Le bougre ne se laissa pas amadouer. Alors que Justine approchait ses lèvres des siennes, il l’empoigna par les cheveux, tira sa tête vers l’arrière et lui arracha sa veste de tailleur. Il la força à s’agenouiller et à lui faire une fellation profonde qui lui souleva le cœur.
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Ta bouche n’est faite que pour nos queues, lui dit-il. Si tu veux faire ami-ami, il faut que tu comprennes ça d’abord. Je suis OK pour que tu deviennes ma salope, mais c’est moi qui fixe les règles, compris ? Pas de baisers, je réserve ça pour ma femme plus tard. J’embrasse pas une pute, moi. Par contre, je suis d’accord pour te baiser régulièrement, si c’est ce que tu veux… c’est du donnant-donnant : moi, je me vide les couilles en attendant mon mariage, et toi ça te calme le cul. De temps en temps, je te prêterai à avec des potes et on te fera tourner. C’est OK comme ça, Justine ?
C’était la première fois que Mohammed l’appelait par son prénom. Justine y vit à la fois une familiarité incongrue de la part d’un élève et un signe d’affection touchant. Malgré la situation révoltante, la proposition de Mohammed la troublait. Lorsqu’il retira son chibre de sa bouche pour la laisser répondre, prise au dépourvu, elle s’entendit acquiescer. Puis, jouant avec sa queue, elle le supplia de la baiser. Il retira sa ceinture de son pantalon, la lui passa autour du cou et lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Il la fit marcher ainsi dans la salle de classe, devant ses copains goguenards. Il déclara :
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Regardez les mecs, je vous présente ma chienne. Elle est docile mais elle requiert beaucoup d’attention parce qu’elle est toujours en chaleur : elle demande à être saillie régulièrement. N’est-ce pas ma petite chienne ?
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Oui, baise-moi, j’ai la chatte en feu ! Répondit Justine, qui assumait dorénavant un peu mieux sa condition.
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Au pied ! Lui ordonna Mohammed.
Justine blottit immédiatement sa tête contre les jambes de son nouveau maître. Les autres n’en perdaient pas une miette : Kevin se branlait en regardant le spectacle et Jordan continuait à filmer. Mohammed se pencha pour asséner des claques appuyées sur les globes fessiers de sa chienne, puis il attacha la laisse au pied d’une des tables de la salle. Il passa derrière elle, lui écarta une fesse et l’emmancha dans le cul avec son pieu. Son sexe était vraiment hors norme, mais après le traitement que Kevin lui avait infligé l’anus de Justine était prêt à le recevoir sans trop de difficultés. Momo savait décidément bien s’y prendre. Il alternait les mouvements amples et lents avec des coups de reins plus rapides et serrés. Justine se masturbait le clitoris et eût assez rapidement une jouissance fulgurante au moment où Kevin qui n’en pouvait plus vint éjaculer sur sa joue. Comme promis, Jordan et Mohammed la prirent ensuite en sandwich. Elle était sur le point de jouir une deuxième fois quand Jordan, qui était manifestement peu endurant, éjacula dans son préservatif. Mohammed prit alors le relai dans sa chatte jusqu’à ce qu’ils jouissent de concert. Affalé sur elle et trempé de sueur, le colosse ne pu réprimer un baiser.
Après avoir repris ses esprits, Mohammed ordonna à Jordan de lui transmettre les films de la scène, puis de les détruire. Il leur fit jurer de ne rien dévoiler, sous peine de représailles. Jordan s’exécuta et Kevin et lui quittèrent les lieux en rasant les murs. Mohammed rassura Justine sur le fait que rien de ce qui s’était passé ne filtrerai, à la condition qu’elle tienne ses engagements à son égard. Justine, moqueuse, lui répondit que les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Mohammed fit semblant de comprendre et ils se séparèrent à la grille du lycée.
Le soir même, Mohammed reçut un message électronique de la part de Justine, dont l’objet était « Tit for tat ». Le texte était bref et très clair : « Si tu ne veux pas que ta maman sache la manière dont tu traites les femmes, tu dois tenir tes engagements et ne rien divulguer des films que tu as en ta possession ». Surpris, Mohammed visionna le petit clip qui était en pièce-jointe et s’y vit nu, sexe en érection, en train de fesser Justine à quatre pattes dans la salle de classe. Il s’entendit la qualifier de salope et lui dire qu’il allait lui défoncer le cul. Il se dit qu’il n’arrivait décidément pas à supporter sa voix, puis il réfléchit.
Mohammed était partagé entre colère et admiration pour Justine, que lui et ses potes avaient manifestement sous-estimée. Après avoir réfléchi et compte tenu de la piètre qualité du film, il arriva à la conclusion qu’elle avait dû mettre en route la webcam de son ordinateur portable de manière à avoir une preuve de son agression. Elle n’avait sans doute pas capturé la totalité des images, mais elle en avait apparemment suffisamment en sa possession pour lui foutre une honte dont il ne se remettrait pas. Il ne pouvait pas concevoir que sa famille, et surtout sa mère, puissent être au courant de ses agissements. « Elle me tient par les couilles !», s’exclama-t-il tout haut dans sa chambre.
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Tu t’es fait mal mon fils ? Lui cria sa mère depuis la cuisine.
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Non, M’mam, c’est rien, je me suis juste coincé un doigt mais c’est pas grave !
