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Nouvelles pornographiques

Jeudi 30 avril 4 30 /04 /Avr 01:49

 

Le bougre ne se laissa pas amadouer. Alors que Justine approchait ses lèvres des siennes, il l’empoigna par les cheveux, tira sa tête vers l’arrière et lui arracha sa veste de tailleur. Il la força à s’agenouiller et à lui faire une fellation profonde qui lui souleva le cœur.

  • Ta bouche n’est faite que pour nos queues, lui dit-il. Si tu veux faire ami-ami, il faut que tu comprennes ça d’abord. Je suis OK pour que tu deviennes ma salope, mais c’est moi qui fixe les règles, compris ? Pas de baisers, je réserve ça pour ma femme plus tard. J’embrasse pas une pute, moi. Par contre, je suis d’accord pour te baiser régulièrement, si c’est ce que tu veux… c’est du donnant-donnant : moi, je me vide les couilles en attendant mon mariage, et toi ça te calme le cul. De temps en temps, je te prêterai à avec des potes et on te fera tourner. C’est OK comme ça, Justine ?

C’était la première fois que Mohammed l’appelait par son prénom. Justine y vit à la fois une familiarité incongrue de la part d’un élève et un signe d’affection touchant. Malgré la situation révoltante, la proposition de Mohammed la troublait. Lorsqu’il retira son chibre de sa bouche pour la laisser répondre, prise au dépourvu, elle s’entendit acquiescer. Puis, jouant avec sa queue, elle le supplia de la baiser. Il retira sa ceinture de son pantalon, la lui passa autour du cou et lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Il la fit marcher ainsi dans la salle de classe, devant ses copains goguenards. Il déclara :

  • Regardez les mecs, je vous présente ma chienne. Elle est docile mais elle requiert beaucoup d’attention parce qu’elle est toujours en chaleur : elle demande à être saillie régulièrement. N’est-ce pas ma petite chienne ?

  • Oui, baise-moi, j’ai la chatte en feu ! Répondit Justine, qui assumait dorénavant un peu mieux sa condition.

  • Au pied ! Lui ordonna Mohammed.

Justine blottit immédiatement sa tête contre les jambes de son nouveau maître. Les autres n’en perdaient pas une miette : Kevin se branlait en regardant le spectacle et Jordan continuait à filmer. Mohammed se pencha pour asséner des claques appuyées sur les globes fessiers de sa chienne, puis il attacha la laisse au pied d’une des tables de la salle. Il passa derrière elle, lui écarta une fesse et l’emmancha dans le cul avec son pieu. Son sexe était vraiment hors norme, mais après le traitement que Kevin lui avait infligé l’anus de Justine était prêt à le recevoir sans trop de difficultés. Momo savait décidément bien s’y prendre. Il alternait les mouvements amples et lents avec des coups de reins plus rapides et serrés. Justine se masturbait le clitoris et eût assez rapidement une jouissance fulgurante au moment où Kevin qui n’en pouvait plus vint éjaculer sur sa joue. Comme promis, Jordan et Mohammed la prirent ensuite en sandwich. Elle était sur le point de jouir une deuxième fois quand Jordan, qui était manifestement peu endurant, éjacula dans son préservatif. Mohammed prit alors le relai dans sa chatte jusqu’à ce qu’ils jouissent de concert. Affalé sur elle et trempé de sueur, le colosse ne pu réprimer un baiser.

Après avoir repris ses esprits, Mohammed ordonna à Jordan de lui transmettre les films de la scène, puis de les détruire. Il leur fit jurer de ne rien dévoiler, sous peine de représailles. Jordan s’exécuta et Kevin et lui quittèrent les lieux en rasant les murs. Mohammed rassura Justine sur le fait que rien de ce qui s’était passé ne filtrerai, à la condition qu’elle tienne ses engagements à son égard. Justine, moqueuse, lui répondit que les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Mohammed fit semblant de comprendre et ils se séparèrent à la grille du lycée.

Le soir même, Mohammed reçut un message électronique de la part de Justine, dont l’objet était « Tit for tat ». Le texte était bref et très clair : « Si tu ne veux pas que ta maman sache la manière dont tu traites les femmes, tu dois tenir tes engagements et ne rien divulguer des films que tu as en ta possession ». Surpris, Mohammed visionna le petit clip qui était en pièce-jointe et s’y vit nu, sexe en érection, en train de fesser Justine à quatre pattes dans la salle de classe. Il s’entendit la qualifier de salope et lui dire qu’il allait lui défoncer le cul. Il se dit qu’il n’arrivait décidément pas à supporter sa voix, puis il réfléchit.

Mohammed était partagé entre colère et admiration pour Justine, que lui et ses potes avaient manifestement sous-estimée. Après avoir réfléchi et compte tenu de la piètre qualité du film, il arriva à la conclusion qu’elle avait dû mettre en route la webcam de son ordinateur portable de manière à avoir une preuve de son agression. Elle n’avait sans doute pas capturé la totalité des images, mais elle en avait apparemment suffisamment en sa possession pour lui foutre une honte dont il ne se remettrait pas. Il ne pouvait pas concevoir que sa famille, et surtout sa mère, puissent être au courant de ses agissements. « Elle me tient par les couilles !», s’exclama-t-il tout haut dans sa chambre.

  • Tu t’es fait mal mon fils ? Lui cria sa mère depuis la cuisine.

  • Non, M’mam, c’est rien, je me suis juste coincé un doigt mais c’est pas grave !

  • Ah bon, tout va bien alors…

Mohammed était rouge de honte et le sentiment qui prédominait à cet instant dans son esprit était la peur. Il avait tout simplement peur que Justine balance tout à sa famille et qu’il termine sa vie rejeté de tous, en paria. En même temps, la vision du film de Justine qu’il se repassait en boucle le faisait bander comme un taureau. Pas de doutes, il avait cette femme dans la peau, quelque part logée entre le cortex et le bas ventre. Elle les avait bluffé. Il décida d’essayer de reprendre la main malgré tout, en tentant de rentrer l’adresse e-mail de Justine dans ses contacts Microsoft Messenger pour avoir une conversation avec elle. Vingt minutes plus tard, il reçut un Wizz de juste_une@hotmail.fr, suivi d’un message instantané :

  • Alors, tu te remets des tes émotions ?

  • Salut… c’est quoi ce chantage ?

  • J’ai simplement pas envie de retrouver vos vidéos sur le net… avec ma petite vidéo à moi, je suis sûre que tu vas rester sage. Pas vrai ?

  • Je ferai rien, tu as ma parole. Et les autres n’ont plus rien entre leurs mains, t’es tranquille.

  • Bon, c’est bien. Je savais que tu étais un mec bien Momo.

  • Merci. Moi, je savais que tu étais une belle salope lol

  • Dois-je prendre ça comme un compliment ?

  • Plutôt oui, j’aime bien les salopes dans ton genre, qui aiment la queue et qui ont du caractère… c’est pas courant lol

  • Plus que tu le crois Momo… suffit d’être attentif aux désirs des filles, ce qui n’est pas le fort de beaucoup de mecs.

  • Si tu le dis !!! mdr

  • J’en suis sûre…

  • Au fait, dans ton mail tu parlais de nos engagements… ça tient toujours ?

  • Je croyais pourtant avoir été claire, non ?

  • Si, mais…

  • Enfin, c’est comme tu veux, mais de mon côté c’est OK.

  • OK, alors branche ta cam salope, je veux te voir.

  • D’acc

Mohammed et Justine commencèrent une conversation vidéo.

  • T’es toujours aussi craquante… T’es seule, là ?

  • Oui, seule dans l’appart’. Et toi ?

  • Non… je dois rester discret.

  • Ah ! C’est ta maman qui est dans le coin ? mdr

  • Très marrant… tu mériterais une bonne fessée lol

  • Hummmmmm… faut pas te gêner !

  • OK, mets-toi à poil.

  • Quoi ?

  • A poil tout de suite, allez !

  • Pas maintenant, je dois sortir… on fera une cam coquine une autre fois…

  • Tu es libre de rompre le contrat quand tu veux. Mais sinon, tu te mets à poil et tu fais des tours à quatre pattes dans ton bureau pendant que je t’écris ce que j’ai à écrire. OK salope ?

Justine sentit une chaleur l’envahir. Elle devint toute rouge, excitée mais aussi honteuse d’être traitée de la sorte par ce morveux. Elle dégrafa son chemisier et délivra ses seins de l’étreinte de son soutien-gorge. Elle vit Mohammed arborer un large sourire, tout satisfait de lui-même qu’il était. Elle se sentit mouiller en repensant au moment où il l’avait embrassée après l’avoir enculée comme une vulgaire putain et l’avoir fait jouir dans la salle de classe. En souvenir de cet instant, elle retira son pantalon, sa culotte et ses bas puis tourna son cul en direction de la webcam.

