Un soir en club libertin, ma femme, 27 ans à l'époque, se fit draguer
de façon très directe par un homme de 20 ans de plus que nous connaissions un peu par l’entremise de sa complice libertine de l’époque et qui était un habitué des lieux. Il était séducteur,
grivois et n'hésitait pas à la peloter de manière tonitruante... je suscitai une pause dans ce petit jeu et lui fis remarquer que c'était un goujat et qu'il était trop vieux (elle ne fréquente
habituellement que les hommes de son âge). Elle rit et me dit qu'il était beau, marrant et très bien conservé... malgré ma réticence visible, il reprit son manège, encouragé par ma femme qui
était visiblement très réceptive. Il l'invita alors à prendre un verre au bar et moi, bien sûr, je les accompagnai. Elle était installée entre nous deux et, profitant de la position imposée à ma
chérie par les tabourets de bar, il caressait ses cuisses tout en ne cessant ses palabres à aucun instant, les yeux rivés sur elle. Très décomplexé et à mon sens très lourd, il la complimentait
sur ses bas noirs et sa culotte qu'il lui demanda de dévoiler davantage, ce qu'elle fit avec une bonne humeur consternante à mes yeux en écartant ses jambes et en le laissant remonter sa déjà
courte robe. Entre deux gorgées de champagne et durant un flot continu de compliments, il lui titillait la chatte à travers le tissu, puis très directement une fois celui-ci mis de côté. Elle
était alors entièrement tournée vers lui, toujours assise sur son tabouret, mais me tournant le dos et jambes écartées. Il lui baissa alors le haut de sa robe en dessous de la poitrine et lui
malaxa les seins, ce qui finit d'attirer l'attention des autres personnes accoudées au comptoir, goguenardes. J'étais pétrifié par la jalousie, la gêne et l'incompréhension, lorsqu'il sortit sa
bite entre deux paroles banales et prit ma femme par la nuque pour l'attirer dessus. Devant tout le monde et les seins à l'air, elle descendit de son tabouret, s'accroupit et suça avec avidité sa
bite encore molle. Se faisant très directif, il la guidait sur sa queue durcie et se livrait, toujours dans la bonne humeur, à des commentaires outranciers du type : « Ah elle est bonne
ma queue petite salope, hein !? » ou encore « Oh mais c’est qu’elle suce divinement la cochonne ! ». Bref pas une phrase sans qu’il ne la qualifie de salope ou de
cochonne en s’adressant un peu à elle et beaucoup à l’assistance, sur le ton il est vrai de la rigolade. Personnellement, je n’appréciais pas trop son humour et en même temps, en bon candauliste
que je suis, j'étais très excité par la scène. Elle, loin de mal prendre ses paroles, elle suçait, riait et lui confirmait que sa queue était bonne…
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