
Hello à tous!

ça serait sympa de laisse des commentaires...  j'adoooooooooore!

Et ça m'encouragerait à continuer!

A bientôt!
Par David - Publié dans : Généralités / débats
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Vendredi 9 février 5 09 /02 /Fév 10:16
Allez jeter un oeil...

http://humour.tronche-de-bite.com/citations/citations-1.htm
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Quelle inspiration!
Par David - Publié dans : Généralités / débats
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Mardi 6 février 2 06 /02 /Fév 16:56
A déguster sans modération!

Par David - Publié dans : Photos de nous... enfin, surtout d'elle!
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Mardi 6 février 2 06 /02 /Fév 15:56

Encore une histoire vécue... commentaires bienvenus!!!

Sur les conseils d'un couple d'amis pratiquant les trios, nous avons pris contact avec Frédéric, un pompier professionnel très sportif, libertin très actif a ses heures. Ils l'avaient rencontré lors de leur première soirée pluralité masculine au cours de laquelle, en plus de notre couple d'amis, trois hommes étaient présents. Ils ont alors trouvé Frédéric bien foutu et plutôt mignon. Nos amis nous préviennent toutefois qu'ils l'ont trouvé assez dominateur, à tel point que Marc, l'homme du couple, s'est vite senti dépassé et mis de côté. Nous mettons ceci sur le compte de l'ambiance de type « vestiaire de foot »qui doit règner dans les soirées pluralité masculine, peu propices a priori au romantisme. Très rapidement, nous faisons une cam avec Frédéric et l'invitons chez nous. Habituellement, nous prenons le temps de rencontrer au café ou en boîte les hommes seuls et les couples qui retiennent notre attention sur Internet, mais cette fois ci, notre excitation du moment et la recommandation de nos amis ont eu raison de la règle.

Frédéric arrive vers 21h comme convenu, avec une bouteille de champagne à la main. Nous prenons place, moi dans un fauteuil et eux sur deux canapés différents, et engageons difficilement la discussion. Chrystel me fera remarquer plus tard qu'il n'adressait la parole qu'à moi, la délaissant totalement. Son objectif, semble-t-il, est de me convaincre qu'il n'est pas un danger pour notre couple, simplement un bon ami qui vient s'amuser avec nous. Ce discours est totalement inutile puisque nous pensons connaître et assumer les risques du libertinage et que nous ne nous engageons pas dans quelque amitié que ce soit lorsque nous connaissons les personnes depuis une heure ou deux. Qui plus est, Chrystel attend des hommes qui viennent chez nous un minimum de séduction, avant de passer à l'action!