Mohammed prit le micro et lui souffla :

  • C’est bien, t’es une bonne petite soumise… et j’aime décidément ton gros cul ! Allez, à quatre pattes, hop !

Justine s’exécuta du mieux qu’elle put. Elle fit deux fois le tour du bureau en se cambrant au maximum et en tortillant son postérieur pour se rendre plus désirable et pour devancer les ordres de Momo.

  • Maintenant va frotter ton cul et ta moule contre le pied de ton bureau, lui ordonna-t-il d'une voix rauque.

Bien qu'elle trouva l'exercice avilissant et sans intérêt, Justine exécuta l'ordre sans broncher. A quatre pattes, elle fit marche arrière jusqu'à ce qu'elle sente le métal glacé du pied se son bureau entrer en contact avec la raie de ses fesses. La sensation était très désagréable mais elle avait décidé de jouer le jeu. Elle se cambra de manière à coller sa vulve contre le pied métallique et commença à onduler le bassin quand elle entendit le signal sonore qui annonçait les nouveaux messages sur Live messenger :

  • Je te laisse, faut que je descente manger, ma mère m’appelle, avait-il écrit. Vu l’état dans lequel tu es, petite chienne en chaleur, tu devrais te branler. On se voit demain en cours… après le cours, quand tout le monde sera parti, je veux que tu ailles dans les chiottes des mecs, le troisième en partant de la droite. Je viendrai et frapperai 3 fois si je vois personne. OK ?

  • D’accord. Mais on attend 18h30 pour être sûrs qu’il n’y ait plus personne dans l'établissement.

  • OK. Je te balancerai vite fait ma purée sur la gueule avant de rentrer à la maison, petite pute. Toi, tu pourras de toucher si tu veux. A demain !

Sans attendre la réponse, il coupa la connexion. Le lendemain, ils se retrouvèrent comme prévu dans les toilettes du lycée. Justine était assise sur la cuvette lorsque Mohammed entra. Sans qu’ils échangent le moindre mot, il sortit sa queue molle et la lui fourra dans la bouche. Il déboutonna son chemisier et massa ses seins tandis qu’elle s’appliquait à faire grossir son chibre. Au bout de quelques minutes, Justine sentit le doux liquide envahir sa bouche et s’échapper par la commissure de ses lèvres pour dégouliner le long de sa joue et de son cou. Mohammed soupira, sourit, lui embrassa le front puis sortit. Dégoulinante du sperme musqué de Mohammed, elle se masturba le clitoris et jouit.

Par David - Publié dans : Nouvelles pornographiques
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Lundi 2 mars 1 02 /03 /Mars 13:20

 Justine, à quatre pattes sur le bureau, devait se contorsionner pour pouvoir sucer son élève qui demeurait debout à côté. Elle avait le cul troussé en l'air et les épaules au raz du bureau, ce qui mettait en valeur ses fesses assez charnues sublimées par sa belle cambrure. Mohamed lui avait planté à nouveau le bâton de colle de Jordan dans le cul. Comme le bâton restait en place tout seul, il pouvait se consacrer entièrement à lui caresser les fesses et lui agacer le clitoris en bon connaisseur de l'anatomie féminine qu'il était. Jordan, quant à lui, était tout à son nouveau rôle de réalisateur de film pornographique. Il tournait autour du bureau avec son téléphone portable dernier cri en mode caméra. Kevin, très dominateur, tenait Justine par les cheveux d'une main, imprimant son rythme à la fellation qu'elle lui prodiguait et faisant régulièrement des commentaires humiliants à son égard. Comme elle se plaignait du fait qu'elle avait du mal à prendre sa bite en bouche, Kevin lui apprit que la queue de Mohamed, bien que moins longue que la sienne, était encore plus large. « Ferme ta gueule et pompe », conclut-il sobrement. Elle avait toujours considéré qu'il y avait quelque chose de pervers dans l'attitude de Kevin en classe ; contrairement à Mohamed, il n'était pas franc du collier et ne lui inspirait pas confiance. Qui plus est, il se savait très mignon et avait tendance à abuser de son potentiel de séduction sur ses petites camarades de classe, avec lesquelles il se comportait en vrai macho. Bref, devoir pomper ce jeune abruti ne l'enchantait guère, même s'il fallait reconnaître qu'il avait de sacrés qualités physiques : un tel chibre sur un corps adolescent avait quelque chose d'incongru et d'objectivement très excitant, nonobstant la personnalité de Kevin. Cette contradiction apparente était renforcée par les traits particulièrement fins et presque enfantins du visage de Kevin. Bref, il était de cette espèce d'hommes qui font facilement tourner la tête des femmes en n'ayant qu'un seul but, les mettre dans leur lit pour les jeter comme des kleenex le lendemain de manière à faire place pour la suivante.

  • - Au fait, demanda Jordan à Kevin, qu'est-ce que du veux faire avec ce marqueur ? Tu veux lui mettre dans le cul, c'est ça ?

  • - Non, je vais lui faire comprendre comme c'est humiliant d'avoir un 0/20. Elle est pas prête d'oublier et nous, on va bien se marrer.

  • - Kevin, je suis prêt à passer l’éponge sur cette histoire de zéro, si vous vous conduisez de manière plus respectueuse avec moi, tenta Justine.

  • - Ah, comme ça tu ne veux plus partir, lui fit remarquer Mohamed. Ça y est, tu es bien avec nous ! Ne t'inquiète pas, nous sommes doux comme des agneaux !

  • - Pas question de négocier quoi que ce soit, tu as bien mérité ton zéro pointé, dit Kevin. Allez, fais voir ton cul.

  • - Kevin prit le marqueur et fit le tour du bureau, muni du marquer indélébile dont Jordan se servait habituellement pour couvrir le lycée et son quartier de graffitis. Il retira le bâton de colle du cul de sa prof et lui écarta les fesses, sous les yeux attentifs de ses deux potes.

  • - Vous avez vu comme son cul s'ouvre les gars ? Vous voyez où je veux en venir ?

  • - Putain trop fort Kevin, dit Momo dont l'esprit fonctionnait plus rapidement que celui de Jordan qui n'avait toujours pas compris mais n'osait pas le dire.

L'anus distendu de Justine s'ouvrait et se fermait sans qu'elle ne le contrôle plus vraiment. Kevin relâcha ses fesses et inscrivit /20 sur la fesse droite de Justine. Lorsque Justine vit son cul reflété la vitre de la porte d'entrée de la classe, elle comprit à son tour que son anus béant ferait office de zéro. Elle était humiliée, mortifiée par la honte.

  • - Alors, tu mérites combien, salope? Demanda Kevin.

  • - Ce ne sont pas les élèves qui notent! Je vais prévenir le CPE !, proteste Justine.

  • - Tu veux te retrouver sur Youtube, toi! Allez, évalue-toi, salope!

  • - C'est bon, mets-moi 0/20 Kevin, j'ai compris...

  • - Bon, c'est bien... mais là, tu n'as qu'une toute petit bulle de rien du tout. Alors prépare-toi, parce que je vais te casser le cul jusqu'à ce que ta rondelle soit bien ouverte ! Ensuite on prendra des photos et gare à toi si tu dis quoi que ce soit sur ce qui s'est passé dans cette salle.

Après avoir enfilé une capote, Kevin grimpa sur le bureau et l'encula sans prendre de précaution particulière, comme un novice de manière saccadée et en enfonçant violemment son énorme bite adolescente jusqu'à la garde à chaque coup de reins. Elle commença par crier de douleur, mais une chaleur dans le bas ventre prit peu à peu le pas sur cette douleur initiale qui s'estompait à mesure que son anus se détendait. Ses cris changeaient progressivement, se faisant saccadés et plus aigus. Momo lui dit de fermer sa gueule parce qu'on ne s'entendait plus bavarder dans la classe... pour être certain qu'elle mettrait son injonction à exécution, il sortit sa grosse bite circoncise et la lui fourra dans la bouche. Le visage écarlate de honte, elle entama des va-et-vient sur le membre hors normes de son élève, si odorant qu'il lui donna la nausée. Elle avait toujours trouvé Momo très mignon, bien que parfois désagréable en classe et trop sûr de lui. Pour autant, jamais elle n'aurait imaginé devoir le sucer, qui plus est dans de telles circonstances. Elle se retrouvait ainsi prise entre deux ados en rut qui poussaient tellement profondément leurs avantages qu'ils semblaient vouloir faire en sorte que leurs bites se rejoignent quelque part entre sa gorge et son rectum. En un mot, c'était la « compète » entre nos deux complices, et la cadence devint vite infernale. Comme elle sentait le plaisir monter, Justine acceptait dorénavant un peu mieux son sort, bien qu'ayant toujours à l'esprit les problèmes qui ne manqueraient pas de se poser après ce viol : comment la regarderaient-ils après cela en classe? Allaient-ils en parler à leurs copains? Allaient-ils mettre en ligne des photos ou vidéos, sur Youtube, sur MySpace ou sur un blog? Son esprit divaguait sur ces questions essentielles lorsque Jordan, resté en retrait jusqu'alors, se contentant de regarder et de prendre quelques souvenirs avec son téléphone portable, remarqua le changement d'attitude de Justine. En effet, absorbée par ces réflexions hautement sérieuses, Justine s'était presque instinctivement cambrée au maximum de ses possibilités, les reins cassés et son cul charnu tendu vers Kevin qui avait saisi avec fermeté ses flancs afin que Justine ne puisse se soustraire à son opération de démolition anale.

