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Quelques clichés de Chrystel

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Mes aventures libertines

Mardi 26 janvier 2 26 /01 /Jan 13:20

Depuis quelques semaines, nous avions découvert le W.N., un petit club échangiste proche de chez nous, en même temps que nous avions épousé le monde du libertinage. Nous y allions le plus souvent les vendredis soirs puisque ces soirées là étaient « mixtes », ce qui signifie que l’établissement consentait à laisser rentrer des hommes non accompagnés pour satisfaire les couples adeptes de trios, quatuors ou autres formations à plusieurs. Pour notre part, nous avions commencé le libertinage par des trios avec des hommes et nous trouvions tous les deux notre bonheur dans ce type de configurations. Chrystel aimait se faire baiser par deux hommes entièrement dévoués à son plaisir et moi, au-delà du plaisir physique, j’aimais l’observer se faire draguer sur la piste de danse ou au bar par des bandes de copains entreprenants ou des célibataires séducteurs ; la voir céder sans aucune résistance aux avances parfois grossières de beaux gosses sûrs d’eux et de leur pouvoir de séduction m’excitait au plus haut point. Dans ces moments là, elle s’abandonnait totalement à son prédateur et je la trouvais diablement belle en proie facile. Ce soir là pourtant, les dragueurs n’étaient pas au goût de Chrystel. Bien sûr, elle a accepté des invitations à danser collé-serré, elle s’est fait caresser sa belle croupe parée d’une courte jupe par quelques partenaires de frotti-frotta gonflés à bloc, elle a essuyé des mains-au-cul plus ou moins anonymes, elle a accepté de bonne grâce quelques coupes de champagne et a papoté de longues minutes avec  des prétendants, mais elle n’a pas été séduite. Seuls à notre table assis dans des fauteuils, nous méditions sur le caractère aléatoire des rencontres en club échangiste et convînmes qu’il valait mieux ne pas se forcer à passer à l’acte à contrecœur sous prétexte de rentabiliser notre sortie en club. Tout en philosophant, nous scrutions les clients du club dans l’espoir de ne pas repartir bredouilles. De manière concomitante, nous remarquâmes un couple harmonieux qui vint s’asseoir deux tables plus loin, visiblement dans le même état de déception que le notre. Ils étaient un peu plus âgés que nous, probablement au milieu de la trentaine tous les deux. Nous les regardions discrètement et partagions nos avis sur eux. Lui était grand et assez baraqué, sérieux mais charismatique. Alors que je faisais remarquer à Chrystel que la fille grande et élancée était très sexy, elle me dit qu’elle la trouvait mignonne également et qu’elles s’étaient échangés des sourires complices, ce qui m’avait échappé. Je pensais à cet instant que cette affaire allait en rester là, convaincu que lui n’était pas au goût de Chrystel. Par-dessus le marché, nous n’avions jamais fricoté avec un couple. C’est alors que je croisais le regard de l’homme qui me fit un large sourire et souleva son verre en guise de salut. Je lui rendis son salut et Chrystel suggéra qu’on aille les rejoindre. Nous prîmes place à leurs côté et bavardâmes de choses et d’autres. Céline et Laurent avaient un peu plus d’expérience que nous dans le libertinage puisqu’ils avaient déjà rencontré quelques couples avec qui ils avaient pratiqué le « mélangisme », ce qui signifie qu’ils avaient batifolé sans aller jusqu’à la pénétration hors couple. Depuis, nous avons compris que les mélangistes sont pour la plupart des couples qui mettent l’accent sur les relations homosexuelles féminines, sans que ce soit pour autant une généralité, certains couples hétérosexuels souhaitant par cette pratique préserver le coït comme acte intime. A l’époque, ces subtilités nous échappaient largement. Quoi qu’il en soit, le courant passait très bien entre nous et nous discutions comme des copains de longue date sur des sujets variés et parfois coquin. Laurent, effectivement très sûr de lui, avait presque dix ans de plus que nous. Céline était également un peu plus âgée et avait un aplomb assez rare. D’après leurs dires, c’est elle qui avait convaincu Laurent de faire l’expérience du libertinage.

Tout en tenant la conversation, Laurent avait entrepris de caresser la cuisse de Chrystel qui était assise sur la même banquette à côté de lui. Afin de lui faciliter la tache, elle se blottit contre lui en continuant elle aussi à converser comme si de rien n’était. Céline, devinant mon émoi, profita d’un silence pour se tourner vers moi et m’embrasser à pleine bouche. Elle embrassait avec fougue : sa langue envahit brutalement ma bouche et en explora les moindres recoins. Chrystel offrit alors ses lèvres à laurent dont une main explorait dorénavant son entrejambe. Elle écartait ses cuisses pour lui laisser le champ libre, comme certaines fleurs s’ouvrent pour accueillir le soleil. Je fis de même avec Céline et, tirant sa dentelle de côté, constatais que sa chatte poilue elle était trempée. Rapidement, Céline qui décidément avait un tempérament de meneuse, suggéra que nous allions poursuivre notre conversation à l’étage où l’ambiance était beaucoup plus intimiste : lumière tamisée, alcôves, cellule à barreaux, cabines de bateaux, voyeurs, gémissements… dès la montée des marches de l’escalier menant au premier étage, les choses étaient claires pour tout le monde : Laurent soulevait la jupe de Chrystel, opportunément passée devant lui, pour caresser ses fesses ; Céline et moi, enlacés, nous embrassions comme deux jeunes tourtereaux. Bien que très compréhensifs, nous repoussions les sollicitations de quelques voyeurs surexcités pour atteindre notre but, un salon inoccupé. Nous en trouvions un d’une taille correcte qui, comme la plupart des salons du W.N., était fermé par une porte mais doté de hublots aménagés dans la paroi de sorte que les clients du club pouvaient deviner ce qui se passait dans la pénombre de la pièce. Etait-ce l’heure avancée, les quelques coupes de champagne bues durant la soirée ou tout simplement l’excitation, ce détail ne semblait gêner personne. Chrystel se laissa tomber à la renverse sur le matelas en Skye rouge ; debout devant elle,  Laurent la toisait en retirant sa chemise. Céline, assise à califourchon sur moi, m’embrassait de plus belle alors que je lui pelotais les fesses, les mains dans sa culotte. A cet instant, je commençais sérieusement à me poser des questions car cette fille m’excitait, mais je ne bandais pas. Laurent avait retiré le shorty en dentelles de Chrystel et lui écartait les jambes, à genoux devant le matelas. Il lui bouffait sa chatte rasée avec avidité, lui arrachant de petits gémissements qui allaient crescendo. Moi, comme un con, je commençais à avoir peur de ne pas arriver à baiser Céline. Inspirée par Chrystel et Laurent, Je me dis alors que goûter sa chatte trempée pouvait être un bon moyen de réveiller la bête de sexe qui sommeillait profondément en moi et lui délivrais un cunnilingus haut de gamme qui la fit rapidement monter dans les tours. Pendant ce temps, Laurent était monté à genoux sur le matelas, avait retiré son jean et sorti sa bite au niveau du visage de Chrystel qui, se tournant légèrement sur le côté, l’avait pris en bouche. Il avait une queue à son image : grande, épaisse et raide. Elle s’en délectait. Céline et moi étions partis dans un 69 de la dernière chance qui me donna un peu de vigueur lorsque Chrystel se mit à quatre pattes pour pourvoir mieux sucer Laurent qui y prenait visiblement beaucoup de plaisir. Avec toujours beaucoup d’assurance, il interrompit la fellation pour aller chercher un préservatif dans une poche de son jean puis revint vers Chrystel. Elle reprit sa sucette pendant qu’il s’employait à sortir le caoutchouc de l’aluminium. Sans fioritures, il se positionna alors derrière elle, enfila la capote et la pénétra doucement. Les expressions que je lisais sur le visage de Chrystel m’excitaient bien que la scène me rendît fou de jalousie. La connaissant par cœur, je voyais bien qu’elle prenait un plaisir indescriptible malgré la gêne occasionnée par un certain manque de préparation initial de sa chatte à cet assaut à revers par une belle bite emplastiquée. A mon tour, je chaussais un préservatif sur ma queue à demi bandée et m’empressais de pénétrer Céline en missionnaire avant que l’étreinte de la capote ne fasse refluer le peu de sang qui daignait gorger mon corps caverneux. Je parvenais toutefois à mes fins assez facilement tant Céline était ouverte et humide. Comme bien souvent dans ces cas là, ma mauvaise érection alla de pair avec un manque total d’endurance. Très rapidement, je compris que je ne serais pas un bon amant ce soir là ce qui dans le contexte me ficha un coup au moral. Laurent, très endurant et froid, baisait patiemment Chrystel avec des mouvements amples et réguliers dans sa chatte, faisant claquer son bassin contre ses fesses. Au bout de quelques minutes et après avoir changé trois fois de position pour donner le change, je n’en pouvais plus et déversais mon sperme dans la capote que je m’empressais de retirer du vagin de céline pour éviter l’accident. Celle-ci, très compréhensive, me  caressait et essayait de me réconforter tant bien que mal mais je vivais très mal la vision de Laurent qui faisait dorénavant gémir ma compagne en la baisant en levrette, comme elle aime, sans montrer le moindre signe de fatigue. Elle avait dorénavant posé ses épaules contre le matelas pour mieux offrir ses fesses et pouvoir se masturber le clitoris et lui accélérait la cadence en agrippant ses flancs afin de faire coulisser son chibre le plus loin possible. Chrystel gémissait de plus en plus fort et son visage s’était empourpré. Céline me fit remarquer son état et me suggéra d’aller la caresser, ce que bêtement je ne fis pas, égoïstement renfermé dans ce qui ressemblait bel et bien à une vexation. Céline, en revanche, n’avait pas d’états d’âme et n’avait clairement pas eu son compte jusqu’alors. Elle se rapprocha de Chrystel et lui caressa doucement les cheveux. C’est alors que très sûre d’elle-même, elle se pencha et prodigua à Chrystel un de ses baisers fous que j’avais expérimentés quelques minutes auparavant.  Chrystel gémissait de plus belle alors que Laurent, impassible, avait légèrement diminué le rythme pour laisser les deux belles s’embrasser en douceur. Céline, un brin perverse, demanda à Chrystel si son homme la baisait bien. Dans mon coin, j’observais la scène et entendis mon amour répondre par l’affirmative, d’une voix haletante. Tenant Chrystel par la nuque, Céline lui susurra qu’elle était très belle, encore plus belle quand elle se faisait baiser. Elle lui caressa le dos, les fesses, puis lui asséna une petite tape sur le haut du postérieur avant de s’asseoir jambes écartées devant elle. De sa main droite à nouveau positionnée derrière sa nuque, elle attira la bouche de ma compagne sur sa chatte ruisselante. Rouge écarlate mais pas vraiment surprise, Chrystel brouta avidement la vulve velue et gluante de Céline. De manière concomitante, elle se mit à gémir très fort et Laurent comprit qu’il devait accélérer la cadence pour l’achever, encouragé en cela par le langage cru de Céline qui lui suggérait de « bien la baiser ». Chrystel ne tarda pas à venir et Céline la cajola dans ses bras pendant qu’elle suçait Laurent pour le faire jouir dans sa bouche. Terminer de cette manière n’était pourtant pas dans les plans de Laurent, qui baisa sa femme en règle alors qu’elle et Chrystel continuaient à se faire des papouilles. Il vint assez rapidement alors qu’elle était plus affairée à embrasser Chrystel à qu’à se concentrer sur la queue qui allait et venait dans son vagin. Nous retournâmes ensuite boire un verre dans les salons du club et convînmes de nous revoir. Nous nous revîmes effectivement quelques semaines après pour une soirée libertine dans un autre club de la région, au cours de laquelle Céline se contenta de regarder Chrystel se faire baiser en trio par son mari et moi. Nous avons aussi passé quelques après-midi ensemble à nous balader avec les enfants, en bons amis. Leur déménagement a malheureusement sonné le glas de cette amitié libertine bien sympathique.