Il faut croire que l'excitation de Chrystel a eu raison de sa fierté et de ses réticences liées à l'attitude de notre ami, a moins que ce ne soit les apéritifs qui s'enchaînent : elle le rejoint sur son canapé, se plaçant à côté de lui. Pour détendre l'atmosphère, je dis en m'adressant à Chrystel « Toi, tu as envie de t'amuser ce soir! », ce à quoi il répond, non sans avoir placé sa main droite sur la cuisse de sa nouvelle voisine, devançant la pensée de la miss et la regardant dans les yeux « On est là pour ça, non? ». Il lui fait alors un compliment sur sa tenue vestimentaire qu'il trouve très sexy : elle est vêtue comme à l'accoutumée d'une robe noire très courte qui laissent apparaître ses bas autofixants. Il lui dit que ses bas sont très jolis et je suggère alors à Chrystel de nous en montrer davantage. Elle ne se fait pas prier pour relever sa robe et découvrir son shorty en dentelles noires. Je lui demande alors de se lever pour nous faire admirer sa cambrure sublimée par des chaussures plate-forme transparentes hautes d'une quinzaine de centimètres. Frédéric apprécie, visiblement très excité. Alors que Chrystel fait des allers et venues dans le salon, Frédéric dit que ses potes libertins et lui appellent ce genre de chaussures des chaussures de salope... L'excitation semble à cet instant l'emporter sur la fierté de Chrystel, qui se dirige vers le canapé et se poste debout devant notre invité, les jambes légèrement écartées, comme pour corroborer ses propos irrévérencieux, à moins que ce ne soit pour y mettre un terme. Frédéric caresse l'extérieur de la jambe droite de Chrystel avec sa main gauche, tandis que sa droite lui fait l'intérieur. De mon fauteuil, je ne vois que la croupe de Chrystel encore revêtue de sa robe, mais je devine rapidement le manège de notre invité lorsque ma chérie pousse un « han » tonitruant. Elle se met alors à se dandiner, alors que je peux voir le bras de Frédéric faire de lents vas-et-vient verticaux. Probablement dans le souci louable de me faire profiter du spectacle à moins que ce ne soit par pure perversité, la main gauche de Frédéric poursuit sa course le long de la jambe de Chrystel et soulève au passage sa robe, me dévoilant ainsi la partie la plus charnue de l'anatomie de ma belle. Sa main ne lui caresse pas les fesses, elle me les exhibe. Lorsque, ivre d'excitation, Chrystel se penche pour embrasser Frédéric, les mains de ce dernier quittent momentanément leur poste pour faire glisser son shorty le long des jambes de Chrystel. Puis la main gauche retrousse la robe, et la main droite reprend ses vas et vient de plus belle. Alors que Chrystel s'assoit à côté de Frédéric, je les rejoins sur le canapé et nous la pelotons comme des assoiffés de sexe, nos mains se croisant sur ses seins ou sur son mont de Vénus. Elle mouille abondamment sous l'effet conjugué de nos doigts dans sa chatte et sur son clito, gémit, écarte ses jambes au maximum, l'une sur mes genoux l'autre sur celles de Frédéric pour offrir totalement le centre de son plaisir à nos assauts. Nous l'embrassons de concert sur les tétons, dans le cou, sur la bouche... Elle se retrouve vite nue entre nous deux, parée seulement de ses bas, de ses chaussures et d'une petite ligne verticale de poils sur son pubis, de style « ticket de métro ». Elle dégrafe alors le jean de Frédéric et, se couchant sur le côté, commence à jouer avec sa bite. La position est idéale pour que je lui bouffe la chatte, alors qu'elle prend le sexe durci de Frédéric en bouche. Je lèche le clito de Chrystel, déguste sa mouille et goûte son anus, à la saveur si délicate. Je la doigte avec vigueur, lui arrachant des soupirs étouffés par la présence du membre de Frédéric dans sa bouche. Frédéric prend une pause pour se déshabiller, ce que j'achève de faire également. Nous reprenons notre orgie, en changeant les rôles : il la lèche goulûment, elle me suce passionnément. Elle se met en levrette et je lui écarte les fesses, si bien qu'il a sa chatte et son anus à sa disposition et que je peux admirer la scène Ô combien excitante de ma copine en train de se faire bouffer le cul. La langue de Frédéric titille alternativement les deux orifices et je profite d'un instant où elle quitte le petit trou de la belle pour s'occuper de sa moule, le laissant bien lubrifié, pour y glisser un doigt. Il me sourit et lui doigte la chatte, alors que j'introduis un deuxième doigt sans difficulté dans le cul de Chrystel. Elle prend un immense plaisir à cette double pénétration, qui en laisse présager une autre de toute beauté plus tard dans la soirée. Après lui avoir ouvert le cul, j'écarte les fesses de Chrystel pour laisser le champ libre à Frédéric et admirer au passage le petit trou dilaté. Elle me suce toujour, me bouffe les couilles, tandis que nos doigts alternent entre sa chatte et son fion, se rejoignant même dans ce dernier : deux de mes doigts en rencontrent deux de Frédéric déjà en train de lui fouiller vicieusement le cul. La soirée s'annonce chaude!

Nous lui suggérons alors de nous sucer tous les deux en même temps. La proposition lui plaît : elle s'assied et nous lui présentons nos deux bites bien dressées, qu'elle suce alternativement. Nous la guidons sur nos sexes et sur nos couilles qu'elle lèche et suce sans relâche. Lorsque l'un est dans la bouche, l'autre passe son gland sur son visage, manifestant ainsi son impatience dans un esprit qui tourne à la domination soft, mais dans l'humour, la bonne humeur et le respect.