  • - Mais c'est qu'elle aime ça la salope!, dit Jordan.

  • - Eh comment! Répondit kevin, tout en faisant une pause purement technique dans ses va-et-vient. Avec ce que je viens de lui mettre! Elle doit pas avoir l'habitude de se faire troncher comme ça!

Tous s'étaient mis à se foutre ostensiblement de sa gueule à grand renforts d'insultes de cour de récréation. Ils étaient parvenus à leurs fins, en soumettant à leur bon vouloir leur prof d'ordinaire trop autoritaire d’après eux. Le fait qu'elle montre des signes de plaisir à se faire baiser le cul malgré sa fierté révélait qu'elle avait perdu le contrôle de la situation mais aussi le contrôle d'elle-même.

  • - De retour à la réalité, Chrytel cessa brusquement de pomper Mohamed et lâcha d'un ton péremptoire:

  • - Bon maintenant, fini de s'amuser les loulous. On arrête tout et je fais une croix sur ce qui s'est passé parce que vous n'êtes pas de mauvais garçons, au fond. Ça restera entre nous, il n'y aura pas de sanctions, je vous le prom....

  • - Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que Momo lui carra son gros gland jusqu'à la glotte.

  • - Putain Momo, un peu de respect! dit Jordan. Laisse- la finir! C'est vrai, quoi, on ferait peut-être bien de filer...

  • - Tu rigoles ou t'es un bouffon? T'as pas compris qu'elle kiffe la queue, cette bourge ? Elle fait son cinoche histoire de dire, trancha Mohamed. S'adressant à Justine, il ajouta : Bouge ton gros cul, salope! Je veux te voir bouger ton cul sur la bite de mon pote!

  • - Justine tardant à réagir, Momo lui asséna une série rapide de claques sur les fesses en criant « Allez! Allez! Je veux voir bouger la graisse de ton gros cul! Bouge sur sa bite! ».

Justine, le visage rouge de honte, se mit à dandiner maladroitement son postérieur tout en proférant des grognements de protestation, tandis que Jordan commençait lui aussi à la fesser énergiquement d'une main, le mobile en mode vidéo dans l'autre. Momo, qui tapait lui aussi sur son cul à un rythme toujours aussi soutenu, s'esclaffa :

  • - Tu nous fais quoi, là? La danse du ventre version salope à quatre pattes? Empale-toi sur lui! Je veux entendre ton gros cul claquer sur son ventre! Allez!

Écarlate, Justine réagit à cette injonction en suçant Momo de plus belle, puis elle trouva la cadence et le geste adéquat pour s'enculer elle-même sur le membre de Kevin. Afin de faire remarquer à tous ainsi qu'à la vidéo le changement d'attitude de leur prof et pour bien montrer qu'il ne faisait rien, Kevin lâcha les hanches de Justine et leva les bras en l'air à la manière puérile d'un footballeur tentant de se disculper à l'occasion d'une obstruction, tandis que Justine continuait à donner des coups de fesses énergiques en arrière. Momo, qui aimait bien mener la danse et qui était peut être aussi au bord de l'explosion, interrompit la gâterie à laquelle il avait droit en empoignant Justine par les cheveux et en dégageant son sexe. Kevin ayant brutalement repris les choses en mains, rattrapé par sa nature fougueuse et dominatrice, des cris stridents sortirent à son corps défendant de la bouche ainsi dégagée de Justine.

  • - T'excite pas comme ça! Arrête de faire ta morfale! Je te promets que c'est pas la dernière fois que tu as le goût de ma queue dans ta bouche, alors vas-y doucement...Quand tu sortiras d'ici, tu sentiras la bite, je te le garantis, ma salope, dit Momo. J'ai pas pris de douche après le cours d'EPS de ce matin, tu dois apprécier, comme tu as l'air d'être une connaisseuse! Et avec ça, tu pourras te toucher chez toi pendant plusieurs jours en pensant à ma queue! Une odeur pareille ne part pas à la première douche, ne t'inquiète pas...

Tandis que que Justine commençait à s'excuser de la promptitude de ses mouvements buccaux dans un langage châtié, le jeunot lui passait son gland sur le visage en insistant sur ses narines et en faisant mine de vouloir y fourrer sa bite. Justine, qui était plus écarlate que jamais, avait les yeux révulsés et poussait dorénavant de petits cris ridicules dont la cadence était rythmée par les coups de reins lents mais profonds de Kevin, qui semblait vouloir passer sa vie dans son cul. Mohamed, hilare, reprit :

  • - Tiens, d'ailleurs, mes potes et moi on s'est dit que tu apprécierais sûrement de lécher les bourses de Jordan et moi, parce qu'on a tous les deux la particularité d'être boursiers... en signe de compassion pour les jeunes défavorisés que nous sommes, tu peux bien faire ça! La promotion de l'égalité des chances, tu connais ?

Momo joignit le geste à la parole, empoignant ses couilles et les fourrant dans la bouche de sa prof, qui les goba avec délectation malgré leur odeur forte de mâle en rut et leur goût particulièrement musqué. Une fois ses attributs imbibés de salive, notre lascar reprit son jeu favori qui consistait à se frotter contre le visage de Justine. Il le fit comme un animal et elle frotta son visage contre ses couilles comme une chatte en chaleur, excitée par les effluves de testostérone dégagées par les parties génitales de son élève. Il laissa sa place à Jordan qui sortit d'énormes couilles pendantes de son caleçon, refila son portable à Mohamed, agrippa Justine par les cheveux d'une main et lui présenta ses bourses gonflées de l'autre. Malgré leur odeur, Justine les lécha, en prit une en bouche, puis l'autre. Cette paire de couilles de taureau en rut n'étaient pas sans lui faire quelque effet bien qu'elles soient surmontées pour le coup d'un pénis de taille moyenne, elle était bien obligée de se l'avouer. Jordan, qui était un sentimental, se baissa pour l'embrasser à la manière d'un ado prodiguant son premier baiser, à grand renfort de coups de langue et de salive à l'odeur de tabac ; il la léchait maladroitement tout autour de sa bouche, ce qui était à la fois désagréable et touchant. Momo rappela les tourtereaux à la réalité avec l'habituelle subtilité qui le caractérisait :

  • - Eh Jordan, t'es dégueulasse ! Elle arrête pas de sucer des queues depuis tout à l'heure et toi tu lui roules des pelles comme dans « Les feux de l'amour »! Ça craint !

  • - Ah ouais, putain, j'suis con moi ! T'as raison, mais je voulais trop l'embrasser cette meuf. Je la kiffe depuis le premier jour de la rentrée, elle est trop bonne bonne, répondit Jordan qui décidément était le plus tendre de la bande.

S'adressant à Justine, ce dernier reprit :

  • - S'cuse moi Madame, la vérité, j'vous trouve trop belle.

Justine, qui trouvait cette déclaration d'amour aussi attendrissante que saugrenue, se contenta d'un sourire en réponse. Momo commençait naturellement à charrier son pote quand Kevin, ralentissant la cadence, lui dit :

  • - Putain Momo, vient filmer ça... j'crois qu'c'est bon, j'lui ai mis sa bulle, regarde ! Mort de rire !

Il se retira alors du cul de Justine, sauta en bas du bureau, se mit de côté et lui écarta ses fesses au maximum. Elle avait l'anus béant. L'inscription sur sa fesse droite intacte et on pouvait toujours lire le « /20 », qui, adjoint au trou du cul ouvert, donnait le fameux 0 /20 qu'elle méritait d'après Kevin. Momo filma et prit en photo la scène, puis la montra à Justine.

  • - Alors salope, il va falloir être sage maintenant pour remonter ta moyenne avec ça !