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines - Communauté : Couples candaulistes
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Jeudi 22 octobre 4 22 /10 /Oct 01:08

Un soir en club libertin, ma femme, 27 ans à l'époque, se fit draguer de façon très directe par un homme de 20 ans de plus que nous connaissions un peu par l’entremise de sa complice libertine de l’époque et qui était un habitué des lieux. Il était séducteur, grivois et n'hésitait pas à la peloter de manière tonitruante... je suscitai une pause dans ce petit jeu et lui fis remarquer que c'était un goujat et qu'il était trop vieux (elle ne fréquente habituellement que les hommes de son âge). Elle rit et me dit qu'il était beau, marrant et très bien conservé... malgré ma réticence visible, il reprit son manège, encouragé par ma femme qui était visiblement très réceptive. Il l'invita alors à prendre un verre au bar et moi, bien sûr, je les accompagnai. Elle était installée entre nous deux et, profitant de la position imposée à ma chérie par les tabourets de bar, il caressait ses cuisses tout en ne cessant ses palabres à aucun instant, les yeux rivés sur elle. Très décomplexé et à mon sens très lourd, il la complimentait sur ses bas noirs et sa culotte qu'il lui demanda de dévoiler davantage, ce qu'elle fit avec une bonne humeur consternante à mes yeux en écartant ses jambes et en le laissant remonter sa déjà courte robe. Entre deux gorgées de champagne et durant un flot continu de compliments, il lui titillait la chatte à travers le tissu, puis très directement une fois celui-ci mis de côté. Elle était alors entièrement tournée vers lui, toujours assise sur son tabouret, mais me tournant le dos et jambes écartées. Il lui baissa alors le haut de sa robe en dessous de la poitrine et lui malaxa les seins, ce qui finit d'attirer l'attention des autres personnes accoudées au comptoir, goguenardes. J'étais pétrifié par la jalousie, la gêne et l'incompréhension, lorsqu'il sortit sa bite entre deux paroles banales et prit ma femme par la nuque pour l'attirer dessus. Devant tout le monde et les seins à l'air, elle descendit de son tabouret, s'accroupit et suça avec avidité sa bite encore molle. Se faisant très directif, il la guidait sur sa queue durcie et se livrait, toujours dans la bonne humeur, à des commentaires outranciers du type : « Ah elle est bonne ma queue petite salope, hein !? » ou encore « Oh mais c’est qu’elle suce divinement la cochonne ! ». Bref pas une phrase sans qu’il ne la qualifie de salope ou de cochonne en s’adressant un peu à elle et beaucoup à l’assistance, sur le ton il est vrai de la rigolade. Personnellement, je n’appréciais pas trop son humour et en même temps, en bon candauliste que je suis, j'étais très excité par la scène. Elle, loin de mal prendre ses paroles,  elle suçait, riait et lui confirmait que sa queue était bonne…

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines - Communauté : Couples candaulistes
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Vendredi 22 mai 5 22 /05 /Mai 09:24

Histoire vécue... laissez vos coms, ça fait toujours plaisir !


Quelques mois après le début de notre relation et alors que nous étions encore étudiants, Chrystel et moi avons passé une semaine de vacances en Tunisie, dans un hôtel-club du côté de Djerba. La douceur proverbiale de cette région du Maghreb et le prix modéré du séjour ont été les principaux éléments de notre choix concernant la destination de nos vacances de printemps. Au delà des paysages et de la douceur de vivre, nous avons découvert un aspect inconnu de nous jusqu'alors de la culture locale : la propension démesurée de certains jeunes autochtones à draguer les occidentales, fussent-elles accompagnées de leur mari ou de leur compagnon.

Cela a commencé dès le premier jour, alors que nous sortîmes de l'hôtel, situé en bord de mer, pour visiter le village contre lequel il était adossé. En fait de village, il s'agissait plutôt d'un groupement de maisons abritant essentiellement des échoppes de souvenirs ou autres produits de l'artisanat local, des épiceries et des restaurants. Chrystel, consciente du trouble qu'elle pourrait causer en s'habillant comme une occidentale en été sur la Côte d'Azur, avait revêtu une jupe longue afin de cacher ses jambes, ainsi qu'un banal T-shirt, à emmanchures américaines il est vrai. Les échoppes étaient toutes tenues par des hommes, jeunes pour la plupart, qui nous haranguaient à notre passage. Parfois nous entrions, parfois nous refusions poliment les sollicitations, avec le sourire. Très vite, nous nous sentîmes pourtant mal à l'aise à cause des regards qui se portaient sur Chrystel une fois que nous avions le dos tourné, et de ce que nous supposions être des commentaires grivois en arabe accompagnés de rires. Il en fallait plus pour nous décourager et nous décidâmes pour échapper à cette atmosphère d'accepter l'invitation à boire le thé à la menthe d'un marchand de tapis, bien que nous lui signifiâmes d'emblée que nous n'avions pas la moindre intention de ramener un tapis en France. Bien mal nous en prit : après trois thés à la menthe et moult compliments échangés sur la qualité de ses tapis et la beauté de Chrystel, le jeune marchand ne comprit pas que nous repartions sans rien acheter. L'ambiance était tendue et nous regagnâmes l'hôtel alors que l'attitude des marchands sur notre passage était exacerbée par notre mésaventure.

Le lendemain, nous partîmes en excursion dans une petite ville aux portes du désert. Profitant d'un quartier libre donné au groupe, nous décidâmes de déambuler dans les rues et sur la place principale où se tenait un marché alimentaire. L'endroit était pittoresque et les étals appétissants. Nous achetâmes des épices en quantité beaucoup trop importante et humâmes la menthe fraîche. Soudain, alors que la foule s'était faite plus dense, Chrystel me déclara ébahie que quelqu'un venait de lui mettre une main aux fesses. Je lui répondis que ce n'était pas bien grave, que ce n'était pas la première ni la dernière fois que ça lui arriverait et que ses fesses s'en remettraient. Elle me répondit qu'elle avait compris que ce n'était pas la première fois que cela lui arrivait dans ce lieu, mais qu'elle avait attribué ceci à des frottements involontaires jusqu'alors. Cette fois-ci, cela ne faisait plus aucun doute et il ne s'agissait pas d'une petite flatterie anodine : quelqu’un s'était posté derrière elle et lui avait proprement malaxé le cul avant de s'éclipser parmi la foule. Elle avait cru apercevoir le coupable de dos, vêtu d'une djellaba traditionnelle et s'éloignant à grands pas, mais elle ne pouvait pas être formelle. Nous étions à la fois sidérés et incrédules. Je décidais par précaution autant que par curiosité de rester systématiquement derrière Chrystel, de manière à démasquer le sérial-peloteur et ses complices. Au bout de quelques minutes, je vis un jeune homme se poster furtivement derrière Chrystel en faisant mine de regarder par dessus son épaule l'étal sur lequel elle était penchée. Son attitude me parut normale mais Chrystel se retourna et me dit que cela venait de recommencer, alors que l'homme avait déjà disparu dans la foule. Pas de doutes, compte tenu de la diversité des profils des coupables présumés, le massage d'une bonne paire de fesses de touriste était une coutume répandue chez les représentants de la gente masculine locale. Nous regagnâmes le groupe en nous disant que lors des prochaines excursions, Chrystel devrait se vêtir d'une manière encore plus sage, quitte à mettre un pull sur ses épaules malgré la chaleur déjà présente en cette fin d'avril.

A l'hôtel, Chrystel se faisait draguer ouvertement par un jeune et sympathique gérant d'une boutique de souvenirs qui s'ennuyait à mourir compte tenu de la rareté des clients. A chaque fois que nous passions devant sa boutique située au rez-de-chaussée du bâtiment principal, c'est-à-dire en gros à chaque fois que nous quittions ou que nous regagnions notre chambre, il l'alpaguait et cherchait à entamer une conversation. Chrystel, très sociable, se laissait prendre au jeu même si elle devait prendre régulièrement quelques minutes pour cela. Ce qui était frappant dans la démarche de ce charmant jeune homme, c'est qu'il ne s'adressait pratiquement qu'à elle, malgré l'absence totale de réaction hostile de ma part. L'épisode des mains aux fesses m'avait en effet renforcé dans ma conviction qu'il était inutile de s'énerver contre ce type d'attitude désobligeante. Bien sûr, il était rageant de constater que ces hommes se permettaient avec les européennes des comportements socialement prohibés avec les tunisiennes : cela en disait long sur la perception qu'ils avaient de la femme occidentale, probablement réputée libérée et facile. Le plus étonnant, c'est que le fait que la femme soit en couple n'était pas de nature à calmer les ardeurs.

L'avant dernier jour de notre voyage, nous décidâmes d'aller faire du shopping à Houmt Souk, la principale ville de Djerba. Là, nous fumes rapidement accostés par un jeune homme sympa nous proposant de nous guider dans nos achats parmi les échoppes. D’ordinaire, nous rejetons ce genre de propositions qui s’avèrent souvent vénales d’une manière ou d’une autre. Mais cette fois-ci, nous avions pour objectif de ramener des bijoux en argent en France et nous ne trouvions pas les échoppes des bijoutiers dans le souk. Après l’avoir averti que nous ne lui donnerions pas d’argent, nous acceptâmes qu’il devienne notre guide. Il était enjoué et avait de la conversation. Il nous emmena dans différentes échoppes de bijoux berbères et restait en retrait durant les négociations. Petit à petit, les réticences s’estompèrent et une certaine complicité se créa entre nous trois. Je remarquais cependant rapidement qu’il parlait presque uniquement à Chrystel et qu’il faisait en sorte d’être toujours à ses côtés dans les magasins ou dans les ruelles du souk. Il la prenait par l’épaule, lui caressant au passage son bras dénudé, ou par la taille. Au fur et à mesure que nous progressions dans nos achats, il se faisait plus familier. Il avait manifestement une certaine fierté à se promener dans le souk avec Chrystel à ses côtés. Parfois, il échangeait quelques paroles et des regards complices avec des marchands parmi ses connaissances. La situation, troublante, commençait à m’agacer. J’essayais de mettre un terme à notre escapade, mais il nous proposa de prendre un thé à la menthe à la terrasse d’un café. Comme il insista lourdement, nous finîmes par accepter. La conversation était plaisante ; nous parlions de la condition des femmes en Tunisie, puis il nous fit part des difficultés que rencontrent les jeunes hommes pour débuter dans la vie étant donné que pour pouvoir se marier, il faut avoir les moyens de posséder une maison… il enviait les européens sur ce plan et remarquait que les femmes françaises ou allemandes étaient très libérées. Puis il nous apprit qu’il avait régulièrement des maîtresses européennes, qui lui offraient des cadeaux ou lui envoyaient un peu d’argent une fois rentrées dans leur pays. A l’époque, il en avait trois simultanément. Il nous expliqua que de nombreuses femmes venaient à Djerba pour profiter de la vigueur des jeunes hommes locaux. Comme je m’en étonnais, il insista en nous disant que les tunisiens savaient particulièrement bien faire l’amour, mieux que les européens, et qu’ils étaient bien montés. Il lançait des regards avides sur Chrystel qui ne laissait planer aucun doute sur où il voulait en venir… elle n’était pas du tout choquée ni effarouchée par ses propos. Curieuse, elle relançait régulièrement la conversation. Avant de rejoindre notre hôtel, nous voulions acheter des bières, ce qui n’est pas chose facile en Tunisie. Notre ami nous accompagna chez un revendeur clandestin d’alcool et sur le chemin, alors que j’étais quelques pas devant eux deux, il colla Chrystel comme jamais, lui parlant à l’oreille et lui enlaçant la taille… je suppose qu’ils continuaient la conversation que nous avions commencé au café. J’étais mal à l’aise et un peu atteint dans mon amour propre, mais je ne pus alors m’empêcher de penser à ce type en train de baiser ma nana, avec son « savoir faire tunisien » et sa grosse queue. L’idée m’excita, mais ni elle ni moi n’étions prêts à jouer le jeu. Ce sont néanmoins ces situations vécues qui nous ont conduites plus tard à franchir le pas des trios et du candaulisme. Cette fois là, nous quittâmes poliment notre complice et regagnâmes sagement notre hôtel.