Nous la prenons ensuite à tour de rôle en levrette sur le canapé, l'un la besognant quand elle suce l'autre. Nous décidons alors de passer dans la chambre d'amis, pour des raisons de confort. Nous nous levons, Chrystel et moi nous embrassons langoureusement; lui, dans son dos, la caresse et l'embrasse dans le cou. Une idée perverse me vient alors à l'esprit : je suggère à Chrystel de se retourner, ce qu'elle fait. Elle enlace Frédéric et ils s'embrassent fougueusement à pleine bouche. Le spectacle est magnifique, ses chaussures lui faisant des jambes et un cul d'enfer. Je lui caresse le cul, alors qu'il lui fait tourner la tête en lui branlant le clitoris et en l'embrassant. J'enfile alors une capote et les rejoins. Je demande à Chrystel de se cambrer au maximum, ce qu'elle fait en écartant légèrement les jambes et en me demandant sur un ton faussement naïf : « Qu'est-ce que tu veux faire, toi? ». Je lui dit en souriant qu'un cul pareil, il faut l'utiliser. Le caractère cru de mes propos empourprent son visage, mais elle n'y voit aucune objection, excitée par la situation et par les doigts agiles de Frédéric. Après avoir lubrifié son anus avec un peu de sa mouille, je n'ai aucun mal à y introduire ma bite, ce qui traduit son excitation. Elle tend son cul au maximum, les bras autour du cou de Frédéric qui la regarde droit dans les yeux avec un sourire teinté d'un brin de perversité. Je l'encule bien profondément et me retire de temps à autre pour le plaisir de connaître à nouveau le délicieusement subtil instant de la pénétration dans un anus ouvert. Le visage de Chrystel devient écarlate, probablement sous l'effet conjugué du plaisir et de la gêne que lui occasionne la situation : elle est pendue au cou de quelqu'un d'inconnu trois heures auparavant qui la regarde se faire enculer et y prendre du plaisir. Il lui caresse les cheveux, l'embrasse, lui sourit, échange avec elle des regards complices qui lui font également comprendre que bientôt, son cul sera à lui. Elle soupire et jouit sous l'effet conjugué des doigts de Frédéric sur son clitoris et de ma bite dans son cul.

Nous allons alors nous installer sur le lit de la chambre d'amis. Frédéric baise Chrystel longuement en missionnaire puis en levrette. Nous intervertissons une nouvelle fois les rôles Frédéric et moi et, au terme d'une bonne baise en levrette, j'atteins la jouissance et me répands dans le latex. Il est rare que Chrystel jouisse dans ces soirées, paradoxalement, alors qu'elle est prise pendant des heures et que les situations l'excitent au plus haut point. Son plaisir s'arrête à celui qui précède la jouissance, lequel est pour les hommes comme pour les femmes le plus subtil des plaisirs charnel. Sans savoir si ce terme est répandu, nous appelons elle et moi cet état de grâce le « plateau », longue étendue paisible et verdoyante qui mène au septième ciel.