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Ah bon, tout va bien alors…
Mohammed était rouge de honte et le sentiment qui prédominait à cet instant dans son esprit était la peur. Il avait tout simplement peur que Justine balance tout à sa famille et qu’il termine sa vie rejeté de tous, en paria. En même temps, la vision du film de Justine qu’il se repassait en boucle le faisait bander comme un taureau. Pas de doutes, il avait cette femme dans la peau, quelque part logée entre le cortex et le bas ventre. Elle les avait bluffé. Il décida d’essayer de reprendre la main malgré tout, en tentant de rentrer l’adresse e-mail de Justine dans ses contacts Microsoft Messenger pour avoir une conversation avec elle. Vingt minutes plus tard, il reçut un Wizz de juste_une@hotmail.fr, suivi d’un message instantané :
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Alors, tu te remets des tes émotions ?
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Salut… c’est quoi ce chantage ?
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J’ai simplement pas envie de retrouver vos vidéos sur le net… avec ma petite vidéo à moi, je suis sûre que tu vas rester sage. Pas vrai ?
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Je ferai rien, tu as ma parole. Et les autres n’ont plus rien entre leurs mains, t’es tranquille.
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Bon, c’est bien. Je savais que tu étais un mec bien Momo.
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Merci. Moi, je savais que tu étais une belle salope lol
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Dois-je prendre ça comme un compliment ?
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Plutôt oui, j’aime bien les salopes dans ton genre, qui aiment la queue et qui ont du caractère… c’est pas courant lol
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Plus que tu le crois Momo… suffit d’être attentif aux désirs des filles, ce qui n’est pas le fort de beaucoup de mecs.
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Si tu le dis !!! mdr
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J’en suis sûre…
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Au fait, dans ton mail tu parlais de nos engagements… ça tient toujours ?
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Je croyais pourtant avoir été claire, non ?
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Si, mais…
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Enfin, c’est comme tu veux, mais de mon côté c’est OK.
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OK, alors branche ta cam salope, je veux te voir.
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D’acc
Mohammed et Justine commencèrent une conversation vidéo.
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T’es toujours aussi craquante… T’es seule, là ?
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Oui, seule dans l’appart’. Et toi ?
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Non… je dois rester discret.
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Ah ! C’est ta maman qui est dans le coin ? mdr
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Très marrant… tu mériterais une bonne fessée lol
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Hummmmmm… faut pas te gêner !
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OK, mets-toi à poil.
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Quoi ?
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A poil tout de suite, allez !
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Pas maintenant, je dois sortir… on fera une cam coquine une autre fois…
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Tu es libre de rompre le contrat quand tu veux. Mais sinon, tu te mets à poil et tu fais des tours à quatre pattes dans ton bureau pendant que je t’écris ce que j’ai à écrire. OK salope ?
Justine sentit une chaleur l’envahir. Elle devint toute rouge, excitée mais aussi honteuse d’être traitée de la sorte par ce morveux. Elle dégrafa son chemisier et délivra ses seins de l’étreinte de son soutien-gorge. Elle vit Mohammed arborer un large sourire, tout satisfait de lui-même qu’il était. Elle se sentit mouiller en repensant au moment où il l’avait embrassée après l’avoir enculée comme une vulgaire putain et l’avoir fait jouir dans la salle de classe. En souvenir de cet instant, elle retira son pantalon, sa culotte et ses bas puis tourna son cul en direction de la webcam.
Mohammed prit le micro et lui souffla :
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C’est bien, t’es une bonne petite soumise… et j’aime décidément ton gros cul ! Allez, à quatre pattes, hop !
Justine s’exécuta du mieux qu’elle put. Elle fit deux fois le tour du bureau en se cambrant au maximum et en tortillant son postérieur pour se rendre plus désirable et pour devancer les ordres de Momo.
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Maintenant va frotter ton cul et ta moule contre le pied de ton bureau, lui ordonna-t-il d'une voix rauque.
Bien qu'elle trouva l'exercice avilissant et sans intérêt, Justine exécuta l'ordre sans broncher. A quatre pattes, elle fit marche arrière jusqu'à ce qu'elle sente le métal glacé du pied se son bureau entrer en contact avec la raie de ses fesses. La sensation était très désagréable mais elle avait décidé de jouer le jeu. Elle se cambra de manière à coller sa vulve contre le pied métallique et commença à onduler le bassin quand elle entendit le signal sonore qui annonçait les nouveaux messages sur Live messenger :
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Je te laisse, faut que je descente manger, ma mère m’appelle, avait-il écrit. Vu l’état dans lequel tu es, petite chienne en chaleur, tu devrais te branler. On se voit demain en cours… après le cours, quand tout le monde sera parti, je veux que tu ailles dans les chiottes des mecs, le troisième en partant de la droite. Je viendrai et frapperai 3 fois si je vois personne. OK ?
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D’accord. Mais on attend 18h30 pour être sûrs qu’il n’y ait plus personne dans l'établissement.
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OK. Je te balancerai vite fait ma purée sur la gueule avant de rentrer à la maison, petite pute. Toi, tu pourras de toucher si tu veux. A demain !
Sans attendre la réponse, il coupa la connexion. Le lendemain, ils se retrouvèrent comme prévu dans les toilettes du lycée. Justine était assise sur la cuvette lorsque Mohammed entra. Sans qu’ils échangent le moindre mot, il sortit sa queue molle et la lui fourra dans la bouche. Il déboutonna son chemisier et massa ses seins tandis qu’elle s’appliquait à faire grossir son chibre. Au bout de quelques minutes, Justine sentit le doux liquide envahir sa bouche et s’échapper par la commissure de ses lèvres pour dégouliner le long de sa joue et de son cou. Mohammed soupira, sourit, lui embrassa le front puis sortit. Dégoulinante du sperme musqué de Mohammed, elle se masturba le clitoris et jouit.
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