 

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines - Communauté : Couples candaulistes
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Vendredi 24 octobre 5 24 /10 /Oct 01:22

Histoire vécue... commentaires bienvenus!!!

Il faisait froid en cette fin de février. Chrystel et moi passions quelques jours à Paris, en amoureux, dans un appartement de la rue Princesse en plein Saint-Germain-Des-Prés. Nous employions notre temps à rendre visite à des amis et à flâner dans les rues de la capitale, allant de boutique en musée, et de musée en bistrot pour nous réchauffer. Quel plaisir de laisser quelques jours notre fille à ses grand parents et de prendre son temps en tête à tête devant un cappuccino en débattant de la dernière expo et en projetant nos petites escapades frivoles. Car nous avions la ferme intention de profiter de notre liberté recouvrée pour faire des rencontres libertines et nous livrer à la débauche, faisant en cela honneur aux belles heures des cabarets de la Butte Montmartre et autres lieux de vice de la capitale des stupres. Culture et luxure étaient les deux thèmes de notre séjour. Dès le premier soir, nous passions quelques temps sur notre site Internet de rencontres libertines préféré, avec comme objectif de trouver des partenaires de jeu. Beaucoup de contacts, comme toujours, mais peu de dialogues concrets. Nous aimons beaucoup babiller longuement sur msn, exercice qui fait selon nous partie de la séduction virtuelle. Notre séjour étant relativement court, il fallait pourtant que les dialogues laissent place à l'action assez rapidement. Nous étions en contact depuis quelques temps via Internet avec un certain « bogoss », un trentenaire bobo très séducteur mais non moins vicieux. Nous avions quelques affinités virtuelles avec lui et il faut dire qu'il attirait Chrystel par sa classe autant que par son attitude, très sûr de lui qu'il était. Contrairement à beaucoup d'hommes qui se cantonnent à des généralités lors des chats de peur d'offusquer leur couple interlocuteur, il était très direct tout en ayant du tact. Quoi de plus naturel que de parler de sexe sur un site de rencontre échangiste ? Bizarrement, ça n'est pas une généralité. En ce qui nous concerne, nous apprécions les personnes qui prennent le temps d'écrire et de séduire, autant que nous nous efforçons de le faire. Avec « Bogoss », nous avions convenu d'une rencontre avant notre départ pour Paris, sans en fixer la date. Arrivés sur place, nous reprîmes nos dialogues en chat pour convenir d'un premier rendez-vous destiné à évaluer nos affinités au delà du fantasme virtuel. Il nous proposa une rencontre au Pachyderme, un bar-restaurant lounge du dixième arrondissement où il avait manifestement ses habitudes. Nous fixâmes l'heure du rendez-vous à 14h le lendemain.

Vers 13h, nous nous préparâmes à partir à la rencontre de « Bogoss », chargés de ces sentiments désormais bien connus de stress et d'excitation qui naissent lorsque nous rencontrons pour la première fois une personne connaissant tout de notre vie libertine. Ces sentiments sont comparables à ceux que l'on ressent avant un premier rendez-vous amoureux, à la différence près qu'une partie du voile est levée sur l'intimité des protagonistes : les pratiques sexuelles, les désirs, les fantasmes et même quelques clichés des corps nus ont été partagés. Cette différence produit un sentiment supplémentaire, mélange de honte et d'excitation, lié au caractère exhibitionniste de la situation.

Pour aller à la rencontre de notre ami supposée se dérouler « en tout bien tout honneur », Chrystel opta pour une tenue classique composée une robe noire, d'un cache-coeur en laine et de bottes montantes en cuir. Néanmoins, par coquetterie ou, qui sait, par prévention, elle se parfuma le corps avec une émulsion de Cristalle de Chanel, se para de sous-vêtements sexy et passa des bas auto-fixants. Elle avait l'apparence sage, je la savais sexy en diable.

Arrivés place de la République, nos coeurs s'emballèrent alors même que rencontrer un hypothétique futur partenaire de jeux n'avait rien de nouveau pour nous. Il faut dire que « Bogoss » était très sûr de lui, voire dominateur, ce qui accroissait sans doute notre stress. Contacté sur son téléphone mobile, il nous dit qu'il était déjà attablé au Pachyderme à droite de la porte. A peine entrés, il nous reconnut et se leva pour faire la bise à Chrystel en la prenant par la taille et en la complimentant à haute voix sur sa beauté, de sorte que les clients des tables adjacentes n'en perdirent pas une miette. On peut aisément imaginer leur étonnement de voir un couple arriver et, dans la minute qui suit, un deuxième homme se comporter de manière intime avec la femme. Ils n'étaient bien entendu pas au bout de leurs surprises, « Bogoss » nous réservant encore quelques scènes de ce genre teintées d'exhibitionnisme et d'une pointe d'humiliation à mon égard. Nous nous assîmes à sa table basse sur des fauteuils en face de lui, Chrystel lui faisant face, et commandâmes un café. Dès le début, « Bogoss » amena la conversation sur le sujet du sexe sans pour autant baisser la voix. Non pas qu'il parlait spécialement fort, mais il ne faisait aucun effort pour que ses propos ne soient pas audibles par nos voisins. Il parlait du site Internet échangiste sur lequel nous avions pris contact, de ses aventures libertines, des raisons pour lesquelles sa femme ne l'accompagnait qu'épisodiquement dans ses sorties coquines, de ses fantasmes, de ses sex-shops préférés... pour autant, il n'était pas lourd du tout et la conversation ne sombrait pas dans la vulgarité. Puis il reprit ses compliments sur le physique de Chrystel, en lui signifiant au passage qu'elle l'excitait. Ne lui laissant que le temps de rougir, il se pencha en avant et mis sa main sur la jambe de Chrystel qui était la plus proche de lui, de par leurs positions et la faible hauteur de la table. La jambe de Chrystel n'était pas sous la table basse, bien entendu, si bien qu'une personne attentive pouvait repérer leur manège. Lui même jouissait d'une vue imprenable, malencontreusement obstruée par cette robé décidément trop longue à son goût. Il la caressa en remontant le plus possible le long de sa cuisse, découvrant légèrement au passage la jarretière de son bas. Alors que, gêné, je meublais la conversation tant bien que mal, il fit mine de vouloir chuchoter quelque chose à l'oreille de Chrystel. Toujours soumise à ses caresses érotiques et plus empourprée que jamais, elle approcha son visage du sien. Il lui souffla qu'il la désirait et profita de la proximité de ses lèvres pour les embrasser furtivement. Elle fut surprise mais n'eût aucun mouvement de recul, bien au contraire. Elle et moi étions à la fois très excités par le manège de notre ami, mais aussi passablement gênés qu'il prenne tant de libertés en public. J'ajoute que je me sentais de plus en plus mis à l'écart et que de ce fait, un sentiment de jalousie cheminait en moi. Nous reprîmes la conversation là où nous l'avions laissée avant ce baiser volé, c'est à dire à son sex-shop préféré. Il nous dit qu'il aimait amener ses conquêtes s'exhiber dans ce sex-shop, leur faire essayer des tenues et tester sur elles des accessoires. Puis il dit que cela tombait très bien car la boutique en question était à deux pas de la place de la République. La main plus baladeuse que jamais, il demanda à Chrystel si elle était partante en lui disant qu'elle était vraiment belle et qu'il voulait s'amuser avec elle avant de la baiser. Prise de court et consatant avec gêne les regards de plus en plus incrédules de nos voisins de tablée, Chrystel refusa. Sa timidité a certainement joué, outre le fait que nous n'avions pas l'habitude d'engager quelque action que ce soit sans l'accord de l'autre en matière de libertinage. Or en l'espèce, nous ne pouvions pas nous concerter sereinement sur le sujet, compte tenu de la pression qu'il exerçait sur nous. Il convint que c'était aller un peu vite en besogne pour une première rencontre, mais déclarait ne pas désespérer que Chrystel  l'accompagne un jour, ce à quoi elle ne dit pas non. Pour ma part, j'étais de plus ne plus mal à l'aise, le sentiment de jalousie devenant peu à peu prépondérant. Nous étions sur le départ en ayant l'impression d'être restés assez longtemps pour un premier contact lorsque « Bogoss » rapprocha sa chaise de Chrystel. Il lui caressait dorénavant le haut des cuisses à travers sa robe avec ses deux mains et continuait à la flatter en lui glissant régulièrement qu'il voulait la baiser. Discrètement cette fois, il lui proposa de l'accompagner aux toilettes du restaurant situées au sous-sol. Elle se laissa embrasser au passage, alors qu'il tentait de la rassurer en lui disant que ce n'était que pour jouer un peu, qu'il ne ferait que la caresser. A cet instant, je visualisais la scène qui pourrait se jouer quelques minutes après, ma copine rejoignant ce mec aux toilettes des hommes. Ils se seraient embrassés et il lui aurait assurément retiré sa culotte et peloté son cul qu'il avait ostensiblement reluqué lors de notre entrée dans le restaurant et qu'il convoitait tant en photo. Il l'aurait masturbée et, connaissant la miss, elle l'aurait supplié de la sauter. Pour des raisons de faisabilité, il se serait contenté d'une pipe, la salope s'exécutant accroupie en se touchant le minou. Puis ils seraient remontés près de moi, tout échauffés par leurs ébats, parlant de poursuivre au sex shop. Elle m'aurait embrassée avec une haleine sans équivoque, témoignant le passage de sa bouche sur les parties intimes de « Bogoss », et dégageant peut-être même l'odeur âcre du sperme. Ces pensées me rendaient fou d'excitation mais la jalousie prit le dessus et, alors que Chrystel n'avait toujours pas dit non, je signifiait mon désaccord avec diplomatie. « Bogoss » et nous nous sommes quittés sur cet échec et ne nous sommes pas revus, l'impression que cette entrevue nous a laissée étant mitigée.

