Mai 2025 | ||||||||||
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Sur les conseils d'un couple d'amis pratiquant les trios, nous avons pris contact avec Frédéric, un pompier professionnel très sportif, libertin très actif a ses heures. Ils l'avaient rencontré lors de leur première soirée pluralité masculine au cours de laquelle, en plus de notre couple d'amis, trois hommes étaient présents. Ils ont alors trouvé Frédéric bien foutu et plutôt mignon. Nos amis nous préviennent toutefois qu'ils l'ont trouvé assez dominateur, à tel point que Marc, l'homme du couple, s'est vite senti dépassé et mis de côté. Nous mettons ceci sur le compte de l'ambiance de type « vestiaire de foot »qui doit règner dans les soirées pluralité masculine, peu propices a priori au romantisme. Très rapidement, nous faisons une cam avec Frédéric et l'invitons chez nous. Habituellement, nous prenons le temps de rencontrer au café ou en boîte les hommes seuls et les couples qui retiennent notre attention sur Internet, mais cette fois ci, notre excitation du moment et la recommandation de nos amis ont eu raison de la règle.
Frédéric arrive vers 21h comme convenu, avec une bouteille de champagne à la main. Nous prenons place, moi dans un fauteuil et eux sur deux canapés différents, et engageons difficilement la discussion. Chrystel me fera remarquer plus tard qu'il n'adressait la parole qu'à moi, la délaissant totalement. Son objectif, semble-t-il, est de me convaincre qu'il n'est pas un danger pour notre couple, simplement un bon ami qui vient s'amuser avec nous. Ce discours est totalement inutile puisque nous pensons connaître et assumer les risques du libertinage et que nous ne nous engageons pas dans quelque amitié que ce soit lorsque nous connaissons les personnes depuis une heure ou deux. Qui plus est, Chrystel attend des hommes qui viennent chez nous un minimum de séduction, avant de passer à l'action!
Il faut croire que l'excitation de Chrystel a eu raison de sa fierté et de ses réticences liées à l'attitude de notre ami, a moins que ce ne soit les apéritifs qui s'enchaînent : elle le rejoint sur son canapé, se plaçant à côté de lui. Pour détendre l'atmosphère, je dis en m'adressant à Chrystel « Toi, tu as envie de t'amuser ce soir! », ce à quoi il répond, non sans avoir placé sa main droite sur la cuisse de sa nouvelle voisine, devançant la pensée de la miss et la regardant dans les yeux « On est là pour ça, non? ». Il lui fait alors un compliment sur sa tenue vestimentaire qu'il trouve très sexy : elle est vêtue comme à l'accoutumée d'une robe noire très courte qui laissent apparaître ses bas autofixants. Il lui dit que ses bas sont très jolis et je suggère alors à Chrystel de nous en montrer davantage. Elle ne se fait pas prier pour relever sa robe et découvrir son shorty en dentelles noires. Je lui demande alors de se lever pour nous faire admirer sa cambrure sublimée par des chaussures plate-forme transparentes hautes d'une quinzaine de centimètres. Frédéric apprécie, visiblement très excité. Alors que Chrystel fait des allers et venues dans le salon, Frédéric dit que ses potes libertins et lui appellent ce genre de chaussures des chaussures de salope... L'excitation semble à cet instant l'emporter sur la fierté de Chrystel, qui se dirige vers le canapé et se poste debout devant notre invité, les jambes légèrement écartées, comme pour corroborer ses propos irrévérencieux, à moins que ce ne soit pour y mettre un terme. Frédéric caresse l'extérieur de la jambe droite de Chrystel avec sa main gauche, tandis que sa droite lui fait l'intérieur. De mon fauteuil, je ne vois que la croupe de Chrystel encore revêtue de sa robe, mais je devine rapidement le manège de notre invité lorsque ma chérie pousse un « han » tonitruant. Elle se met alors à se dandiner, alors que je peux voir le bras de Frédéric faire de lents vas-et-vient verticaux. Probablement dans le souci louable de me faire profiter du spectacle à moins que ce ne soit par pure perversité, la main gauche de Frédéric poursuit sa course le long de la jambe de Chrystel et soulève au passage sa robe, me dévoilant ainsi la partie la plus charnue de l'anatomie de ma belle. Sa main ne lui caresse pas les fesses, elle me les exhibe. Lorsque, ivre d'excitation, Chrystel se penche pour embrasser Frédéric, les mains de ce dernier quittent momentanément leur poste pour faire glisser son shorty le long des jambes de Chrystel. Puis la main gauche retrousse la robe, et la main droite reprend ses vas et vient de plus belle. Alors que Chrystel s'assoit à côté de Frédéric, je les rejoins sur le canapé et nous la pelotons comme des assoiffés de sexe, nos mains se croisant sur ses seins ou sur son mont de Vénus. Elle mouille abondamment sous l'effet