  • - Arrête un peu Mohamed, répondit Justine qui baissait les yeux et était rouge comme une pivoine. Arrête ce jeu débile, tu mérites mieux. Elle se tut un instant, puis reprit : viens plutôt me baiser, j'ai la chatte en feu avec vos âneries. Et puis je ne crois pas que je mérite cette note quand même !

  • - Ah ! Ça y est ! Enfin tu te décoinces ! Dit Momo. Répète un peu ce que tu viens de dire, je voudrais être sûr que tout le monde a bien entendu...

  • - Je t'en supplie, viens me baiser, j'en peux plus. Et puis j'en ai marre de me faire enculer. J'ai une chatte, moi ! Allez, soit sympa... s'il te plaît, Mohamed...

  • - Bon, puisque c'est demandé gentiment, ça ne se refuse pas. Je peux prendre le relai, Kevin ?

  • - Bien sûr je t'en prie, fait comme si c'était ta putain mon pote. On partage tout, tu sais bien.

Après avoir tapé dans la main de Kevin et échangé avec lui un clin d'œil appuyé, Mohamed grimpa sur le bureau et se dressa au dessus de la croupe de Justine. Il enfila un préservatif d'une main experte et, tout en se masturbant, glissa deux doigts dans son anus dilaté.

  • - Non, pas là Mohamed, s'il te plaît ! Tu m'as promis ! S'insurgea Justine.

  • - Tu prends tes désirs pour des réalités, je ne t'ai rien promis du tout ma belle, lui répondit-il. Puis, s'adressant à Jordan, il dit : tu sais pas où on pourrait trouver un truc genre le tube de colle mais en plus gros ? Ce faisant, il fourra sa queue dans la chatte de Justine qui arrêta immédiatement de protester, malgré les doigts plantés fermement dans son cul.

  • - Heu... attends... je crois avoir vu quelque chose dépasser de son sac à mains... Voilà, c'est un aérosol de déodorant. Il est pas très gros, mais toujours plus gros que le bâton de colle. Ça devrait aller. Tiens mon pote !

Mohamed prit le vaporisateur, crachat sur le cul de Justine et le glissa dedans, lui arrachant au passage des cris de douleur tant l'objet était large. Heureusement que je ne prends avec moi que le petit format, se dit-elle. Ils sont capables de tout, ces salops; ils n'ont vraiment pas d'éducation.

Le bougre n'en resta pas là : il la baisa simultanément dans la chatte. Justine, doublement pénétrée, en bavait : la rigidité de l'aérosol ainsi que sa froideur étaient extrêmement désagréables et chaque coup de reins de son élève ayant pour effet d'enfoncer le succédané de gode dans son cul en même temps que son énorme bite, elle avait vraiment mal.

  • - Ça fait trop mal Mohamed... arrête ça je t'en supplie... a la limite, je préfère deux queues que d'avoir ce truc dans mon cul en même temps que tu me baises !

  • - OK, pour une fois on va faire ce que tu demandes. Comme quoi nous savons nous comporter en vrais gentlemen. Par contre, je veux essayer ton cul personnellement. Je ne suis pas sûr que tu gagnes au change parce que ma bite est beaucoup plus large que ce déo ridicule. Qui est-ce qui s'y colle dans sa moule, les gars ?

  • - Moi, dit naturellement Jordan. J'ai encore rien fait et je rêve de la baiser !

  • - OK. On va se mettre par terre, ça sera plus pratique. Toi salope, mets toi à poil pour de bon pour qu'on ait le champ libre, parce que l'exercice qui suit est assez technique. Tu peux garder tes bas si tu veux, ça gêne pas. On va te faire grimper aux rideaux de la classe, je te préviens ! Va falloir t'accrocher...

  • - T’emballe pas Mohammed, j’en ai vu d’autres, répondit Justine tout en enlevant sa jupe de tailleur. Cesse tes vantardises, elles ne te grandissent pas, reprit-elle en l’enlaçant et en essayant de lui arracher un baiser.
Par David - Publié dans : Nouvelles pornographiques
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Dimanche 11 janvier 7 11 /01 /Jan 03:21

Ce soir là, Justine devait retourner au lycée pour surveiller les heures de colles que trois de ses élèves avaient récoltées en guise de sanction une semaine auparavant. Bien que sympathiques au demeurant, Kevin, Jordan et Mohammed étaient assez dissipés en classe et adoptaient souvent une attitude bravache et machiste à son égard. Cette fois-ci, ils avaient dépassé les bornes et elle avait décidé de marquer le coup pour asseoir son autorité sur eux. La veille, alors qu'elle était au tableau, dos à la classe, elle avait en effet surpris les bribes d'une conversation animée que les trois copains avaient entre eux. Non seulement ils troublaient la tranquillité de la classe, mais il y avait bien plus grave : dans le brouhaha, elle avait cru entendre les mots « salope », « cul » et « sucer ». Lorsqu'elle s'était retournée pour identifier la provenance des bavardages et pour intervenir, elle avait surpris Kevin en train de mimer une fellation sous le regard hilare de ses deux complices, le reste de la classe étant consterné par tant d'immaturité et d'irrespect. Comme les règles de l'éducation nationale l'imposent, elle ne les avait pas exclus de son cours, bien que ce ne fut pas l'envie qui lui manquait. Conformément à ce que l'institution attendait d'elle, elle leur avait calmement fait la morale à la fin du cours et avait opté pour une sanction éducative, à savoir deux heures de travaux dirigés supplémentaires, appelés communément « colles » par les élèves.

Justine leur avait préparé une série de questions portant sur des documents dont la problématique générale était l'égalité entre les hommes et les femmes, souhaitant par ce biais leur faire prendre conscience de la gravité de leurs propos machistes de la veille. Elle avait déniché des textes sur les différences salariales entre les hommes et les femmes, sur la difficile condition des femmes Afghanes, sur le déficit de scolarisation des filles dans les pays en développement, sur la sous-représentation des femmes dans les instances dirigeantes publiques et privées en France, etc. Bien forcés de le faire, les trois élèves lisèrent les documents mais très vite, ils émirent des protestations :

  • Ça me prend la tête vos documents, Madame, dit Mohammed.

  • C'est n'importe quoi, renchérit Kevin.

  • Madame, vous savez pas que les hommes sont pas faits comme les femmes, lui demanda Jordan? A partir de là, ils peuvent pas être égaux. C'est un fait.

Justine les encouragea à réfléchir calmement au contenu des textes, tout en s'efforçant de garder elle-même son calme devant tant de bêtise. Leurs interventions l'ayant mise sur la défensive, elle ne pouvait cependant pas réprimer certains signes de nervosité comme croiser et décroiser ses jambes toutes les deux minutes et faire claquer de manière compulsive son triple décimètre sur sa cuisse. Mohamed, le leader du groupe, le lui fit remarquer sans prendre de gants, en fixant des yeux ses jambes avec un petit sourire narquois :

  • Madame, on n'arrive pas à se concentrer avec votre règle, là ...

La remarque de Mohamed avait fait mouche. Justine avait bien compris à son sourire que plus que le bruit provoqué par le claquement régulier de la règle sur sa cuisse, ce qui déconcentrait Mohamed était son jeu de jambes. Elle réalisa alors que le bureau auquel elle était assise ne comportait pas le panneau destiné usuellement à masquer les jambes du professeur. Or elle était vêtue d'un tailleur-jupe et le bureau était surélevé sur une estrade de 20 centimètres de hauteur environ, comme il était d'usage de le faire jusqu'à quelques années auparavant. Bien que les nouvelles pratiques pédagogiques préconisèrent dorénavant d'enlever ces estrades pour favoriser une plus grande proximité entre les élèves et l'enseignant, nombre de lycées anciens n'avaient pas pris la peine de les supprimer. Toujours est-il que très clairement, Mohamed avait fait allusion à la vue ascendante imprenable qu'il avait sur ses jambes. Aussitôt cette remarque tonitruante formulée, le visage de Justine s'empourpra et elle balbutia :

  • Mohamed, reprends ton travail... je te prie ! Je... je me passe volontiers de tes commentaires !

  • Ouais ça va M'dame, pas la peine de crier. Mais bon, moi je peux pas travailler parce que je bloque sur vos jambes... c'est vrai, quoi, vous m'excitez à croiser et recroiser tout le temps vos jambes comme ça, faut comprendre !

  • Mohamed, ça suffit reprends-toi, sinon je te mets deux heures de colles supplémentaires ! Ce ne sont pas des choses qui se disent.

  • Quoi M'dame c'est sympa ce que j'vous dit... vous êtes trop excitante avec votre petit tailleur BCBG et vos bas noirs... la vie de ma mère, ça fait trop coquine ! En fait, vous cachez bien votre jeu derrière votre sale caractère...