 

Que pensez-vous de cette situation ? Qu'auriez-vous fait à ma place ? A la place de Bogoss ? De Chrystel ? Vos avis m'intéressent !!! A vos commentaires !

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines - Communauté : Candauliste
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Lundi 22 septembre 1 22 /09 /Sep 23:22

Histoire vécue... commentaires bienvenus!!!

Le défilé de lingerie était organisé par un site de vente en ligne qui avait mobilisé parmi les libertines et libertins présents pour mettre en valeur des dessous vraiment très chauds, du genre de ceux que l'on en porte pas ni les jours ni dans une soirée romantique. Laurence avait souhaité apporter sa contribution, peut-être pour assouvir un fantasme d'exhibitionnisme. Elle était très belle et la mise en scène amusante mais la lingerie n'était pas vraiment à notre goût. Par correction, tout le monde faisait semblant de s'extasier, applaudissant à chaque sortie de scène de l'un des mannequins de circonstance. Seb, trouvant là un prétexte pour s'éclipser, était allé nous chercher une coupe de champagne. De retour vers le podium improvisé, il distribua les coupes et vint se positionner à droite de Chrystel, à deux pas de Stéphanie. Discrètement, pour ne pas éveiller de sentiment de jalousie chez sa compagne, il soufflait des mots doux à l'oreille de Chrystel que je soupçonnais de ne pas être si doux que cela, compte tenu de la réaction de cette dernière. Les joues empourprées, elle riait et semblait partager une grande complicité avec notre ami qui, surexcité, avait entrepris de lui caresser la croupe à travers sa robe avec sa main gauche, comme pour illustrer les propos qu'il lui tenait. Je suis resté sur ma faim tout à l'heure. Je n'ai pas fini de te déguster. Leur manège était de moins en moins discret. Chrystel avait tourné la tête vers lui et ils s'embrassaient passionnément. Il avait remonté l'arrière de la robe de Chrystel au dessus de la jarretière de ses bas auto-fixants et continuait son massage fessier. Les spectateurs placés derrière nous n'en manquaient certainement pas une miette, pas plus que Stéphanie qui, ne voulant pas rester hors jeu, s'était positionnée derrière moi et m'avait enlacée par la taille en glissant ses mains dans les poches avant de mon pantalon. Il ne lui fallu pas longtemps pour mettre la main sur l'objet convoité et commencer à jouer avec. Stéphanie n'avait pas le même tempérament que Chrystel. Elle était beaucoup plus entreprenante que cette dernière, qui préférait laisser l'initiative de la séduction aux autres, hommes comme femmes. Parfois, l'attitude de Stéphanie en est même déroutante pour certains hommes, tant ils sont habitués à devoir mener la danse. Pour ma part, je ne voyais pas d'inconvénient à ce que Stéphanie vienne réveiller mon sexe passablement endormi par le show qui se terminait enfin. Ses massages ainsi que la vison de mon amie et de Seb enlacés, lui ayant dorénavant glissé sa main sous le shorty de Chrystel afin de pouvoir peloter son cul sans dentelle interposée, me firent bander instantanément. Stéphanie, qui s'aperçut de mon émoi, me dit sur un ton pervers :

  • - Hummm... ça t'excite de la voir avec lui ?

  • - J'adore...

  • - Regarde comme elle est excitée... je suis sûre qu'elle est toute mouillée à l'idée qu'il va la baiser.

  • - Je te confirme, on l'a tous les deux constaté tout à l'heure.

  • - Petits cachotiers ! Alors comme ça elle a déjà eu sa part du gâteau? Et moi alors ?

  • - Non, nous ne sommes pas allé bien loin. Nous l'avons juste un peu allumée. Nous nous connais, nous ne savons pas nous tenir... Et puis tu étais bien occupée de ton côté avec Fred. Tu as eu ta part du gâteau de ton côté ?

  • - Non, Fred ne veut pas aller plus loin à cause de Laurence. Il a peur qu'elle soit jalouse... Et, compte tenu de ce que nous avons sous les yeux, je crois que ce soir mon chéri n'envisage pas vraiment de finir avec eux. C'est moi qui devrait être jalouse, il n'a pas arrêté de me parler de Chrystel avant de venir à la soirée ! Faut dire qu'elle a vraiment un cul d'enfer la garce...

  • - C'est le jeu, tu le sais bien. Un jeu qui comporte des risques. En l'occurrence, je crois que nous sommes tous les quatre assez équilibrés. Hummm, ne t'arrête pas...

  • - Si nous allions bavarder au calme, qu'en dis-tu ? J'en ai assez de toucher un bout de tissu, et je commence à être toute mouillée moi aussi, à cause de toi !

  • - Bonne idée, allons-y.

    Nous entraînions Chrystel et Seb avec nous, qui n'attendaient visiblement que ce moment. Nous nous dirigions vers les « coins calins » du château. Dans l'une des pièces que nous traversions, nous vîmes un couple d'amis en compagnie d'un charmant couple, qui discutaient ensemble assis dans des canapés. L'affaire semblait bien avancé. J'échangeais deux mots avec eux alors que un peu en retrait, Seb, Chrystel et Stéphanie se bécotaient. Seb avait placé sa main dans la culotte de Chrystel et la masturbait vigoureusement tandis-que Stéphanie lui caressait la nuque et les cheveux, lui sussurant des mots à l'oreille. Les gémissements de Chrystel commençaient à se faire entendre lorsque Stéphanie l'empoigna fermement par les cheveux et lui intima probablement l'ordre de s'accroupir. Seb dégrafa les boutons de son pantalon et lui mis son sexe dressé en bouche. Stéphanie embrassait son ami tout en guidant Chrystel dans ses mouvements. Comme toujours dans ces moments là, Seb était hilare. Chrystel le pompait avec frénésie et une délectation bien visible.

  • - Eh bien, c'est chaud là bas, fit remarquer l'une des personnes avec qui je bavardais.

  • - Oui, comme tu dis... d'ailleurs, je vais devoir vous laisser. A plus tard et surtout, ne soyez pas sages!

  • - File, tu risquerais de manquer quelque chose. Et ne t'inquiète pas pour nous...

    Je rejoignais le trio et leur suggérais que l'on aille se taquiner ailleurs. Cela m'aurait gêné de faire cela devant une tablée de personnes de notre connaissance. Seb rentra son engin et Chrystel se releva. Il lui mit une petite tape sur les fesses au passage.

  • - Tu as raison. Allez, filons, dit-il.

Chrystel m'embrassa et me prit par la taille, comme pour me rassurer sur ses sentiments envers moi.

  • - On s'amuse bien ce soir, hein chéri ?

  • - Et ça n'est que le début, répondis-je goguenard. Dommage que nous n'ayons pas fait de nouvelles connaissances... plus on est fous...

  • - Attends, tout n'est peut-être pas joué. Et quoi qu'il en soit, Stéphanie et Seb sont très sympas.

  • - Oui, c'est sûr... nous verrons bien.

    Toutes les pièces que nous traversions étaient déjà bien occupées par des couples qui en étaient à des stades plus ou moins avancés de leurs ébats. Dans la première pièce, nous nous attardions pour regarder une femme branler vigoureusement un homme au dessus du visage d'une charmante jeune fille qui semblait être sa compagne. La fille était agenouillée et la femme lui maintenait la tête en arrière par les cheveux, de manière à ce que son joli minois soit totalement exposé à la jouissance de son mâle. La femme encourageait l'homme et s'adressait à la fille sans détours :

  • - il va tout te donner, prépare-toi ma chérie... il va t'en mettre plein la figure, comme tu aimes!

    Quand l'homme déchargea sa semence sur le front de la fille, la femme continua à verbaliser la scène en s'adressant à lui :

  • - Hummm, c'est bon! Regarde comme elle aime ça la petite salope! Qu'est-ce que tu lui as mis!

    Puis elle embrassa la fille amoureusement, partageant au passage un peu de la semence masculine qui avait dégouliné jusqu'à sa bouche. Que de gens étranges dans ce milieu, ai-je pensé. Puis je me suis ravisé, songeant que chacun avait sa part de non-conformisme, plus ou moins enfouie dans son subconscient. Chez les libertins, le "surmoi" doit être un peu moins rigide que chez les autres pour ce qui a trait au sexe...

    Un peu plus loin, nous vîmes trois filles à quatre pattes en enfilade, avec au bout de la file un garçon assis sur une chaise. La première suçait le mec, la deuxième léchait le cul de la première et la troisième s'occupait du cul de la deuxième. Il manque un deuxième larron pour fermer la marche, ai-je pensé en reluquant la croupe offerte de la troisième. Quoi qu'il en soit, il n'y avait pas moyen là non plus de trouver le moindre centimètre carré de matelas pour nous quatre qui commencions à errer comme des âmes en peine, soumis que nous étions au supplice du voyeur : voir mais ne pas toucher ; bander ou mouiller, mais ne pas baiser.

Stéphanie me tira par le bras, ce qui eu pour effet de me ramener à la réalité.

  • - Viens, j'ai trop envie, me dit-elle.

  • - Y'a vraiment foule dans ces pièces, je sais pas où on va se mettre, sans mauvais jeu de mot.

  • - Toujours aussi drôle... tout ce que je sais, c'est qu'il faut que tu me mettes sans tarder parce que voir tous ces trucs ça m'a rendu folle, moi !

Je roulais un palot à Stéphanie en lui portant la main au panier. Elle était effectivement trempée et se mit à gémir très fort dès que mon indexe et mon majeur se furent portés sur son clitoris.

  • - Toujours aussi chaude et sonore, lui glissais-je en lui mordillant l'oreille.

  • - Je veux ta queue, me répondit-elle sobrement.

  • - Allons voir plus loin s'il reste quelque place.

    Chrystel et Seb avaient filé devant. Nous les retrouvions dans la troisième pièce, qui était bondée comme les précédentes. Chrystel se tenait debout une coupe de champagne à la main, le haut de la robe descendu sous la poitrine. Seb était dans son dos et faisait rouler ses tétons saillants entre indexes et pouces tout en lui prodiguant des bisous dans le cou. Un homme qui mesurait à vue d'oeil plus d'un mètre quatre-vingt dix était courbé sur elle, l'embrassant et la masturbant avec des gestes rapides. Elle ne perd pas son temps, la coquine! Après avoir vu Laurence en grande discussion avec une copine dans les canapés, je reconnus rapidement Fred en la personne du deuxième homme. Un joli couple qui marchait dans nos pas, fin de trentaine, l'air timide, s'arrêta pour regarder le spectacle. L'homme parlait à voix basse à sa charmante femme visiblement troublée. Trouvant probablement que les choses allaient trop loin à son goût, Laurence se leva et suggéra à Fred d'aller prendre un verre, car elle mourrait de soif. Pour la deuxième fois de la soirée, Fred était contraint de s'arrêter en chemin. Trop dur pour lui.