conjugué de nos doigts dans sa chatte et sur son clito, gémit, écarte ses jambes au maximum, l'une sur mes genoux l'autre sur celles de Frédéric pour offrir totalement le centre de son plaisir à nos assauts. Nous l'embrassons de concert sur les tétons, dans le cou, sur la bouche... Elle se retrouve vite nue entre nous deux, parée seulement de ses bas, de ses chaussures et d'une petite ligne verticale de poils sur son pubis, de style « ticket de métro ». Elle dégrafe alors le jean de Frédéric et, se couchant sur le côté, commence à jouer avec sa bite. La position est idéale pour que je lui bouffe la chatte, alors qu'elle prend le sexe durci de Frédéric en bouche. Je lèche le clito de Chrystel, déguste sa mouille et goûte son anus, à la saveur si délicate. Je la doigte avec vigueur, lui arrachant des soupirs étouffés par la présence du membre de Frédéric dans sa bouche. Frédéric prend une pause pour se déshabiller, ce que j'achève de faire également. Nous reprenons notre orgie, en changeant les rôles : il la lèche goulûment, elle me suce passionnément. Elle se met en levrette et je lui écarte les fesses, si bien qu'il a sa chatte et son anus à sa disposition et que je peux admirer la scène Ô combien excitante de ma copine en train de se faire bouffer le cul. La langue de Frédéric titille alternativement les deux orifices et je profite d'un instant où elle quitte le petit trou de la belle pour s'occuper de sa moule, le laissant bien lubrifié, pour y glisser un doigt. Il me sourit et lui doigte la chatte, alors que j'introduis un deuxième doigt sans difficulté dans le cul de Chrystel. Elle prend un immense plaisir à cette double pénétration, qui en laisse présager une autre de toute beauté plus tard dans la soirée. Après lui avoir ouvert le cul, j'écarte les fesses de Chrystel pour laisser le champ libre à Frédéric et admirer au passage le petit trou dilaté. Elle me suce toujour, me bouffe les couilles, tandis que nos doigts alternent entre sa chatte et son fion, se rejoignant même dans ce dernier : deux de mes doigts en rencontrent deux de Frédéric déjà en train de lui fouiller vicieusement le cul. La soirée s'annonce chaude!
Nous lui suggérons alors de nous sucer tous les deux en même temps. La proposition lui plaît : elle s'assied et nous lui présentons nos deux bites bien dressées, qu'elle suce alternativement. Nous la guidons sur nos sexes et sur nos couilles qu'elle lèche et suce sans relâche. Lorsque l'un est dans la bouche, l'autre passe son gland sur son visage, manifestant ainsi son impatience dans un esprit qui tourne à la domination soft, mais dans l'humour, la bonne humeur et le respect.
Nous la prenons ensuite à tour de rôle en levrette sur le canapé, l'un la besognant quand elle suce l'autre. Nous décidons alors de passer dans la chambre d'amis, pour des raisons de confort. Nous nous levons, Chrystel et moi nous embrassons langoureusement; lui, dans son dos, la caresse et l'embrasse dans le cou. Une idée perverse me vient alors à l'esprit : je suggère à Chrystel de se retourner, ce qu'elle fait. Elle enlace Frédéric et ils s'embrassent fougueusement à pleine bouche. Le spectacle est magnifique, ses chaussures lui faisant des jambes et un cul d'enfer. Je lui caresse le cul, alors qu'il lui fait tourner la tête en lui branlant le clitoris et en l'embrassant. J'enfile alors une capote et les rejoins. Je demande à Chrystel de se cambrer au maximum, ce qu'elle fait en écartant légèrement les jambes et en me demandant sur un ton faussement naïf : « Qu'est-ce que tu veux faire, toi? ». Je lui dit en souriant qu'un cul pareil, il faut l'utiliser. Le caractère cru de mes propos empourprent son visage, mais elle n'y voit aucune objection, excitée par la situation et par les doigts agiles de Frédéric. Après avoir lubrifié son anus avec un peu de sa mouille, je n'ai aucun mal à y introduire ma bite, ce qui traduit son excitation. Elle tend son cul au maximum, les bras autour du cou de Frédéric qui la regarde droit dans les yeux avec un sourire teinté d'un brin de perversité. Je l'encule bien profondément et me retire de temps à autre pour le plaisir de connaître à nouveau le délicieusement subtil instant de la pénétration dans un anus ouvert. Le visage de Chrystel devient écarlate, probablement sous l'effet conjugué du plaisir et de la gêne que lui occasionne la situation : elle est pendue au cou de quelqu'un d'inconnu trois heures auparavant qui la regarde se faire enculer et y prendre du plaisir. Il lui caresse les cheveux, l'embrasse, lui sourit, échange avec elle des regards complices qui lui font également comprendre que bientôt, son cul sera à lui. Elle soupire et jouit sous l'effet conjugué des doigts de Frédéric sur son clitoris et de ma bite dans son cul.