Justine comprit qu'il avait aperçu les jarretières de ses bas autofixants qu'elle avait mis en prévision de la soirée romantique qu'elle devait passer avec son mari, en l'absence des enfants. Plus gênée que jamais, elle tira sur sa jupe pour cacher le haut de ses bas et répondit d'une vois peu assurée :

  • Que dis-tu ? Je... je vais appeler le Conseiller Principal d'Education Mohamed !

Kevin prit la défense de son copain :

  • Allez, Madame, faut pas se fâcher pour ça ! En plus il vous fait des compliments et à votre âge, ça devrait vous faire plaisir !

  • Comment ça à mon âge ? Je n'ai jamais que 33 ans et je peux vous dire que je plais aux hommes malgré ce soit-disant âge avancé ! Et puis il y a des manières de dire les choses... Mohamed ne m'a pas respecté, ce qui renvoie à la problématique de vos textes.

De manière habile, Justine essayait de calmer le jeu en recentrant la conversation sur les textes. C'était bien essayé, mais Kevin la prit à son propre piège :

  • Ouhaou, coquine en plus de ça ! Comme ça vous « plaisez aux hommes » ! En tous cas, Madame, on a bien vu grâce à vous que les hommes et les femmes ne sont pas fait pareils entre les jambes ! Mort de rire !

Tous les trois étaient partis dans un fou rire inextinguible, lorsqu'elle s'énerva :

  • Bon, pour commencer, je vous mets 0/20 à tous les trois, et ça comptera dans votre moyenne du trimestre. Ensuite, que l'un d'entre vous aille chercher le CPE tout de suite. Jordan, allez-y ! Cette affaire ne va pas en rester là, croyez-moi.

En de telles circonstances, le règlement du lycée interdisait en effet à Justine de quitter la classe pour aller chercher elle-même de l'aide, car en aucun cas un professeur ne doit laisser ses élèves sans surveillance en abandonnant sa classe.

Alors que Jordan signifiait son refus d'obtempérer, Mohamed se leva calmement et se dirigea vers le bureau. Justine, qui commençait à avoir peur, se leva de sa chaise à son tour afin de tenir tête plus aisément à ce grand gaillard d'un mètre quatre-vingt-dix, elle qui dépassait péniblement le mètre soixante cinq avec ses chaussures à talons. Elle tenait toujours son triple décimètre en main, pensant peut-être inconsciemment qu'il pouvait lui servir d'arme en cas de besoin. Mohammed la prit par le bras et lui dit :

  • Madame, vous pouvez pas nous mettre un 0. On va sûrement redoubler à cause de ça. Et puis si vous appelez le CPE, on va se faire exclure du bahut. Alors faut laisser tomber, OK ? Soyez raisonnable !

Justine, qui se sentait agressée à juste titre, ponctua ses protestations par un coup de règle sec sur le bureau. Mohammed, qui ne lâchait pas prise et qui se rapprochait d'elle peu à peu, reprit :

  • On peut même vous donner des choses en échange, si vous acceptez d'oublier ce qui vient de se passer ici...

  • Comment ça Mohamed, tu veux parler de drogue ? D'argent ? Mais ça va pas non !

  • Non M'dame, de l'argent on n'en a pas et la drogue, on la vent, on ne la donne pas. Je parlais pas de ça...

En passant sans aucune gêne au tutoiement, il continua :

  • Regarde, tu nous fais de l'effet à tous les trois. Comme t'as l'air d'aimer la bite, je te propose qu'on te fasse le cul gratos... je peux te dire que tu t'en souviendras parce qu'on est tous montés comme des ânes et tu nous fais bander grave. T'es OK ?

Justine, mortifiée par la honte et passablement troublée, tenta d'asséner un coup de règle sur le bras de Mohammed pour lui faire lâcher prise. Esquivant le coup, Mohammed saisit le bras de Justine et lui fit faire un demi tour en accompagnant son mouvement, un peu comme si tous les deux exécutaient une passe de Rock n' Roll. Elle se retrouva enveloppée dans les bras de son élève, dos collé contre lui. Il profita de l'effet de surprise pour lui subtiliser sa règle, qu'il déposa sur le bureau et pour lui passer les mains dans le dos afin de la neutraliser. Justine recommença à se débattre, mais sans grande conviction compte tenu du déséquilibre entre les forces en présence. Mohamed, qui la maintenait aisément d'une main, commença à lui caresser l'épaule de l'autre et à l'embrasser dans le cou. Il continua de plus belle malgré les protestations de sa prof, probablement encouragé par le fait que celles-ci étaient de moins en moins affirmées. Lorsqu'elle se tut, il finit même par libérer ses mains de son étreinte afin de pouvoir lui caresser les deux seins à travers son chemisier et, à sa grande surprise, Justine se laissa faire sans broncher. Les caresses de Mohamed sur ses seins se faisaient plus appuyées, ses baisers plus fougueux, et il frottait dorénavant son bassin contre ses fesses. Il ne fallu d'ailleurs que quelques secondes pour qu'elle ressente une bosse bien dure se former dans le pantalon de son élève, massant ses fesses au rythme des mouvements de ce dernier. Elle dut se rendre à l'évidence, Mohamed l'émoustillait. Pourtant, la situation était tellement gênante qu'elle ne pouvait décemment pas laisser libre cours à ses envies du moment. Alors qu'elle réfléchissait à une manière de s'esquiver avec les honneurs, Mohamed lui susurra :

  • Allez, laisse-toi aller. Tu en as envie, ça se voit. On va bien s'amuser ensemble. Tu sens comme tu me fais bander ? Ne t'inquiète pas, on a l'habitude mes potes et moi, on va prendre soin de toi et de ton cul. Tu nous en diras des nouvelles ; et promis, on ne dira rien à personne. Si tu joues le jeu, y'a rien qui sortira de cette pièce. OK ma p'tite prof chérie ?

  • Mohamed, pour la dernière fois, je t'en supplie, ...

Elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase que d'un geste précis, Mohamed lui fit faire volte face, saisit son visage des deux mains et l'embrassa à pleine bouche. Les suppliques de Justine laissèrent alors la place aux sifflets et aux applaudissements de Kevin et de Jordan, époustouflés par la performance que leur copain venait de réaliser. Lorsque Justine enlaça le cou de Mohamed, les sifflets se turent et, pour une fois, les deux lascars furent attentifs à ce que faisait leur professeur.

Très adroit pour son âge, Mohamed profita de ce moment de tendresse pour soulever sa jupe et glisser une main sur la culotte de Justine. Tout en l'embrassant à grands coups de langues, il la masturbait doucement à travers le tissu. Lorsqu'il écarta la dentelle pour accéder à son but, elle laissa échapper un soupir. Quelques secondes après, un doigt glissé dans son vagin lui arracha un gémissement.

Jordan et Kevin, qui ne pouvaient décidément pas rester en place bien longtemps, se levèrent de leur table pour se rapprocher de la scène surréaliste qui se déroulait derrière le bureau de leur professeur. Kevin remarqua :

  • Eh les deux là, vous nous jouez Love Story ou quoi ? Vous ne voulez pas non plus qu'on soit les témoins de votre mariage, par hasard ? Mohamed, montre-nous un peu son cul à cette salope !

Surpris par ses copains en flagrant délit d'humanité, Mohamed se ressaisit. Il retira sa main de l'entre-jambes de Justine et exhiba son doigt baveux en direction de ses deux camarades.

  • Et ça, c'est Love Story peut-être ? T'as vu comme elle mouille ? Faut juste savoir s'y prendre avec les bourgeoises, mon pote !, dit-il.

  • Bon, ça suffit maintenant, cria Justine en réajustant sa culotte et sa jupe. Moi, je m'en vais. Restons-en là.

Sans lui laisser le temps de mettre son projet à exécution, Mohamed l'empoigna par le bras et lui dit :

  • Attends ! On commence tout juste à s'amuser... t'as pas entendu ce qu'a dit mon pote, ils veulent voir ton cul... tu peux pas partir !

  • Lâche-moi tout de suite !, enragea Justine.

  • Allez, montre-nous ton cul salope !, lui rétorqua Mohamed en la troussant littéralement, le buste posé sur le bureau, à côté de la règle qu'il avait laissée là quelques minutes auparavant.

  • Vas-y, fous la à poil, dit Jordan.

  • Vire-lui sa culotte, reprit Kevin.