    Chrystel, à qui de nombreuses personnes avaient offert des coupes de champagne au cours de cette soirée était quelque peu éméchée et Seb, qui n'avait pas bu moins qu'elle mais avait usé d'artifices pour annihiler les effets de l'alcool savait manifestement profiter de la situation. Seb commençait à la connaître un peu. Ce qui lui plaisait particulièrement chez Chrystel, d'ordinaire assez BCBG et exerçant un travail à responsabilité qui lui interdisait tout écart de conduite, c'est que dans ces moments là elle laissait libre cours à ses envies, tout naturellement. Lorsqu'ils étaient entrés dans la troisième pièce et qu'elle avait aperçu Fred qu'elle apprécie beaucoup, Chrystel était allé spontanément discuter avec lui, une coupe de champagne à la main. Elle l'avait taquinée sur son début de soirée remarqué avec Stéphanie, lui reprochant de ne pas être venu s'occuper d'elle. Quel égocentrisme, ces filles. Bref, elle le draguait. Seb était hilare, comme d'habitude lorsqu'il avait la moindre émotion à gérer. Cette fille l'excitait. Fred avait posé ses mains sur les épaules de Chrystel comme pour la consoler et elle s'était rapprochée de lui pour l'embrasser. Brusquement et alors qu'il n'avait prononcé presque aucun mot, le grand brun taciturne avait descendu le haut de sa robe et avait pris ses seins à pleine mains. L'un et l'autre se livraient à un duel de langues mouillées et invasives aussi bruyant que passionné. Seb avait posé son verre et s'était positionnée derrière Chrystel pour ne pas être en reste. Ses mains avaient pris la place de celles de Fred qui étaient descendues en dessous de la ceinture lorsque Stéphanie et moi avions fait irruption dans la pièce.

    En quittant les lieux, Fred ne manqua pas de faire un clin d'oeil à Chrystel signifiant qu'il espérait bien ne pas en rester là. Chrystel et Seb nous rejoignirent et la femme du couple timide leva son verre en notre direction nous gratifiant d'un sourire mal assuré mais assez expressif. Seul à le remarquer, je lui rendais la pareille.

    La pièce qui suivait était la dernière et la plus impersonnelle. En début de soirée, nous nous étions promis de ne pas terminer ici. En venant des autres coins calins, on y entrait par une porte située sur la gauche. En face étaient étalés des matelas couverts de draps, inoccupés. Au fond à gauche, une salle de bains attirait quelques personnes épisodiquement. La plupart des gens ne s'attardaient pas dans ce lieu et continuaient leur chemin par une porte située à droite qui menait, via un long couloir, vers l'escalier monumental et la piste de danse. En somme, c'était un lieu de passage beaucoup trop éclairé et pas intime pour un sou, ce qui expliquait qu'à l'inverse des pièces précédentes, les libertins ne s'y attardaient pas. Pourtant, Chrystel se dirigea immédiatement sur les matelas en lâchant un candide:

  • - On est bien ici, vous ne trouvez pas ?

    L'alcool et l'excitation nous ayant fait perdre toute forme de complexe et d'objectivité, personne ne la contredit et, le temps de quitter nos chaussures, nous étions tous à ses côtés. Fous de désir, Chrystel et moi nous embrassions et nos caresses se faisaient de plus en plus poussées. Seb et Stéphanie avaient commencé à faire de même lorsque Seb s'éclipsa dans la salle de bains adjacente. Stéphanie se joignit alors à nous pour mon plus grand plaisir. Alors que j'atais allongé sur les coussins et que Chrystel avait sorti mon sexe pour le masturber tout en me prodiguant des baisers, Stéphanie le prit en bouche. Chrystel n'arrêtant pas son geste, elle me branlait littéralement dans la bouche de Stéphanie qui s'attachait à garder mon gland entre ses lèvres tant bien que mal. Ayant conscience qu'avoir deux charmantes bouches pour soi tout seul n'arrive pas si couramment que cela, j'incitais fermement Chrystel à joindre ses talents de pompeuse à ceux de Stéphanie. Leurs langues se livraient à une joute acharnée avec ma bite en guise d'arbitre, qui n'en demandait pas tant. Avec ma main droite, je relevais sur ses hanches la robe de Chrystel qui était à quatre pattes et descendais son shorty de manière à découvrir ses fesses. Son cul troussé était tourné vers la porte d'entrée principale de la pièce et livré aux regard des passants avec en première loge notre couple timide croisé quelques minutes auparavant. Je le malaxais et prenais un malin plaisir à écarter ses globes fessiers pour la dévoiler dans sa plus profonde intimité. Elle se mit à me pomper plus rapidement traduisant en cela son excitation, alors que Stéphanie avait entrepris de me lécher les couilles. Chrystel accéléra encore la cadence lorsque je lui assénais une paire de claques sur les fesses. Sa croupe ondulait frénétiquement et l'on pouvait entendre de petits gémissements étouffés provenir de quelque part entre mes jambes. Elle céda mon membre à Stéphanie et s'avança de quelques centimètres de manière à offrir davantage ses parties intimes aux assauts de ma main. Elle descendit le haut de sa robe et dirigea sa poitrine vers ma bouche. Mes doigts descendaient le long de son entre-fesses devenu accessible pour aller se loger dans son sexe trempé et ma langue alternait entre ses deux seins tandis que Stéphanie était encore à l'ouvrage sur mon sexe. La femme du couple timide s'était accroupie auprès de nous deux et avait posé la main sur l'épaule de Chrystel. Elle était mignonne et sa timidité apparente la rendait craquante. Sa longue chevelure blonde platine contrastait avec celles de mes deux maîtresses qui avaient toutes deux des cheveux noirs de jais. S'enhardissant, elle embrassa Chrystel maladroitement comme si c'était sa première fois. Probablement surprise mais satisfaite Chrystel lui rendit son baiser, ses joues devenant aussi rouges que celles de la blonde ingénue. Pour des raisons d'efficacité, ma main avait quitté les fesses de ma chérie pour attaquer son Mont de Venus par dessous, au niveau de son organe le plus sensible. Stéphanie avait délaissé ma bite et s'était redressée pour caresser les hanches de Chrystel qui se trémoussait plus que jamais. Alors que je n'avais rien vu venir, prisonnier que j'étais des seins de Chrystel, je sentis subitement un souffle chaud sur mes doigts humides et je compris que je n'étais pas le seul sur le coup. Un rapide coup d'oeil me confirma mon impression : le mec de la blonde avait empoigné le cul de ma nana à pleines mains et était en train de le laper à grand bruit. Il donnait des grands coups de langue de bas en haut, qu'il faisait alterner avec des attaques plus ciblées sur sa chatte ou son anus, du genre frappes chirurgicales. Pas gêné, le mec! Stéphanie avait été attirée par le spectacle et elle écartait dorénavant les globes fessiers de Chrystel pour faciliter la tâche de notre opportuniste complice. Alors qu'il avait positionné durablement sa langue sur le petit trou de ma chérie, ce dernier lui arracha un râle lorsqu'il introduit directement deux doigts dans sa chatte et qu'il se mit à la pilonner sans phase de rodage.

  • - Ouah, c'est bon ça ! Oh! Ahhhh!

    Je me dégageais de ma position pour faire connaissance avec la blonde, le sexe dressé et ayant ma chemise pour seul vêtement. Elle était vêtue d'une jupe portefeuille et d'un top noir sexy que je ne tardais pas à relever après que nous nous fûmes embrassés. Je la délestais de son soutien-gorge superflu pour dégager deux gros seins relativement bien galbés et Ô combien attirants. Sans être grosse le moins du monde, elle avait de belles formes et j'aimais cela. Elle était de ces filles qui ne vous embrassent pas, mais vous mangent la bouche comme des affamées. Elle m'excitait et, compte tenu du traitement qui m'avait été réservé quelques secondes auparavant, j'aurais perforé un mur avec mon engin. J'explorais sa vulve que je devinais entièrement épilée et la pénétrais de mes doigts. Elle me caressait les fesses d'une main et me branlait de l'autre. Je l'incitais à se dénuder totalement et en profitais pour enlever ma chemise. Lorsqu'elle me vit enfiler un préservatif, elle se mit à quatre pattes, tournée vers Chrystel qui était toujours dans la même position, et me présenta sa croupe ornée d'un de ces tatouages bien placés dont je raffole. Son cul était lisse comme celui de ma compagne. Je ne pus résister à la tentation de m'en délecter, me disant qu'il était toujours bon d'envoyer la langue en éclaireur. Je lui léchais un moment la chatte, puis la pénétrais en douceur. Elle et Chrystel s'embrassaient, le spectacle était grandiose. J'étais hypnotisé par la tête de tigre qui ornait le creux des reins auxquels j'étais agrippé. L'animal regardait fixement, prêt à bondir... Je décidais de faire diversion en le secouant un peu et accélérais la cadence. Ma partenaire manifestait son plaisir tandis-que son mari n'en finissait plus de doigter Chrystel qui, comme je la connaissait, devait trouver le temps long. Baise-moi bon sang! Seb avait disparu dans la salle de bains depuis bientôt une demie heure et le type qui s'occupait d'elle ne semblait pas vouloir sortir sa queue pour la baiser, alors qu'elle avait sous les yeux le spectacle troublant de son homme chevauchant une autre femme, dans sa position préférée qui plus est. Elle en retirait un certain sentiment de fierté car la salope avait l'air d'apprécier, mais comme à l'accoutumée, elle ne put refouler une pointe de jalousie qui lui montait du bas ventre vers l'estomac. Seb tomba à point nommé. Pour rattraper le temps perdu, il se déshabilla sur le champ et, alors que Stéphanie s'était rapprochée de moi pour me caresser les fesses, il fondit sur Chrystel pour lui fourrer son sexe engourdi en bouche. Elle le suçait, toujours besognée par notre doigteur fou. Seb avait du mal à bander. Il décalottait son gland et le passait sur les lèvres de ma chérie, qui empoigna sa bite molle et l'engloutit entièrement. Seb poussa un soupir de plaisir, ponctué d'une claque cinglante sur la croupe offerte de Chrystel. Le geste encouragea l'ami de ma partenaire qui lui asséna à son tour une paire de claques sonores sur le cul. Subitement, le membre de Seb avait durci et il guidait dorénavant la tête de Chrystel de manière à ce qu'elle lui lèche les couilles alors qu'il se branlait de la main droite.

  • - Hummmm. C'est toujours aussi bon avec toi, lui dit-il.

    Il ne lui laissa pas le loisir de répondre, lui clouant le bec avec sa queue. Le mec et lui inversèrent les rôles, Seb étant déterminé à terminer la dégustation qu'il avait entamée près de l'escalier un peu plus tôt. Il se délectait de la chatte devenue juteuse de Chrystel et écartait ses fesses au maximum pour offrir ses orifices aux assauts de sa langue. Chrystel avait de nouveau la tâche ingrate de faire bander le sexe qu'elle avait en bouche et dont le propriétaire semblait fortement intimidé. Un préservatif enfilé, Seb la prit en levrette alors que son deuxième partenaire avait laissé tombé l'idée de se voir prodiguer une fellation pour de langoureux baisers.

    Le tigre était de plus en plus secoué. Mon bassin claquait en cadence contre les fesses de la blonde qui montait dans les tours. Par moments, je ralentissais les mouvements pour l'embrasser dans le cou, lui caresser les seins et lui souffler des mots doux. Puis je reprenais de plus belle. Stéphanie me caressait les fesses d'une main et se masturbait de l'autre. Passablement délaissée depuis le début de la soirée et à bout de patience, elle me chuchota à l'oreille :

  • - Viens me baiser, j'en peux plus. S'il te plaît, viens.

  • - Chuuuuuut ! Lui répondis-je, à la fois compréhensif et un peu gêné par ses propos.