Ce soir là, je n'ai pas débandé une seconde après avoir éjaculé. L'excitation provoquée par la situation devait y être pour quelque chose!!! J'ai retiré ma capote et suis allé me placer devant le visage de ma chérie, toujours à quatre pattes et cul en l'air, alors que Frédéric s'était lui équipé d'un préservatif. Il était derrière Chrystel, se masturbait lentement d'une main et malaxait les fesses de la belle de l'autre en reluquant le cul charnu qui s'offrait à lui. Fidèle à son habitude de ne s'adresser qu'à moi, il dit : « C'est vrai qu'elle a un super cul... ». Enfonçant profondément son pouce dans l'oeillet de ma belle, il ajouta : « A mon tour d'en profiter! ». S'adressant à elle, pour une fois, il continua tout en la doigtant de plus en plus vigoureusement : « Je vais t'enculer, ma belle! ». Il ponctua sa question d'une claque sur les fesses de Chrystel et remplaça son pouce par deux doigts dans son cul, l'ouvrant ainsi délicatement. La voix haletante, elle répondit un « Oui » étouffé. Il la pénétra alors sans fioritures. Frédéric était très sportif et très endurant, de par son métier. Il la bourrait aussi fort qu'il pouvait et à un rythme soutenu. Constatant aux râlements de la belle que ceci était loin de lui déplaire, il accéléra son entreprise de démolition et lâcha, au comble de l'excitation : « Ah David, tu as raison, ça aurait été dommage de passer à côté de ça! Elle a un cul d'enfer ». Chrystel gémissait sous les coups de boutoirs réguliers de Frédéric, qui constata alors « Mais c'est qu'elle aime ça se faire enculer, la miss! ». Elle avait arrêté de me sucer, trop concentrée sur son plaisir venant de derrière. J'étais assis et lui avait plaqué les épaules contre le lit, de manière à ce que son cul soit offert au maximum. Elle lui répondit d'une voix rauque « Oui, c'est bon, continue! ». Il accéléra encore la cadence et lui arrachait des petits cris saccadés. Ce salop la chevauchait au galop, la tenant par les cheveux et lui administrant régulièrement des petites claques sur ses fesses charnues. Le visage de Chrystel était aussi écarlate que ses fesses et ses gémissement étaient étouffés par la présence de ma bite dans sa bouche, gonflée à bloc par le spectacle que j'avais sous les yeux. Il ralentissait parfois la cadence pour lui donner de véritables coups de boutoir qui la faisaient crier plus fort et qui avaient pour effet d'enfoncer un peu plus ma bite dans sa bouche. Elle les encaissait sans problèmes, tant son cul était ouvert. Fort de son expérience, Frédéric avait compris qu'il pouvait dorénavant y aller sans retenue et il ne se privait pas. Il était encouragé par les gémissements de Chrystel, au comble du plaisir. Nous l'avons alors prise en double : alors qu'elle chevauchait Frédéric, je la baisais dans le cul. Elle était folle de plaisir et criait tout son saoul. Frédéric lui léchait les seins à grand coups de langue et moi, je donnais le tempo de sa jouissance par derrière. Après avoir tenu cette position quelques minutes, j'ai joui une deuxième fois dans le cul de Chrystel. Je ne débandais pas sous l'effet de l'excitation, mais je laissais Frédéric et Chrystel se faire plaisir à deux. Il l'a baisée en missionnaire et joui sur ses seins. Depuis cette soirée, nous ne l'avons pas revu, mais il a parlé de Chrystel à nombre de ses collègues libertins qui sont sur les rangs...

 



Par David - Publié dans : Mes aventures libertines
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Mardi 23 janvier 2 23 /01 /Jan 12:45

Cher Maître,


Comme vous le disiez avec force lors du dernier conseil, nous devons savoir nous entourer des bonnes personnes si nous voulons mener notre noble entreprise à bien ; aussi nous efforçons-nous d’apporter notre pierre à l’édifice. Nous venons en effet d'auditionner une candidate d’exception, Chrystel T.. Nous ne doutons pas que ses talents vous surprendront.


Elle possède une qualification supérieure et son apparence est irréprochable. C’est bien le minimum que l’on puisse attendre pour les tâches hautement stratégiques qui lui seront dévolues, me direz-vous. Mais l’essentiel n’est pas là. Elle est mignonne et très sexy ; on perçoit aisément chez elle une sensualité débordante dévoilée par un regard mutin, malgré une timidité de façade toute relative. L’expérience nous a montré que c’est une jouisseuse de la vie : elle sait apprécier ce qui est bon et semble insatiable pour tout ce qui est susceptible de satisfaire ses désirs. Elle est par ailleurs profondément altruiste et apporte un soin particulier à la satisfaction des désirs des autres, avec abnégation.


Elle est arrivée à l’entretien d’embauche accompagnée de son mari ; nous avons tout d’abord pensé qu’il s’agissait d’un moyen pour elle de se rassurer, mais nous avons vite compris que ledit mari souhaitait assister à l’entretien pour conseiller sa femme dans ses choix, le cas échéant.


La commission de recrutement était constituée de M. Masoch, directeur des ressources humaines, et de moi-même. Une seule candidate a été auditionnée, son CV la positionnant d’emblée bien au dessus de toutes les autres.