Mohamed ne se fit pas prier. En la maintenant courbée sur le bureau d'une main, il releva sa jupe de tailleur et baissa la culotte de Justine jusqu'à ses genoux de l'autre main. Les sifflets reprirent dans la salle, ce qui arracha instinctivement à Justine un « taisez-vous là en bas » d'autant plus inopportun que comme chacun le sait, il s'agit d'une célèbre contrepèterie grivoise qui, s'ils la connaissaient, aurait eu pour effet d'exciter encore un peu plus ses élèves.

  • T'es plus trop en position de commander, si tu vois ce que je veux dire, donc tu fais ce qu'on te dit. Alors c'est toi qui la ferme. Tu parles lorsqu'on te le demande ou alors tu lèves la main si tu veux participer. Compris Salope ?

Il accompagna sa question d'un bon coup de règle sur le cul de Justine, qui la fit tressaillir et s'exclamer :

  • Oui, c'est bon, c'est bon, doucement s'il te plaît Mohamed !

  • C'est bon quoi ? La règle ?

  • Non ! Pitié ! Je ferai tout ce que tu demandes, mais arrête avec la règle je t'en supplie.

  • Ce que je te demande, c'est de fermer ta gueule et de ne plus nous donner d'ordre. Or à l'instant, tu viens d'essayer de me dicter ma façon de faire. Je vais te punir pour sa, ma petite prof chérie. Qu'est-ce que vous en dites les gars ? On lui fait quoi ?

  • Tu lui files 10 coups de règle et on la saute en tournante. C'est le tarif, dit Kevin.

  • Putain les mecs c'est chaud !, dit Jordan.

  • Ouais c'est bon, t'as qu'à te casser si t'es pas content lui répondit Mohamed. En attendant, nous, on va bien s'amuser avec ce cul... Allez salope, cambre-toi et compte.

Et justine compta les coups de règle qui tombaient régulièrement sur ses fesses, en serrant les dents. Elle s'efforça de ne pas pleurer et y parvint, fort heureusement pour son amour propre qui n'était pas encore totalement anéanti. Il faut dire que Mohamed n'était pas un vrai méchant et qu'il savait manifestement administrer des coups de règle plus impressionnant que douloureux.

  • C'est bien, t'es une brave fille, lui dit Mohamed. Courageuse et fière, comme je les aime. A partir de maintenant, on va te faire du bien. Jordan, passe-moi ton bâton de colle s'il te plaît !

  • Pour quoi faire ? Demanda Jordan naïvement.

  • Qu'est-ce que je viens de dire ? Pour lui faire du bien ! Tu vas voir... Me dis pas que tu l'as encore oublié ! Elle va encore pas être contente et pour une fois, elle aura raison de râler avec ce que j'envisage de faire de ce bâton !

  • Non, c'est bon, le voilà.

Jordan lui passa le bâton de colle en question. Mohamed le saisit et le glissa dans la chatte de Justine qui eut un mouvement défensif compte tenu de la soudainement de cette introduction. Mohamed lui enjoignit de rester cambrée et la masturba de plus en plus fort avec le tube. Justine était rouge comme une pivoine, haletante et gémissante. Elle sentait des goutes de sueur perler sous ses aisselles et son vagin se lubrifier à son corps défendant.

  • Laisse-toi aller, ma p'tite prof chérie, dit Mohamed. Ça va te faire du bien. Tu te sentiras plus détendue après cette petite séance à laquelle tu es arrivée très stressée tout à l'heure. Cool, ma belle... tu le sens bien le bâton, là ?

  • Oui Mohamed, mais arrête s'il te plaît !

  • Pourquoi est-ce que j'arrêterais, puisque ça te plaît ?

  • Non ça ne me plaît pas, arrête tout de suite !

  • Si ça ne te plaît pas, alors pourquoi ta chatte est-elle dégoulinante, explique-moi ? Et ce bâton, tu vois comme il est enduit de ta mouille, hein ?

Mohamed lui mit le bâton visqueux sous le nez, en lui redressant la tête par les cheveux. Il le lui fit sentir, puis sucer. Elle s'exécuta sans enthousiasme. Puis il demanda à Kevin de venir écarter les fesses de la prof, lâcha un gros glaviot sur l'anus de celle-ci et introduisit lentement son pouce dedans. Malgré les râles de Justine, il enfonça du premier coup son pouce jusqu'au bout de la deuxième phalange, puis il le fit coulisser sur un rythme crescendo. Après quelques minutes, il lui fourra difficilement le tube de colle dans le cul et reprit ses mouvements de va-et-vient sous les grognements de Justine, en les alternant avec des mouvements circulaires sur lesquels Jordan le questionna :

  • Pourquoi tu fais-ça ?

  • Pour lui élargir le cul, andouille ! T'y connaît rien ou quoi ? Tes parents n'ont pas la télé, c'est ça ?

  • Ah ouais, s'cuse, j'avais pas vu... Attends, je vais filmer ça avec mon mobile, comme ça j'aurai un souvenir...

Il sortit ton téléphone portable et immortalisa la scène en gros plan, zoomant sur l'anus martyrisé de sa prof.

A cet instant, Kevin, surexcité par ce à quoi il venait d'assister, eut une idée lumineuse :

  • la salope m'a mis un 0/20 une fois que j'étais absent au DS , dit-il a ses potes. C'est moi qui vais te mettre un 0, cette fois-ci, ma prof adorée. Jordan, passe-moi ton marqueur s'il te plaît. Et toi salope, mets-toi à poil et quatre pattes sur le bureau, comme une chienne. Allez, bouge ton cul !, dit-il à Justine en lui assénant une série de claques sur le popotin alors qu'elle retirait docilement son chemisier et son soutien-gorge.

  • Tiens, attends salope, tu vas garder ta jupe et tes bas, et tu vas remettre ta veste de tailleur, lui dit-il. Comme ça ni toi ni nous n'oublierons que nous sommes en train de sauter notre petite prof BCBG adorée. Tu vas avoir l'air trop classe en tailleur en train de sucer des bites.

  • Comme tu veux Kevin, à condition que tu arrêtes de me traiter de salope. Tu oublies le respect que tu me dois.

  • Ça ma petite salope, c'est du blabla. Une nana comme toi, ce qu'on lui doit c'est de la sauter en règle. C'est ce que tu veux, ça se voit trop ! Allez, arrête un peu de parler et suce-moi. J'y peux rien moi si t'es une salope. Et il faut appeler une salope une salope, comme on dit.

Il dézippa sa braguette et sortit son engin dressé vers le plafond. Le bougre était bien pourvu, Mohamed n'avait pas menti. Lorsqu'elle s'approcha et le décalotta, Chrystel senti des effluves d'urine monter à ses narines. Manifestement, Kevin n'avait pas prévu de se faire sucer aujourd'hui et son hygiène laissait à désirer, comme celle de beaucoup d'adolescents, du reste. Par expérience, Justine savait qu'il valait mieux engloutir le membre odorant le plus rapidement possible, sans trop y penser. Sa promptitude fut assimilée à tort à de la voracité par Kevin qui le lui fit remarquer :

  • Ah ben ça y est, tu fais plus de chichis maintenant ! Fais-toi plaisir ma belle, c'est pas tous les jours que tu dois en voir des comme celle-là !


La suite bientôt...


Par David - Publié dans : Nouvelles pornographiques
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Mardi 23 janvier 2 23 /01 /Jan 12:45

Cher Maître,


Comme vous le disiez avec force lors du dernier conseil, nous devons savoir nous entourer des bonnes personnes si nous voulons mener notre noble entreprise à bien ; aussi nous efforçons-nous d’apporter notre pierre à l’édifice. Nous venons en effet d'auditionner une candidate d’exception, Chrystel T.. Nous ne doutons pas que ses talents vous surprendront.


Elle possède une qualification supérieure et son apparence est irréprochable. C’est bien le minimum que l’on puisse attendre pour les tâches hautement stratégiques qui lui seront dévolues, me direz-vous. Mais l’essentiel n’est pas là. Elle est mignonne et très sexy ; on perçoit aisément chez elle une sensualité débordante dévoilée par un regard mutin, malgré une timidité de façade toute relative. L’expérience nous a montré que c’est une jouisseuse de la vie : elle sait apprécier ce qui est bon et semble insatiable pour tout ce qui est susceptible de satisfaire ses désirs. Elle est par ailleurs profondément altruiste et apporte un soin particulier à la satisfaction des désirs des autres, avec abnégation.


Elle est arrivée à l’entretien d’embauche accompagnée de son mari ; nous avons tout d’abord pensé qu’il s’agissait d’un moyen pour elle de se rassurer, mais nous avons vite compris que ledit mari souhaitait assister à l’entretien pour conseiller sa femme dans ses choix, le cas échéant.