    Tout en continuant mes va-et-viens dans la chatte de la blonde, j'embrassais Stéphanie. Ma partenaire, qui comprit la situation et qui en retira manifestement un surplus d'excitation, se mit à respirer bruyamment et fut prise de convulsions. Je me retirais avant d'avoir joui et résistais à la pression surréaliste de Stéphanie pour passer un moment allongé aux côtés de cette fille dont je ne connaissait pas même le prénom. Son mari lui fit signe qu'il souhaitait partir avant même que j'aie eu le temps de le lui demander.

    Seb avait attrapé chrystel par les épaules et, fidèle à sa curieuse technique, alternait des va-et-viens rapides en levrette avec des périodes plus ou moins longues où il attendait quelques secondes la queue à moitié sortie de la chatte de Chrystel avant de l'enfoncer entièrement d'un coup sec. Il répétait ce geste brusque quatre ou cinq fois de suite, puis reprenais un rythme plus commun. La première fois, Chrystel poussa un cri de douleur et fit le dos rond. Malgré cela, il continua et au troisième coup, elle commença à gémir en se masturbant le clitoris. Il lui releva la tête par les cheveux pour qu'elle se cambre au maximum. Regardant droit devant elle, Chrystel constata qu'une petite assemblée d'une dizaine de personnes la regardait se faire baiser. Au milieu d'elles se tenait Fred qui lui sourit. Le quatrième coup la fit hurler de plaisir. Seb la baisa alors dans les règles; On entendait les fesses de Chrystel claquer en cadence et lorsque le rythme s'accéléra, elle jouit.

 

 

 

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines
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Lundi 22 septembre 1 22 /09 /Sep 19:01

Histoire vécue... commentaires bienvenus!!!

Nous avions rendez-vous vers 22 heures le vendredi soir, sur le parking d'un supermarché en pleine ville, au milieu des immeubles de style années 1970. Bien que de réputation calme, à cette heure en plein hiver le lieu n'était pas des plus engageants. Il faisait un froid glacial. Chrystel était habillée très légèrement comme il se doit pour ce types de soirées et, bien qu'ayant revêtu un manteau par dessus sa courte robe noire, elle frissonnait lorsque nous sortions de la voiture. J'envoyais un SMS pour signaler notre arrivée et, fort heureusement, nous ne tardions pas à apercevoir une ombre se diriger vers nous depuis l'intérieur du parc arboré jouxtant le parking. Nous saluâmes notre hôte qui nous ouvrit le portillon d'accès et nous dirigea sans se répandre en salamalecs vers le château. Nous étions prévenus, mais le lieu nous surprit tout de même. A de maintes reprises nous étions passés dans ce quartier, de retour de week-ends notamment, sans nous douter de la présence pour le moins saugrenue de cette battisse du 18ième siècle au beau milieu de la métropole bétonnée. Un sourire sur son visage nous signifiait que notre guide comprenait notre étonnement, sans pour autant qu'il ne ressentît le besoin de nous fournir de plus amples explications sur l'histoire du lieu.

  • C'est par ici, suivez-moi.

  • Sommes-nous les premiers?

  • Non, nous n'attendons plus beaucoup de monde après vous.

En gravissant les marches de l'escalier monumental, nous commencions à entendre de la musique électronique émaner du château, à grand renforts de basses. Le rythme de nos pouls respectifs s'accéléraient, comme entraînés par celui des « bits par minute » distillés par la puissante sono.

  • Vous pouvez laisser vos manteaux dans cette pièce que l'on a aménagée pour. Ne craignez rien, ils sont en sécurité. Notre petite fête se déroule à l'étage, comme vous pouvez l'entendre.

  • OK, nous allons laisser nos affaires ici, ça sera mieux pour la suite de la soirée. Vous habitez ici, dans le château?

  • Eh bien disons... oui. Vous êtes ici chez nous. Veuillez m'excuser, mais je dois aller m'occuper des autres invités à l'étage. A tout à l'heure!


Une fois de plus, nous comprîmes à son sourire que notre hôte souhaitait préserver une part du mystère qui entourait cette soirée. Nous nous délestâmes de nos manteaux et autres pulls puis visitâmes le rez-de-chaussée, où nous croisâmes au détour d'un couloir quelques couples qui comme nous n'avaient pu contenir leur curiosité. Nous nous saluions et échangions des regards complices tout en nous jaugeant mutuellement, mais cela n'allait pas plus loin. A ce stade de la soirée, la situation restait extrêmement sous contrôle, bien que tout le monde arborait des tenues très sexy qui n'auraient pas eu leur place dans le monde « ordinaire ». Nous nous décidions à nous jeter dans la gueule du loup, c'est à dire à monter à l'étage. A cet instant, nous souhaitions tous deux ardemment que nos amis Sébastien et Stéphanie avec qui nous avions rendez-vous soient déjà sur place, ce qui aurait eu pour effet de nous soulager un peu notre trac.

A l'étage, nous trouvâmes une bonne quarantaine de couples, verres de champagne à la main, répartis entre le vestibule, la salle dévolue à la danse et la cuisine où se trouvaient boissons et buffet froid. Tout le monde était en tenue sexy et certaines femmes étaient même vêtues de manière assez provocante, sans que ce soit la majorité. Nous saluâmes les têtes connues et discutâmes quelques minutes avec Laurence et Fred que nous avions déjà croisés à plusieurs reprises en club libertin et avec qui nous étions depuis longtemps en relation via MSN Messenger, mais avec qui nous n'avions pas encore butiné. Laurence, qui devait participer à un défilé de lingerie un peu plus tard dans la soirée, s'apprêtait à s'éclipser quand Seb et Steph se joignirent à nous. Une fois les présentations faites, ils nous expliquèrent qu'ils étaient arrivés avant nous et qu'ils étaient en train de visiter les « coins-calins » spécialement aménagés dans le château pour ce soir. Nous décidâmes de prendre un verre et de découvrir avec eux ces fameuses pièces. Elles étaient disposées en enfilade, comme il est d'usage dans les anciennes constructions. La première que nous visitions était très sombre et l'on devinait tout juste la présence d'un matelas dans une alcôve. La deuxième était moins sombre. Des matelas étaient posés à même le sol et un film pornographique y était projeté sur le plafond. Si le doute eût été encore permis malgré les tenues extraordinaires des convives, il ne l'était plus tout à coup : la soirée promettait d'être chaude. La troisième pièce était la plus éclairée et la plus grande. Puisqu'elle permettait de desservir plusieurs pièces annexes dont une salle de bains, elle était assez passante. Les matelas recouvraient une partie du plancher en bois et l'ambiance y était assez froide. Nous nous promirent de ne pas terminer la soirée dans cette partie du château, trop éclairée et donc pas assez intime à notre goût. La visite terminée, nous retournâmes vers le reste des convives qui étaient massés dans la pièce de danse ou dans la cuisine. L'ambiance commençait à se détendre, l'alcool aidant probablement les plus timides. Quelques couples commençaient à se trémousser sur la piste et de notre côté, nous n'en finissions pas de saluer et de parler avec des couples que nous connaissions de près ou de loin. Sur la piste, la température monta d'un seul coup lorsqu'un homme au look gothique-chic retroussa la courte robe de l'une des deux filles qui l'accompagnaient, la retourna, l'empoigna par sa longue chevelure noire et lui administra une fessée très théâtralisée. La victime était une sublime jeune femme aux cheveux de jais. Elle arborait un tatouage gothique assez imposant sur le bas des reins qui tranchait avec sa grande classe, la grande finesse de ses traits et la parfaite harmonie de ses formes. Son bourreau était secondé par l'autre fille du trio, très belle également, qui semblait prendre un grand plaisir à flageller la soumise. La scène était saugrenue car jusqu'alors tout était resté dans les règles de la bienséance, la soirée ayant un peu de mal à démarrer. Elle eut cependant eu le mérite d'exciter les corps et les esprits : les couples se mirent à se frôler et les regards se chargèrent de désir. Laurence partie préparer son défilé et Seb en train de remplir son verre à la cuisine, Stéphanie et Fred se rapprochèrent de manière flagrante au cours d'une danse endiablée. Elle était très entreprenante et lui semblait un peu dépassé par la situation, mais complice de bon coeur. Chrystel, un peu éméchée par le champagne, se laissait draguer par la femme d'un couple que nous connaissions via un site Internet. Alors que le mari de ce couple et moi discutions de notre côté depuis quelques minutes, nous aperçûmes nos deux femmes s'enlacer et s'embrasser à pleine bouche sur la piste... cela n'ira pas beaucoup plus loin car nous savons pour en avoir déjà discuté ensemble que nos deux amis ne pratiquent que le mélangisme. D'après notre maigre expérience, les couples qui pratiquent le mélangisme sont souvent venus au libertinage pour assouvir les fantasmes homosexuels de la femme en même temps que les penchants voyeuristes de l'homme, et toute intervention physique masculine est dès lors proscrite. Chaque membre du couple y trouve son compte car dans cette configuration où seules les femmes ont des relations sexuelles, les hommes peuvent mesurer leur pouvoir et leur puissance à travers la valeur de leur conjointe sur le « marché des plaisirs », tout en limitant les risques de voir monter le sentiment de jalousie. Nous ne souhaitons pas avoir ce type de relations où les hommes commentent en spectateurs les ébats de leurs belles, cela fait partie des règles que nous nous sommes fixées. Nous préférons que tout le monde s'implique et nous acceptons de courir le risque que des sentiments naissent entre l'un des éléments du couple et une autre personne avec qui il a eu des relations sexuelles, risque qui existe aussi lors de relations exclusivement homosexuelles mais dont les conséquences en terme de stabilité du couple sont moindres.

Le fait que je me rapprochais des deux filles et commençais à entrer dans la danse avec elles m'a d'ailleurs valu un regard désapprobateur de la part du mari, d'autant plus qu'il pouvait constater que sa femme, emportée par son désir, n'avait rien contre mon attitude. A partir de cet instant, quatre issues étaient envisageables :

  1. Partir à trois. Le mari aurait été terriblement jaloux et leur couple aurait été mis en péril. Solution proscrite car non éthique.

  2. Pratiquer le mélangisme. Solution inenvisageable pour nous, pour les raisons mentionnées plus haut.

  3. Les deux filles partent toutes seules se lécher le minou. Outre le fait que Chrystel préfère être en compagnie d'hommes même lorsqu'elle fait l'amour avec une femme, cette solution n'est pas dans l'esprit de l'échangisme. Elle relève d'une forme de libertinage que nous comprenons et respectons, mais que nous ne sommes pas prêts à vivre.

  4. Se promettre de rester « bons amis », en tout bien tout honneur libertin. C'est cette dernière solution qui émergea, après un dernier baiser échangé entre les miss.