Après quelques tests techniques destinés à évaluer la solidité de ses acquis, nous lui avons demandé de dévoiler un peu sa personne : M. Masoch, jamais à court d’idée (vous le connaissez !), lui suggéra de nous montrer ses seins, ce qu’elle fit de bonne grâce. Elle déboutonna et enleva son chemisier puis dégrafa son soutien-gorge de manière à dégager sa poitrine. Ses seins sont relativement petits mais très bien galbés ; ses tétons pointaient, dévoilant par là une certaine excitation. N’y tenant plus, je me levai pour la palper en bonne et due forme, lâchant un « vous me semblez avoir les qualités requises pour ce poste, ma chère ! ». En portant sa main sur mon entrejambe, elle rétorqua : « Vous paraissez avoir également quelques qualités indéniables… ». Son mari, resté discret jusqu’alors, dit à sa femme : « Ma chérie, je crois que c’est le moment ou jamais de montrer tes qualités et ton savoir faire à ces messieurs si tu veux avoir le poste ! ». Joignant le geste à la parole, il glissa sa main sur les cuisses de la belle en remontant jusqu’à son entrejambe. Le geste fit son petit effet : les pommettes de Chrystel s’empourprèrent et elle laissa échapper un soupir de contentement, qui valait consentement. N’y tenant plus, elle dézippa ma braguette et empoigna mon braquemart qu’elle prit en bouche avec une délectation non dissimulée.


M. Masoch, un temps dépassé par la situation, se décida enfin à reprendre l’évaluation de notre candidate. Après avoir ôté méticuleusement son pantalon et son caleçon, il présenta son dard dressé à notre future collaboratrice. Heureuse de pouvoir montrer ses talents de pompeuse au DRH, sa bouche délaissa mon sexe pour honorer ce nouvel objet de plaisir. Dans les moments qui suivirent, elle alterna entre ma queue et celle de M. Masoch, en bonne besogneuse aguerrie à la chose. Le mari continuant à lui donner du plaisir avec sa main, l’excitation de la belle était à son paroxysme…M. Masoch jugea l’instant propice pour changer le ton de l’entretien, afin de voir si la candidate était capable de faire face à l’adversité. « Maintenant, tu vas nous montrer ton cul, petite salope », lui dit-il. Il s’était tourné vers le mari et l’avait regardé droit dans les yeux, de manière à prendre un ascendant psychologique sur lui. En effet, si les moments qui avaient précédé avaient convaincu notre DRH de la qualité de soumise de la candidate, un doute subsistait quant aux intentions de son mari. Ce dernier se fendit d’un sourire gêné et piqua un fard, soit qu’il se sentait humilié d’être impuissant dans une telle situation, car sa femme voulait ce job par-dessus tout et, qui plus est, elle semblait apprécier la tournure prise par l’entretien, soit que M. Masoch avait visé juste en devinant chez lui une certaine jouissance à voir sa femme prise en mains par deux hommes virils et dominateurs. Il esquissa une protestation de pure forme dans un grommellement qui révélait son excitation mais paradoxalement, il retira sa main de l’entrejambe de sa femme, la laissant ainsi libre de ses mouvements. Elle qui semblait rougir facilement était écarlate, sous l’effet de la conjonction du frottement des membres contre son beau visage et de l’excitation provoquée par le début de l’entretien, mais aussi et surtout consécutivement à l’ordre que lui avait donné M. Masoch. Elle se dressa sur ses talons face à l’assistance et releva la jupe de son tailleur pour dévoiler ses bas et son shorty en dentelles noires. Le mari avait sorti sa queue et se branlait en regardant la scène. M. Masoch, irrité que son ordre ne soit pas correctement exécuté, se leva, embrassa la belle à pleine bouche en empoignant sa crinière de la main gauche et en explorant son Mont de Vénus de la droite. La belle écarta les jambes pour lui ouvrir la voie, tout en gémissant. Notre lubrique DRH quitta la bouche et la chatte de la candidate et, en la maintenant par les cheveux, lui fit faire un demi tour. Il lui courba l’échine et la força à se cambrer, en tirant en arrière sur ses cheveux et en imprimant une pression sur ses reins, avec sa main droite. « C’est ton cul qu’on veut voir ; tu dois apprendre à exécuter les ordres correctement », lui dit-il. Elle acquiesça en gémissant de douleur, M. Masoch ne s’étant pas embarrassé de précautions superflues pour exécuter sa manœuvre. Il releva sa jupe sur ses reins, dévoilant ainsi sa croupe. Il fit glisser le shorty avec sa main et elle termina de l’enlever en faisant quelques mouvements de déhanchement, pour mon plus grand bonheur, celui de M. Masoch et, soyez-en certain, celui du mari. M. Masoch, en caressant la croupe de la pouliche, se tourna vers le mari et dit : « Ta femme a un cul d’enfer ; on va bien s’occuper de son petit trou à cette salope » ; il ponctua sa phrase d’une magistrale claque sur la fesse droite de Chrystel, en continuant de fixer le branleur dans les yeux. La claque fit réagir la candidate brutalement, qui rentra ses fesses en arrondissant son dos. M. Masoch tira sur ses cheveux de plus belle et lui intima l’ordre de rester cambrée. Le mari supplia d’une voix rauque et hésitante : « allez-y doucement, quand même ! ». M. Masoch sourit et, tout en lui fouillant l’entrejambe, demanda à Chrystel : « Tu n’aimes pas ça te faire enculer, salope ? ». Elle gémit sous les attouchements de notre collaborateur, mais tarda à répondre. Il lui claqua une nouvelle fois les fesses et réitéra sa question. Elle se dandina, mais pris garde à maintenir la posture, ce qui dénotait chez elle une certaine capacité d’apprentissage des règles… Elle répondit alors : « Si, j’aime ça ! J’aime me faire enculer ! Mon cul est à vous !» M. Masoch sourit et se tourna victorieusement vers le mari qui essuyait une nouvelle humiliation. Caressant la croupe de la pouliche qu’il venait de prendre en mains, il lui dit « C’est bien, tu es une bonne petite salope ; on va te donner ce que tu désires et en même temps, on va voir ce que tu vaux ». Il la conduisit par les cheveux vers le bureau et lui fit tendre son cul de nouveau, en direction du mari, pour que celui-ci ne perde rien du traitement infligé à sa femme.