La commission de recrutement était constituée de M. Masoch, directeur des ressources humaines, et de moi-même. Une seule candidate a été auditionnée, son CV la positionnant d’emblée bien au dessus de toutes les autres.


Après quelques tests techniques destinés à évaluer la solidité de ses acquis, nous lui avons demandé de dévoiler un peu sa personne : M. Masoch, jamais à court d’idée (vous le connaissez !), lui suggéra de nous montrer ses seins, ce qu’elle fit de bonne grâce. Elle déboutonna et enleva son chemisier puis dégrafa son soutien-gorge de manière à dégager sa poitrine. Ses seins sont relativement petits mais très bien galbés ; ses tétons pointaient, dévoilant par là une certaine excitation. N’y tenant plus, je me levai pour la palper en bonne et due forme, lâchant un « vous me semblez avoir les qualités requises pour ce poste, ma chère ! ». En portant sa main sur mon entrejambe, elle rétorqua : « Vous paraissez avoir également quelques qualités indéniables… ». Son mari, resté discret jusqu’alors, dit à sa femme : « Ma chérie, je crois que c’est le moment ou jamais de montrer tes qualités et ton savoir faire à ces messieurs si tu veux avoir le poste ! ». Joignant le geste à la parole, il glissa sa main sur les cuisses de la belle en remontant jusqu’à son entrejambe. Le geste fit son petit effet : les pommettes de Chrystel s’empourprèrent et elle laissa échapper un soupir de contentement, qui valait consentement. N’y tenant plus, elle dézippa ma braguette et empoigna mon braquemart qu’elle prit en bouche avec une délectation non dissimulée.


M. Masoch, un temps dépassé par la situation, se décida enfin à reprendre l’évaluation de notre candidate. Après avoir ôté méticuleusement son pantalon et son caleçon, il présenta son dard dressé à notre future collaboratrice. Heureuse de pouvoir montrer ses talents de pompeuse au DRH, sa bouche délaissa mon sexe pour honorer ce nouvel objet de plaisir. Dans les moments qui suivirent, elle alterna entre ma queue et celle de M. Masoch, en bonne besogneuse aguerrie à la chose. Le mari continuant à lui donner du plaisir avec sa main, l’excitation de la belle était à son paroxysme…M. Masoch jugea l’instant propice pour changer le ton de l’entretien, afin de voir si la candidate était capable de faire face à l’adversité. « Maintenant, tu vas nous montrer ton cul, petite salope », lui dit-il. Il s’était tourné vers le mari et l’avait regardé droit dans les yeux, de manière à prendre un ascendant psychologique sur lui. En effet, si les moments qui avaient précédé avaient convaincu notre DRH de la qualité de soumise de la candidate, un doute subsistait quant aux intentions de son mari. Ce dernier se fendit d’un sourire gêné et piqua un fard, soit qu’il se sentait humilié d’être impuissant dans une telle situation, car sa femme voulait ce job par-dessus tout et, qui plus est, elle semblait apprécier la tournure prise par l’entretien, soit que M. Masoch avait visé juste en devinant chez lui une certaine jouissance à voir sa femme prise en mains par deux hommes virils et dominateurs. Il esquissa une protestation de pure forme dans un grommellement qui révélait son excitation mais paradoxalement, il retira sa main de l’entrejambe de sa femme, la laissant ainsi libre de ses mouvements. Elle qui semblait rougir facilement était écarlate, sous l’effet de la conjonction du frottement des membres contre son beau visage et de l’excitation provoquée par le début de l’entretien, mais aussi et surtout consécutivement à l’ordre que lui avait donné M. Masoch. Elle se dressa sur ses talons face à l’assistance et releva la jupe de son tailleur pour dévoiler ses bas et son shorty en dentelles noires. Le mari avait sorti sa queue et se branlait en regardant la scène. M. Masoch, irrité que son ordre ne soit pas correctement exécuté, se leva, embrassa la belle à pleine bouche en empoignant sa crinière de la main gauche et en explorant son Mont de Vénus de la droite. La belle écarta les jambes pour lui ouvrir la voie, tout en gémissant. Notre lubrique DRH quitta la bouche et la chatte de la candidate et, en la maintenant par les cheveux, lui fit faire un demi tour. Il lui courba l’échine et la força à se cambrer, en tirant en arrière sur ses cheveux et en imprimant une pression sur ses reins, avec sa main droite. « C’est ton cul qu’on veut voir ; tu dois apprendre à exécuter les ordres correctement », lui dit-il. Elle acquiesça en gémissant de douleur, M. Masoch ne s’étant pas embarrassé de précautions superflues pour exécuter sa manœuvre. Il releva sa jupe sur ses reins, dévoilant ainsi sa croupe. Il fit glisser le shorty avec sa main et elle termina de l’enlever en faisant quelques mouvements de déhanchement, pour mon plus grand bonheur, celui de M. Masoch et, soyez-en certain, celui du mari. M. Masoch, en caressant la croupe de la pouliche, se tourna vers le mari et dit : « Ta femme a un cul d’enfer ; on va bien s’occuper de son petit trou à cette salope » ; il ponctua sa phrase d’une magistrale claque sur la fesse droite de Chrystel, en continuant de fixer le branleur dans les yeux. La claque fit réagir la candidate brutalement, qui rentra ses fesses en arrondissant son dos. M. Masoch tira sur ses cheveux de plus belle et lui intima l’ordre de rester cambrée. Le mari supplia d’une voix rauque et hésitante : « allez-y doucement, quand même ! ». M. Masoch sourit et, tout en lui fouillant l’entrejambe, demanda à Chrystel : « Tu n’aimes pas ça te faire enculer, salope ? ». Elle gémit sous les attouchements de notre collaborateur, mais tarda à répondre. Il lui claqua une nouvelle fois les fesses et réitéra sa question. Elle se dandina, mais pris garde à maintenir la posture, ce qui dénotait chez elle une certaine capacité d’apprentissage des règles… Elle répondit alors : « Si, j’aime ça ! J’aime me faire enculer ! Mon cul est à vous !» M. Masoch sourit et se tourna victorieusement vers le mari qui essuyait une nouvelle humiliation. Caressant la croupe de la pouliche qu’il venait de prendre en mains, il lui dit « C’est bien, tu es une bonne petite salope ; on va te donner ce que tu désires et en même temps, on va voir ce que tu vaux ». Il la conduisit par les cheveux vers le bureau et lui fit tendre son cul de nouveau, en direction du mari, pour que celui-ci ne perde rien du traitement infligé à sa femme.


C’est le moment que je choisis pour intervenir. Je me dirigeais vers la scène et, notre DRH s’esquivant d’un côté pour se faire sucer, je me plaçais de l’autre et j’empoignais à pleines mains le cul de notre future employée. Je le malaxais, le caressais et le fessais. Elle s’était mise à se masturber le clitoris, folle d’excitation. Je dis « M. Masoch, vous avez du flair : elle a un cul splendide ». A l’aide de mes deux mains, j’écartais au maximum ses globes fessiers. Son mari voyait ainsi sa femme exposée, la chatte béante. Il n’a pas fallu 10 secondes dans cette position pour que son anus s’ouvre légèrement. Il se referma, après nous avoir laissé entrevoir furtivement son intimité la plus cachée. Le mari se branlait, fou d’excitation. Sa femme se masturbait de plus belle et, bien décidé à en voir davantage, je recommençais le geste. Son très bel anus, bien lisse, réagit de la même manière. Lorsqu’il fut refermé, je laissai tomber de la salive sur sa raie écartelée, faisant le maximum pour que le filet atteigne sa cible, ce qui fut le cas : c’était son jour de chance. Elle haletait, M. Masoch imprimant un rythme d’enfer à ses va-et-vient dans sa bouche, avec son sexe durci. Dans un souci de transparence à l’égard du mari, je donnais l’ordre à sa femme d’écarter une fesse avec l’une de ses mains, de manière à libérer une des miennes. J’étalais alors la salive sur et autour de son anus ; pensant que cela ne suffirait pas, je récoltais un peu de sa mouille abondante dans sa chatte pour parfaire la lubrification de son fion. Elle avait dorénavant le buste appuyé contre le bureau, une main sur son clito, une autre sur une fesse. Sa tête inclinée vers le côté mettait sa bouche à la disposition du DRH. Il lui enfonçait sa bite au plus profond en la tenant toujours par les cheveux, lui passait de temps en temps ses couilles sur la langue et sur le visage, pour lui signifier sa nouvelle condition de subordonnée. Elle suçait et léchait à « tour de langue », en poussant des petits gémissements, comme on peut le faire lorsque l’on s’abandonne totalement. Ses gémissements se transformèrent en un grognement étouffé par la queue de M. Masoch, quand je lui enfonçais mon index dans sa rosette. Elle me regardait du coin de l’œil, je la fixais avec un sourire en coin et poussais mon avantage au maximum : son anus lubrifié accueillit mon doigt sans difficulté, l’excitation y étant pour quelque chose. Elle profita d’un moment de répit laissé par la queue de Masoch pour devancer ma question en me disant : « c’est bon… ». La simplicité du propos était touchante, mais je la soupçonnais de me flatter dans le but d'avoir le poste. C’était en tous cas une invitation à continuer, étant entendu que cette invitation était inutile puisque j’étais bien décidé à poursuivre l’exploration quoi qu’il en soit. « Ca n’est que le début !, rétorquais-je, je vais t’ouvrir le cul, ma petite salope… ». Regardant le mari et pensant le moment venu où son esprit avait basculé, je poursuivis tout en faisant aller et venir méthodiquement mon doigt dans les entrailles de la belle, avec un léger mouvement de rotation :


- Avec votre permission, bien sûr…

- Elle est à vous, grommelât-il en baissant les yeux.