Alors que Chrystel et moi dansions sur la piste depuis quelques minutes au rythme de la musique techno qui n'est pas vraiment notre tasse de thé et que Stéphanie et Fred s'étaient enlacés, leurs langues se battant en duel, Seb vint nous rejoindre, probablement agacé de voir sa compagne se jeter de la sorte dans les bras d'un autre et se frotter à lui comme une femelle en chaleur. Nous lui ouvrâmes grand les bras et, bientôt, notre trio entra lui aussi dans la décadence. Il faut préciser que Chrystel aimait beaucoup Seb, qui en plus d'être très mignon, bien foutu et bon baiseur, est doté d'un esprit rare. Il est à la fois intelligent, sympathique et plein d'humour. Elle et lui ne tardèrent pas à s'embrasser, alors que mes mains rejoignirent les siennes sur la poitrine de Chrytel, puis dans son boxer en dentelle noire ; sa robe était alors légèrement relevée par devant, mais cela restait assez discret. Lorsque nous constatâmes tous les deux qu'elle mouillait abondamment, nous échangeâmes un clin d'oeil complice accompagné d'un large sourire. Seb et Chrystel avaient déjà fait l'amour ensemble et ils avaient l'air d'en garder tous les deux un très bon souvenir.


  • Viens, dis-je à Chrystel. Allons visiter un peu les recoins du château... Qu'en dis-tu, Seb?

  • Je suis partant. Je sens qu'on va s'amuser, réponddit-il avec un sourire jusqu'aux oreilles.


La soudaineté de mon intervention surprit Chrytel, encore toute à son excitation. Elle ne répondit pas et, les joues rosies, nous suivit sous les regards envieux et curieux des danseurs ayant repéré notre manège. Je guidais Chrytel par la main, ouvrant le chemin. Seb qui fermait la marche profitait de la situation pour caresser la croupe de Chrystel, bien convaincu qu'il la tiendrait fermement entre ses mains plus tard dans la soirée. Arrivés sur le balcon intérieur qui surplombe l'escalier monumental où quelques couples conversaient, nous fîmes une halte. Cette fois-ci, Chrystel était tournée face à moi et nous nous embrassions. Seb, lui était resté un peu en retrait, probablement pour admirer la scène. Il est vrai que le lieu est somptueux et que la présence de Chrystel, certes habillée en tenue de soirée assez classique mais dont l'attitude d'excitation et certains détails comme sa chaînette de cheville et ses chaussures à plate-formes en plexiglas, accentuait la beauté de la scène par le contraste qu'elle provoquait. Comprenant ses pensées, je soulevais la robe de Chrystel par derrière pour exhiber ses fesses charnues. Seb me regardait avec un immense sourire plein de complicité perverse, Hummm, c'est bon ça!, alors que les personnes assises dans les escaliers ou de passage à côté de nous ne perdaient rien de la scène. Les pressions de mes doigts sur son clitoris firent haleter la miss, qui resta muette. Seb s'approcha alors et s'agenouilla derrière elle. Il lui empoigna les fesses et les malaxa vigoureusement en admirant leur réaction sous la pression de ses mains comme un gamin découvrant son nouveau jouet. Puis il fit glisser son shorty en dentelles le long de ses jambes, à la hauteur de ses genoux. Toujours hilare, il écarta les deux globes fessiers de la miss, marqua un temps d'arrêt pour admirer le spectacle et lui bouffa littéralement le cul, sous l'oeil amusé des personnes présentes. Le plaisir fut fulgurant pour Chrystel, électrisée par la langue de Seb et par mes doigts agiles. Seb et moi étions sur le point de l'emmener dans une pièce à part pour la baiser aussi sauvagement que notre degré d'excitation était élevé quand l'heure du défilé de lingerie arriva. Nous convînmes ensemble de remettre nos galipettes à plus tard, pour ne pas manquer le « clou de la soirée ». Chrytel remonta sa culotte et ajusta sa robe, puis nous nous dirigeâmes vers la piste de danse où nous rejoignîmes Stéphanie et Fred qui, comme nous, avaient calmé leurs ardeurs et prenaient tranquillement un verre ensemble.

 

 

 

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines
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Lundi 22 septembre 1 22 /09 /Sep 18:49

Ça y est, c'est décidé, ce soir nous sortons au *****. On est vendredi et il paraît que le vendredi les soirées sont plus intéressantes et plus chaudes que le samedi, car les hommes seuls sont acceptés. Notre fille est chez ses grands parents, nous sommes libres comme l'air... Nous prenons un petit apéro dînatoire tout en nous préparant pour la soirée. Après un passage à la salle de bains, Chrystel commence l'essayage de ses tenues, pour mon plus grand plaisir. Elle choisit une de ses robes noires de soirées, trop courtes pour être portées lors des sorties conventionnelles. Elle enfile un shorty en dentelles et un soutien-gorge, ainsi que des bas. Ce soir, elle a décidé d'essayer de porter ses chaussures plate-forme pour aller danser, ce qui n'est pas une mince affaire : elles font environ 17 centimètres de talons! La traversée du parking du ***** s'avèrera d'ailleurs une épreuve pour elle... Pour ma part, j'enfile un pantalon noir de soirée et une chemise sexy. Nous voilà partis pour le ***** club, c'est une première pour nous. Quelques mots échangés avec le vigile du parking et le videur, puis nous laissons nos affaires au vestiaire. Le moment est venu de découvrir enfin ce haut lieu du libertinage dans la région!

Il faut bien le dire, nous sommes assez déçus par l'endroit : parmi les hommes seuls, beaucoup sont en costume, tout juste sortis du boulot... on a des doutes sur la possibilité qu'ils ont eu de prendre une petite douche avant de venir. C'est pas notre truc. D'autres sont habillés comme s'ils allaient ramasser des champignons, gros godillots et chemise à carreaux... le tout n'est pas très attirant! Et puis ça augure mal de l'attitude de ce genre de personnes, qui parce qu'elles payent fort cher leur entrée se croient tout permis, à commencer par ne pas faire le moindre effort vestimentaire.

Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, nous papotons avec quelques couples de nos connaissances, prenons une coupe et allons nous trémousser sur la piste. Nous ne sommes pas emballés par l'ambiance et ne faisons aucune touche, homme, femme ou couple... Je remarque alors un jeune homme assez mignon et esseulé, l'air un peu timide, qui fait des allés et venues entre le bar et la piste. Je le signale à Chrystel, qui me dit l'avoir repéré... Elle me fait remarquer son jeune âge, ce qui la freine un peu : elle a une préférence marquée pour les trentenaires et il doit avoir au plus 25 ans. L'envie de s'amuser un peu est plus forte et les réticences de la miss liées à l'âge du jeune homme volent en éclat. Nous entreprenons d'aller le chauffer sur la piste. Nous allons nous placer non loin de lui et commençons à danser tous les deux de manière torride : nous nous enlaçons et nous embrassons lascivement, et je ne tarde pas à passer mes mains sur la croupe de Chrystel ainsi que sur ses seins, à travers sa robe -courte et moulante comme il se doit dans les soirées libertines. Tout en dansant, nous nous rapprochons progressivement de lui, qui repère notre manège. Il comprend aux regards qu'il échange avec nous qu'il peut entrer dans la danse, ce qu'il fait en prenant Chrystel par la taille et en se frottant contre elle, par derrière. Rapidement, elle se retourne, l'enlace et l'embrasse à pleine bouche. Nous continuons notre danse érotique à trois, les mains du jeune homme rejoignant les miennes sur les fesses de Chrystel, puis dans sa culotte. Elle mouille abondamment et ne cache pas son plaisir... Elle-même fait connaissance, tactilement parlant, avec le membre durci de son nouveau compagnon à travers son pantalon. Quelques hommes échauffés par l'attitude de Chrystel qui prend ostensiblement du plaisir à se faire caresser par deux hommes en profitent pour caresser les seins et les fesses de la belle... Elle ne le remarque pas, nos quatre mains lui donnant certainement déjà l'impression d'avoir des paluches partout sur son corps! Bien que comprenant leur attitude, je fais comprendre à l'essaim qu'elle n'a pas décidé de faire un gang bang... Comme souvent en club, nul n'est besoin de faire un dessin, les gens étant en général respectueux des autres.

Après avoir dansé, nous allons prendre une coupe de champagne avec le jeune homme dans des fauteuils à côté du bar. Le bloc de climatisation souffle un air glacial et l'ambiance se refroidit assez rapidement... il s'avère que nous n'avons pas grand chose à nous dire et que C. (son prénom) n'est pas très loquace. Bien que nous ayons pris soin de faire en sorte qu'il soit assis à côté de Chrystel, il garde ses distances et semble tétanisé par sa timidité.

Nous restons ainsi de longues minutes, Chrystel et moi essayant tant bien que mal de relancer régulièrement la conversation. Nous nous échangeons des regards interrogateurs : que faut-il faire? Pensant que Chrystel n'y voit pas d'inconvénient, je suggère de monter dans les coins calins situés à l'étage, pour poursuivre la conversation. Elle me confirmera plus tard qu'elle n'était pas très chaude, mais qu'elle voulait aussi pimenter la soirée...

Tous trois nous dirigeons alors vers les coins calins. Pour faire remonter l'ambiance, je prie Chrystel de nous précéder dans les escaliers, ce qui me permet de lui caresser les fesses en lui soulevant sa courte robe, de manière à ce que notre ami ne perde rien de la scène. Un homme plus entreprenant que lui aurait pris cette initiative à ma place, assurément!

Il y a du monde ce soir, nombre de pièces sont déjà occupées. Nous ne souhaitons pas par ailleurs nous retrouver dans une grande pièce ouverte avec d'autres hommes ou d'autres couples. Nous nous enfermons donc dans une petite pièce qui va rapidement se révéler être une étuve en l'absence de climatisation et compte tenu de la température extérieure caniculaire de ce début juillet.