C’est le moment que je choisis pour intervenir. Je me dirigeais vers la scène et, notre DRH s’esquivant d’un côté pour se faire sucer, je me plaçais de l’autre et j’empoignais à pleines mains le cul de notre future employée. Je le malaxais, le caressais et le fessais. Elle s’était mise à se masturber le clitoris, folle d’excitation. Je dis « M. Masoch, vous avez du flair : elle a un cul splendide ». A l’aide de mes deux mains, j’écartais au maximum ses globes fessiers. Son mari voyait ainsi sa femme exposée, la chatte béante. Il n’a pas fallu 10 secondes dans cette position pour que son anus s’ouvre légèrement. Il se referma, après nous avoir laissé entrevoir furtivement son intimité la plus cachée. Le mari se branlait, fou d’excitation. Sa femme se masturbait de plus belle et, bien décidé à en voir davantage, je recommençais le geste. Son très bel anus, bien lisse, réagit de la même manière. Lorsqu’il fut refermé, je laissai tomber de la salive sur sa raie écartelée, faisant le maximum pour que le filet atteigne sa cible, ce qui fut le cas : c’était son jour de chance. Elle haletait, M. Masoch imprimant un rythme d’enfer à ses va-et-vient dans sa bouche, avec son sexe durci. Dans un souci de transparence à l’égard du mari, je donnais l’ordre à sa femme d’écarter une fesse avec l’une de ses mains, de manière à libérer une des miennes. J’étalais alors la salive sur et autour de son anus ; pensant que cela ne suffirait pas, je récoltais un peu de sa mouille abondante dans sa chatte pour parfaire la lubrification de son fion. Elle avait dorénavant le buste appuyé contre le bureau, une main sur son clito, une autre sur une fesse. Sa tête inclinée vers le côté mettait sa bouche à la disposition du DRH. Il lui enfonçait sa bite au plus profond en la tenant toujours par les cheveux, lui passait de temps en temps ses couilles sur la langue et sur le visage, pour lui signifier sa nouvelle condition de subordonnée. Elle suçait et léchait à « tour de langue », en poussant des petits gémissements, comme on peut le faire lorsque l’on s’abandonne totalement. Ses gémissements se transformèrent en un grognement étouffé par la queue de M. Masoch, quand je lui enfonçais mon index dans sa rosette. Elle me regardait du coin de l’œil, je la fixais avec un sourire en coin et poussais mon avantage au maximum : son anus lubrifié accueillit mon doigt sans difficulté, l’excitation y étant pour quelque chose. Elle profita d’un moment de répit laissé par la queue de Masoch pour devancer ma question en me disant : « c’est bon… ». La simplicité du propos était touchante, mais je la soupçonnais de me flatter dans le but d'avoir le poste. C’était en tous cas une invitation à continuer, étant entendu que cette invitation était inutile puisque j’étais bien décidé à poursuivre l’exploration quoi qu’il en soit. « Ca n’est que le début !, rétorquais-je, je vais t’ouvrir le cul, ma petite salope… ». Regardant le mari et pensant le moment venu où son esprit avait basculé, je poursuivis tout en faisant aller et venir méthodiquement mon doigt dans les entrailles de la belle, avec un léger mouvement de rotation :