Nous allons alors nous installer sur le lit de la chambre d'amis. Frédéric baise Chrystel longuement en missionnaire puis en levrette. Nous intervertissons une nouvelle fois les rôles Frédéric et moi et, au terme d'une bonne baise en levrette, j'atteins la jouissance et me répands dans le latex. Il est rare que Chrystel jouisse dans ces soirées, paradoxalement, alors qu'elle est prise pendant des heures et que les situations l'excitent au plus haut point. Son plaisir s'arrête à celui qui précède la jouissance, lequel est pour les hommes comme pour les femmes le plus subtil des plaisirs charnel. Sans savoir si ce terme est répandu, nous appelons elle et moi cet état de grâce le « plateau », longue étendue paisible et verdoyante qui mène au septième ciel.
Ce soir là, je n'ai pas débandé une seconde après avoir éjaculé. L'excitation provoquée par la situation devait y être pour quelque chose!!! J'ai retiré ma capote et suis allé me placer devant le visage de ma chérie, toujours à quatre pattes et cul en l'air, alors que Frédéric s'était lui équipé d'un préservatif. Il était derrière Chrystel, se masturbait lentement d'une main et malaxait les fesses de la belle de l'autre en reluquant le cul charnu qui s'offrait à lui. Fidèle à son habitude de ne s'adresser qu'à moi, il dit : « C'est vrai qu'elle a un super cul... ». Enfonçant profondément son pouce dans l'oeillet de ma belle, il ajouta : « A mon tour d'en profiter! ». S'adressant à elle, pour une fois, il continua tout en la doigtant de plus en plus vigoureusement : « Je vais t'enculer, ma belle! ». Il ponctua sa question d'une claque sur les fesses de Chrystel et remplaça son pouce par deux doigts dans son cul, l'ouvrant ainsi délicatement. La voix haletante, elle répondit un « Oui » étouffé. Il la pénétra alors sans fioritures. Frédéric était très sportif et très endurant, de par son métier. Il la bourrait aussi fort qu'il pouvait et à un rythme soutenu. Constatant aux râlements de la belle que ceci était loin de lui déplaire, il accéléra son entreprise de démolition et lâcha, au comble de l'excitation : « Ah David, tu as raison, ça aurait été dommage de passer à côté de ça! Elle a un cul d'enfer ». Chrystel gémissait sous les coups de boutoirs réguliers de Frédéric, qui constata alors « Mais c'est qu'elle aime ça se faire enculer, la miss! ». Elle avait arrêté de me sucer, trop concentrée sur son plaisir venant de derrière. J'étais assis et lui avait plaqué les épaules contre le lit, de manière à ce que son cul soit offert au maximum. Elle lui répondit d'une voix rauque « Oui, c'est bon, continue! ». Il accéléra encore la cadence et lui arrachait des petits cris saccadés. Ce salop la chevauchait au galop, la tenant par les cheveux et lui administrant régulièrement des petites claques sur ses fesses charnues. Le visage de Chrystel était aussi écarlate que ses fesses et ses gémissement étaient étouffés par la présence de ma bite dans sa bouche, gonflée à bloc par le spectacle que j'avais sous les yeux. Il ralentissait parfois la cadence pour lui donner de véritables coups de boutoir qui la faisaient crier plus fort et qui avaient pour effet d'enfoncer un peu plus ma bite dans sa bouche. Elle les encaissait sans problèmes, tant son cul était ouvert. Fort de son expérience, Frédéric avait compris qu'il pouvait dorénavant y aller sans retenue et il ne se privait pas. Il était encouragé par les gémissements de Chrystel, au comble du plaisir. Nous l'avons alors prise en double : alors qu'elle chevauchait Frédéric, je la baisais dans le cul. Elle était folle de plaisir et criait tout son saoul. Frédéric lui léchait les seins à grand coups de langue et moi, je donnais le tempo de sa jouissance par derrière. Après avoir tenu cette position quelques minutes, j'ai joui une deuxième fois dans le cul de Chrystel. Je ne débandais pas sous l'effet de l'excitation, mais je laissais Frédéric et Chrystel se faire plaisir à deux. Il l'a baisée en missionnaire et joui sur ses seins. Depuis cette soirée, nous ne l'avons pas revu, mais il a parlé de Chrystel à nombre de ses collègues libertins qui sont sur les rangs...
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