Chrystel s'allonge sur le matelas en Skaï, j'entreprends de lui lécher la chatte alors que C. enlève ses chaussures et s'allonge à côté d'elle. Il l'embrasse, lui caresse les seins, la déshabille... Profitant de ce que j'enlève mon pantalon et mes chaussures, laissant libre la voie, ses doigts vont titiller le clitoris de Chrystel et s'immiscer dans son vagin. Je retourne à mon affaire, entre les cuisses de la miss. Il se dresse sur ses genoux de manière à ce qu'elle puisse dégrafer son pantalon, tout en continuant de lui branler le clito. Chrystel découvre sa bite ornée de grosses couilles pendantes... je devrais dire nous découvrons sa bite, puisque c'est un moment important pour moi aussi, en définitive : comme la plupart des hommes je pense, j'ai tendance à faire des comparaisons, et puis je sais que l'allure de la bite a son importance pour elle, même si ça n'est pas là l'essentiel. Je me dis qu'elle est assez grosse, elle me dira plus tard qu'elle est de taille moyenne : j'ai toujours du mal à estimer la taille et la grosseur de la bite des autres; certainement une question d'angle de vue, étant donné qu'on voit rarement sa propre bite par dessous ou par côté! Quoi qu'il en soit, elle le suce goulûment pendant que nous la caressons. Puisque nous sommes intimes dorénavant, les vêtements sont superflus. Nous faisons une pause pour nous en débarrasser et reprenons le fil de notre trio. Il s'assied sur le matelas, Chrystel se met à quatre pattes pour le sucer et je me place derrière elle pour la lécher. Il se révèle assez entreprenant, bien que toujours aussi peu loquace. Il accompagne d'une main la tête de Chrystel sur sa bite qu'il tient de l'autre, l'air assez dominateur. D'ailleurs, il ne tarde pas à la guider sur ses couilles qu'elle lèche et gobe avec frénésie. Il la maintient sur ses bourses assez longtemps, semblant apprécier les caresses qu'elle lui prodigue. Je le remarque et lui déclare que moi aussi j'adore me faire lécher les couilles. Il me « répond » par un sourire complice et un peu potache, tandis-que Chrystel continue sa besogne, aventurant sa langue sur le périnée, partie située entre les bourses et l'anus, sous la pression exercée sur sa tête par de la main de notre amie... la situation m'excite au plus haut point. L'homme est discrètement dominateur, j'adore! Je bouffe la chatte et le cul de Chrystel de plus belle encouragé par ses gémissements étouffés par la présence de la chair de notre camarade de jeux de ce soir dans sa bouche. Je la masturbe intensément en introduisant mes doigts dans sa chatte trempée, tout en léchant son anus avec délectation. Mes doigts bien lubrifiés, son petit trou humidifié et détendu, j'entreprends de lui doigter l'anus, ma langue s'occupant dorénavant de son clito. C., excité, ne tarde pas à s'intéresser à ce qui se passe de ce côté-ci. Alors que Chrystel continue de la sucer, il se redresse et caresse les fesses de la belle tandis-que j'introduis profondément deux doigts dans son cul. Lui et moi échangeons des regards complices, elle traduit son trouble par des gémissements lorsque j'enfonce... Je retire alors mes doigts pour laisser la voie libre à notre ami. Je branle le clito de Chrystel d'une main et lui écarte une fesse de l'autre, de manière à offrir le plus possible son anus à la vue et aux assauts de C. Il observe, mais n'ose pas prendre le relai... Tout en lubrifiant de nouveau le petit trou de la belle avec sa cyprine, je lui fais alors signe qu'il peut y aller, ce qui a raison de ses dernières hésitations. Il introduit un de ses doigts dans son anus et je ne tarde pas à le rejoindre avec l'un des miens. Nous ouvrons de concert la porte dérobée de Chrystel, alors qu'elle accentue la cambrure de ses reins, tendant ainsi son cul à l'extrême en le faisant aller à la rencontre de nos doigts. L'excitation est alors à son paroxysme. Il va falloir passer à autre chose... Chrystel nous suce tous les deux alternativement, puis j'enfile un préservatif; bien que dans l'intimité nous n'utilisions pas de capote, le recours au latex s'impose dans le cadre du libertinage pour des raisons d'hygiène. Je la pénètre alors longuement en levrette, sa position préférée, tandis qu'elle suce C. avec passion. On crève de chaud dans la pièce; les matelas en Skaï son trempés; ça n'est pas très agréable... Notre jeune ami et moi échangeons les rôles. Il baise Chrystel tandis qu'elle me suce et me lèche les couilles. Je lui branle le clitoris et lui introduis deux doigts bien profondément dans son cul. Elle est très excitée d'être ainsi baisée et simultanément doigtée dans son petit trou... C. se retire alors de sa chatte et entreprend de l'enculer, avec un certain toupet pour un petit jeunot timide. Je m'attends à ce qu'elle proteste, pensant que l'approche est un peu rapide, mais au lieu de cela elle accentue sa cambrure, traduisant ainsi son excitation et son approbation. Compte tenu du temps que nous avions passé auparavant à lui ouvrir le cul avec nos doigts, il rentre sans peine et sans ménagement. Il la besogne ainsi longuement, plus longuement qu'il ne l'avait fait dans sa chatte. Sans phase de transition, il va et vient dans son cul avec des mouvements amples et rapides comme il s'y serait pris s'il avait voulu la faire jouir en la baisant dans sa chatte. Elle se branle le clito et sa bouche commence à délaisser ma bite, ce qui est chez elle signe que l'excitation est à son comble... J'adore la voir ainsi offrir son cul à des inconnus et y prendre du plaisir. Je n'en manque d'ailleurs pas une miette, en écartant ses fesses pour contempler au mieux le membre gonflé de C. lui explorer les entrailles. Le cul de la belle ainsi écartelé, il peut s'enfoncer au plus profond possible. Il prend un plaisir pervers à se retirer de temps à autre de manière à admirer le trou béant de la belle et aussi de manière à me le montrer, en pensant très fort : « Tu vois ce que je lui mets à ta salope de femme? Regarde comme elle aime ça! » . Il me laisse alors la place et je continue sur la voie qu'il a tracée. Nous sommes tous les trois très excités. Nous la prenons alors brièvement en double : elle empale sa chatte sur sa bite et je m'introduis dans son cul. Elle adore ça, mais nous ne tenons pas la position bien longtemps, la chaleur et la sueur ayant raison de nos dernières forces. Je jouis dans la chatte de Chrystel, tandis que notre ami se rhabille déjà. Il file sans mot dire (il aura dit en tout et pour tout pas plus d'une dizaine de mots!) et nous passons par la salle de bains. Nous le retrouverons un peu plus tard sur la piste de danse, à la recherche d'un autre couple avec qui terminer la soirée. Ayant une journée chargée en perspective le lendemain, nous l'abandonnons à sa nouvelle quête.

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines
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Jeudi 10 avril 4 10 /04 /Avr 09:23
Je viens de publier la première partie du récit de l'une de nos soirées libertines, dans un château façon "Eyes wide shut", les costumes en moins. Le lien est en haut à gauche.

La mise en page n'est pas parfaite, je corrigerai cela quand j'aurai le temps... n'hésitez pas à commenter ce récit ici! La suite, croustillante, bientôt...

Bonne lecture à tous !
Par David - Publié dans : Mes aventures libertines
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Jeudi 20 mars 4 20 /03 /Mars 08:59
Bonjour à tous les coquins et toutes les coquines qui visitent ce site,

bientôt, je mettrai en ligne le récit d'une soirée libertine à laquelle Chrytel et moi avons participé, dans un château... croustillant!

A bientôt !

David

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines
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Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 16:00

Histoire vécue... commentaires bienvenus!!!

First time...

Mon amie Chrystel et moi avons 32 ans et cela fait pas loin de 10 ans que nous sommes ensemble. Après en avoir beaucoup parlé, souvent de mon initiative, nous avons franchi le pas de l'échangisme il y a 3 ans, en commençant par des trios avec d'autres hommes parce qu'à priori, c'est ce qui nous faisait le plus fantasmer tous les deux. Un soir où nous avions bu un peu de bon vin, je lui ai lancé un défi, celui d'aller dans un club échangiste situé à côté de chez nous, "juste pour voir" et sans obligation de notre part de participer. Elle s'est préparée, rasé et parfumé le minou, habillée sexy mais soft avec une robe noire et des chaussures plate-forme qui lui galbaient les jambes. C'était un vendredi soir et dans le club en question, le vendredi, c'est soirée "mixte" : les hommes seuls y sont acceptés. Mais ça, nous n'en savions rien. L'attente devant la porte blindée du club nous parut une éternité. Pendant cette attente, deux hommes sont arrivés, qui se sont mis à détailler ma belle des pieds à la tête, en s'attardant sur son cul. Si elle était plutôt gênée de la situation, je commençais pour ma part à être franchement excité. Lorsque nous entrons dans le club, nous trouvons une ambiance très sympa, similaire à celle d'une discothèque conventionnelle, au détail près que la tenue vestimentaire de la taulière, faite de vinyle et de strass, n'a rien de conventionnel. En revanche, il n'y a pas foule sur la piste, la soirée ne semblant pas avoir décollée. Nous prenons une consommation et allons nous installer dans les fauteuils, le coeur palpitant à 150 pulsations par minute ! Quelques gentlemen viennent s'assoir près de nous, à tour de rôle, pour faire connaissance. Nous discutons de choses et d'autres, sans aller plus loin. Puis, la piste se remplissant, nous laissons notre timidité sur les banquettes pour aller nous trémousser. Chrystel se fait approcher par des hommes qui la prennent par la taille et dansent quelques pas avec elle, mais là encore, ça ne va pas plus loin que dans une boîte conventionnelle car la miss ne se livre pas. Après avoir repris une coupe de champagne, nous décidons, un brin éméchés, de visiter les « coins-calins », ensemble de pièces plus ou moins fermées situées à l'étage. Nous commençons par assouvir notre curiosité en regardant, lorsque c'est possible, des couples ou des groupes faire l'amour. De voyeurs, nous devenons exhibitionnistes lorsque, émoustillés par le spectacle, vu au travers d'un hublot, d'une jeune femme en train de se faire baiser par deux hommes. Je passe en effet dans le dos de Chrystel, qui est absorbée par la scène, pour la caresser. Au début, je prodigue mes caresses à travers sa robe sur ses seins, ses fesses, puis sa chatte. Peu à peu, devant le plaisir qu'elle prend, je m'enhardis et sors de sa robe ses mamelons aux tétons durcis. Pour les couples et hommes nous entourant, le spectacle est alors autant à l'intérieur de la pièce où la jeune demoiselle crie de plus en plus fort qu'à l'extérieur, où ma chérie se met à gémir doucement... La situation nous excite au plus haut point tous les deux et mes mains se font de plus en plus agiles, dansant sur son clitoris et triturant ses tétons. Quelques courageux tentent une approche mais nous ne sommes pas encore prêts à passer à l'acte, ce qu'ils acceptent avec beaucoup de courtoisie et de dignité. N'y tenant plus, nous allons nous installer dans une de ces pièces où des hublots de navire permettent aux voyeurs d'assister aux ébats des libertins. Pas esprit « cool », par naïveté, et peut-être un peu par calcul de ma part, nous ne fermons pas la porte à clé. Nous commençons alors une longue séance de préliminaires, comme nous les apprécions tous les deux. Elle me suce, je la déguste. Une fois, deux fois, trois fois, des hommes entrent dans la pièce pour nous proposer leurs services. Nos refus se faisant de moins ne moins catégoriques à mesure que notre excitation grandit, certains restent quelques minutes pour nous regarder. Je pense que cela nous a habitués tous les deux à la présence d'un autre homme dans notre intimité. Et puis, coup de folie ou coup de poker, sentant Chrystel chaude comme la braise, j'invite par hublot interposé un jeune spectateur mignon à entrer dans la pièce. Il est grand, blond et très costaud (nous apprendrons par la suite qu'il a 22 ans et est moniteur dans une salle de gymnastique à Grenoble). Notre ami est aussi terrorisé que nous et, par timidité, Chrystel ne contribue pas à le mettre à l'aise en le bombardant de questions plus ou moins existentielles mais fort peu à propos. Je détends l'atmosphère en reprenant mon cunnilingus, ce qui a pour effet de transformer immédiatement les paroles de Chrystel en gémissements langoureux. Notre compagnon en profite pour venir l'embrasser, puis la caresser... quelle excitation de voir ma chérie ainsi livrée aux mains baladeuses d'un autre, quel pied de la voir embrasser avec fougue un inconnu! Mais le paroxysme de cette excitation de voyeur, pour moi, fut l'instant où le jeune homme, après avoir dégrafé son jean, descendit son caleçon pour dévoiler son sexe en érection sous le nez de Chrystel. Sans hésitation, ivre de plaisir, elle se saisit du manche pour le sucer. Ensuite, il l'a baisée en missionnaire puis l'a prise en levrette pendant que Chrystel me suçait. J'ai pris le relai et sous nos assauts cadencés, elle a joui. Nous étions tous trois aux anges. Nous avons pris un verre dans le club, nous sommes quittés et ne nous sommes jamais revus.

Par la suite, nous avons connu d'autres expériences de ce type, souvent très agréables.

N'hésitez pas à me contacter,

Bien à vous,

David

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines
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