- Avec votre permission, bien sûr…

- Elle est à vous, grommelât-il en baissant les yeux.

- Je peux donc prendre possession de son cul ? insistais-je en introduisant un deuxième doigt dans l’anus, ce qui fit pousser un  « ahan ! » à l’intéressée, mi-gêne, mi-plaisir.

- Allez-y, enculez-la, si ça peut l’aider à obtenir le poste…

- Non, je vais le faire parce qu’elle aime ça, ta salope, dis-je, irrité par l'attitude négative du mari. Regarde comme elle aime ça se faire ouvrir le cul ! repris-je. 

- Bien sûr qu’elle aime ! Reprit M. Masoch en lui assénant une claque sur les fesses.


Etant toujours en avance d’un temps sur l’échelle de la perversité, il eut l’idée de démontrer ses propos au mari en interpellant la belle, dont la bouche s’était perdue quelque part entre les couilles et la cuisse de notre DRH. Elle dit, d’une voix étouffée : « Oui, j’aime ça, c’est bon…allez-y ! Continuez ! ». La chienne montrait un caractère très volontaire et cette phrase eut un certain effet sur son mari, qui se branlait de plus en plus fort et se tu à partir de cet instant, définitivement sous notre emprise.


M. Masoch écarta les fesses de la candidate et, comme je retirais mes doigts, on put admirer son trou béant.


Après avoir chaussé un préservatif, je forçais la porte d'entrée de la cité interdite de l’impératrice à coups de béliers puissants. Son cul était royal, mais elle couinait comme une cochonne, le souffle court et les yeux révulsés. Après quelques minutes de pur délice passées dans son cul, M. Masoch me demanda : « Puis-je ? ». Je lui répondis : « J’allais vous le proposer, mon cher ! ». Il l’empoigna de nouveau pas les cheveux et la fit se mettre à terre, les épaules contre le sol et le cul en l’air, offert à ses assauts. Il retira sa jupe, de manière à découvrir encore plus ses fesses; elle était dorénavant presqu'entièrement nue, seulement parée de ses bijoux, de ses bas noirs et de ses chaussures à talons. Quel contraste, si l'on songe qu'une heure auparavant cette jeune femme se rendait à un rendez-vous professionnel habillée comme une sainte-n'y-touche! Elle ne s'attendait certainement pas à se retrouver en pareille position... Masoch lui malaxait les fesses et l'on pu alors constater que son anus était franchement distendu, puisqu’il s’ouvrait tout seul. Un préservatif enfilé, il fondit sur elle comme l’oiseau sur sa proie et lui introduisit son énorme membre dans le fondement de la candidate; il poussa alors lentement mais avec fermeté son gland au plus profond de son colon. Elle se masturbait et, s’abandonnant totalement de manière à relâcher ses chairs, un filet de bave dégoulina de sa bouche sur le sol…Je me souviens m’être alors fait la réflexion suivante : « Si Masoch passe, toute la société peut passer ». Sans vouloir vous offenser, cher Maître, il est vrai que Masoch est monté comme un âne. Quoi qu'il en soit, il l’encula méthodiquement pendant une bonne quinzaine de minutes, comme il sait le faire. Il alternait de longues périodes de mouvements amples et rapides, qui la faisaient défaillir, avec des moments de calme pendant lesquels la fille au cul divin reprenait son souffle. Au terme de ce rodéo sauvage, Masoch eut envie de constater l’effet produit par son passage sur la rondelle de l’ingénue. Il se retira délicatement, écartant d’une main l’une des fesse charnues. Le diamètre du trou noir n’était pas à la mesure de celui du membre de son bourreau, ce qui déplut fortement à ce dernier. Il réintroduisit alors brutalement sa queue dans l’orifice encore béant en s’aidant de sa main droite. La jeune femme poussa un petit cri et releva sa tête en arrière. Il répéta ce geste 4 ou 5 fois, son gros gland élargissant le trou du cul de la belle de manière indécente. Un large sourire aux lèvres, Masoch lâcha son membre pour écarteler les fesses afin d’admirer le tunnel obscur de la petite bourgeoise délurée. Bien que malmenés depuis un bon moment, son anus et ses fesses gardaient de leur superbe. Je sais que vous êtes un fin connaisseur de cette partie de l'anatomie d'une femme, mon cher Maître; vous ne serez pas décu, quand vous aurez ce spécimen entre les mains, croyez-moi.

Masoch, ce pervers, intima alors l'ordre au mari de venir lécher le cul défoncé de sa femme tandis-qu'il se branlait au dessus du visage empourpré de sa future collaboratrice, sur le point de lui donner sa semence. N'y tenant plus, je rentrais à nouveau dans la danse, présentant ma queue gonflée à bloc à l'entrée de l'anus que le mari léchait avec application. Il se branlait de manière compulsive, ivre d'excitation. Je lui pris la tête, lui fourrai ma bite dans la bouche et lui dit : « suce bien cette bite qui va défoncer ta femme. Tu as intérêt à bien la lubrifier! ». Il devint tout rouge et s'exécuta, en se branlant de plus belle. J'enculais de nouveau Chrystel vigoureusement, alors que le mari écartait les fesses de sa femme pour assister au spectacle. Je lui demandais alors s'il voulait goûter; il compris tout de suite de quoi je voulais parler et, sans répondre, approcha sa bouche de mon sexe tout droit sorti du cul de sa femme. Je crois bien qu'il prenait goût à la bite et à l'humiliation... Pendant se temps, Masoch s'était vidé sur la joue de Chrystel, qui dégoulinait de sperme. Je décidais d'en terminer moi aussi et, après être retourné dans son cul, j'enlevais mon préservatif et éjaculais sur le dos de la candidate. A mon grand étonnement et alors que je ne lui avais rien demandé, le mari nettoya ma bite et lécha le sperme sur le dos de sa femme. Alors qu'elle se redressait, il s'embrassèrent à pleine bouche, partageant ainsi la trace de nos jouissances.


- Ma belle, vous avez passé avec succès la première audition, dis-je alors à Chrystel. Vous avez du talent et de la présence. Vous feriez selon nous une bonne collaboratrice, mais nous ne sommes pas les décideurs. Quelles sont vos disponibilités pour un deuxième entretien?


- Parce-qu'il doit y avoir un deuxième entretien?, répondit-elle, balbutiante.

- Oui bien sûr, car le poste sur lequel vous candidatez est hautement stratégique. D'autres membres du staf veulent vous voir. Prenez votre agenda, s'il vous plaît!, lui dis-je.


- Puis-je faire un brin de toilette quelque part avant, s'il vous plaît?, demanda-t-elle, légitimement gênée de parler boulot à poil et couverte de sperme.


- Nous sommes pressés, dit Masoch sur un ton qui ne souffrait aucune contestation. Vous irez prendre une douche plus tard, nous avons ce qu'il faut ici. Mais en attendant, bougez votre cul!


Nous avons fixé le rendez-vous à la semaine prochaine. Cela vous convient-il, cher Maître? Pensez-vous que le mari doive venir? J'ai hâte de vous présenter Chrystel, je pense qu'elle vous conviendra. En attendant, veuillez agréer, cher Maître, l'expression de mes sentiments dévoués.


Frère Dolmancé

Par David - Publié dans : Nouvelles pornographiques
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Mercredi 17 janvier 3 17 /01 /Jan 12:17
Tous les commentaires sont les bienvenus!
Par David - Publié dans : Photos de nous... enfin, surtout d'elle!
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Mardi 16 janvier 2 16 /01 /Jan 00:32
Une trèèèèès bonne peinture historiquo-littéraire...

http://www.bon-a-tirer.com/volume8/rt.html

Le titre de la revue (généraliste) n'a rien à voir avec le sujet! Bande de vicieux!!!!
Par David - Publié dans : Généralités / débats
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