- Je peux donc prendre possession de son cul ? insistais-je en introduisant un deuxième doigt dans l’anus, ce qui fit pousser un  « ahan ! » à l’intéressée, mi-gêne, mi-plaisir.

- Allez-y, enculez-la, si ça peut l’aider à obtenir le poste…

- Non, je vais le faire parce qu’elle aime ça, ta salope, dis-je, irrité par l'attitude négative du mari. Regarde comme elle aime ça se faire ouvrir le cul ! repris-je. 

- Bien sûr qu’elle aime ! Reprit M. Masoch en lui assénant une claque sur les fesses.


Etant toujours en avance d’un temps sur l’échelle de la perversité, il eut l’idée de démontrer ses propos au mari en interpellant la belle, dont la bouche s’était perdue quelque part entre les couilles et la cuisse de notre DRH. Elle dit, d’une voix étouffée : « Oui, j’aime ça, c’est bon…allez-y ! Continuez ! ». La chienne montrait un caractère très volontaire et cette phrase eut un certain effet sur son mari, qui se branlait de plus en plus fort et se tu à partir de cet instant, définitivement sous notre emprise.


M. Masoch écarta les fesses de la candidate et, comme je retirais mes doigts, on put admirer son trou béant.


Après avoir chaussé un préservatif, je forçais la porte d'entrée de la cité interdite de l’impératrice à coups de béliers puissants. Son cul était royal, mais elle couinait comme une cochonne, le souffle court et les yeux révulsés. Après quelques minutes de pur délice passées dans son cul, M. Masoch me demanda : « Puis-je ? ». Je lui répondis : « J’allais vous le proposer, mon cher ! ». Il l’empoigna de nouveau pas les cheveux et la fit se mettre à terre, les épaules contre le sol et le cul en l’air, offert à ses assauts. Il retira sa jupe, de manière à découvrir encore plus ses fesses; elle était dorénavant presqu'entièrement nue, seulement parée de ses bijoux, de ses bas noirs et de ses chaussures à talons. Quel contraste, si l'on songe qu'une heure auparavant cette jeune femme se rendait à un rendez-vous professionnel habillée comme une sainte-n'y-touche! Elle ne s'attendait certainement pas à se retrouver en pareille position... Masoch lui malaxait les fesses et l'on pu alors constater que son anus était franchement distendu, puisqu’il s’ouvrait tout seul. Un préservatif enfilé, il fondit sur elle comme l’oiseau sur sa proie et lui introduisit son énorme membre dans le fondement de la candidate; il poussa alors lentement mais avec fermeté son gland au plus profond de son colon. Elle se masturbait et, s’abandonnant totalement de manière à relâcher ses chairs, un filet de bave dégoulina de sa bouche sur le sol…Je me souviens m’être alors fait la réflexion suivante : « Si Masoch passe, toute la société peut passer ». Sans vouloir vous offenser, cher Maître, il est vrai que Masoch est monté comme un âne. Quoi qu'il en soit, il l’encula méthodiquement pendant une bonne quinzaine de minutes, comme il sait le faire. Il alternait de longues périodes de mouvements amples et rapides, qui la faisaient défaillir, avec des moments de calme pendant lesquels la fille au cul divin reprenait son souffle. Au terme de ce rodéo sauvage, Masoch eut envie de constater l’effet produit par son passage sur la rondelle de l’ingénue. Il se retira délicatement, écartant d’une main l’une des fesse charnues. Le diamètre du trou noir n’était pas à la mesure de celui du membre de son bourreau, ce qui déplut fortement à ce dernier. Il réintroduisit alors brutalement sa queue dans l’orifice encore béant en s’aidant de sa main droite. La jeune femme poussa un petit cri et releva sa tête en arrière. Il répéta ce geste 4 ou 5 fois, son gros gland élargissant le trou du cul de la belle de manière indécente. Un large sourire aux lèvres, Masoch lâcha son membre pour écarteler les fesses afin d’admirer le tunnel obscur de la petite bourgeoise délurée. Bien que malmenés depuis un bon moment, son anus et ses fesses gardaient de leur superbe. Je sais que vous êtes un fin connaisseur de cette partie de l'anatomie d'une femme, mon cher Maître; vous ne serez pas décu, quand vous aurez ce spécimen entre les mains, croyez-moi.

Masoch, ce pervers, intima alors l'ordre au mari de venir lécher le cul défoncé de sa femme tandis-qu'il se branlait au dessus du visage empourpré de sa future collaboratrice, sur le point de lui donner sa semence. N'y tenant plus, je rentrais à nouveau dans la danse, présentant ma queue gonflée à bloc à l'entrée de l'anus que le mari léchait avec application. Il se branlait de manière compulsive, ivre d'excitation. Je lui pris la tête, lui fourrai ma bite dans la bouche et lui dit : « suce bien cette bite qui va défoncer ta femme. Tu as intérêt à bien la lubrifier! ». Il devint tout rouge et s'exécuta, en se branlant de plus belle. J'enculais de nouveau Chrystel vigoureusement, alors que le mari écartait les fesses de sa femme pour assister au spectacle. Je lui demandais alors s'il voulait goûter; il compris tout de suite de quoi je voulais parler et, sans répondre, approcha sa bouche de mon sexe tout droit sorti du cul de sa femme. Je crois bien qu'il prenait goût à la bite et à l'humiliation... Pendant se temps, Masoch s'était vidé sur la joue de Chrystel, qui dégoulinait de sperme. Je décidais d'en terminer moi aussi et, après être retourné dans son cul, j'enlevais mon préservatif et éjaculais sur le dos de la candidate. A mon grand étonnement et alors que je ne lui avais rien demandé, le mari nettoya ma bite et lécha le sperme sur le dos de sa femme. Alors qu'elle se redressait, il s'embrassèrent à pleine bouche, partageant ainsi la trace de nos jouissances.


- Ma belle, vous avez passé avec succès la première audition, dis-je alors à Chrystel. Vous avez du talent et de la présence. Vous feriez selon nous une bonne collaboratrice, mais nous ne sommes pas les décideurs. Quelles sont vos disponibilités pour un deuxième entretien?


- Parce-qu'il doit y avoir un deuxième entretien?, répondit-elle, balbutiante.

- Oui bien sûr, car le poste sur lequel vous candidatez est hautement stratégique. D'autres membres du staf veulent vous voir. Prenez votre agenda, s'il vous plaît!, lui dis-je.


- Puis-je faire un brin de toilette quelque part avant, s'il vous plaît?, demanda-t-elle, légitimement gênée de parler boulot à poil et couverte de sperme.


- Nous sommes pressés, dit Masoch sur un ton qui ne souffrait aucune contestation. Vous irez prendre une douche plus tard, nous avons ce qu'il faut ici. Mais en attendant, bougez votre cul!


Nous avons fixé le rendez-vous à la semaine prochaine. Cela vous convient-il, cher Maître? Pensez-vous que le mari doive venir? J'ai hâte de vous présenter Chrystel, je pense qu'elle vous conviendra. En attendant, veuillez agréer, cher Maître, l'expression de mes sentiments dévoués.


Frère Dolmancé

Par David - Publié dans : Nouvelles pornographiques
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Vendredi 12 janvier 5 12 /01 /Jan 13:33

Personnages

- L’accusée (Chrystel). Elle a les yeux bandés et est entravée par des menottes reliées à une laisse. Tenue sexy, talons hauts. Elle porte un collier SM permettant de la diriger.

- Le président de la cour (Moi?). Il est vêtu de la robe, si possible. A défaut, costard.

- 3 juges en robe ou costard.

- 1 greffier. Le greffier filme et prend des photos. Il est sollicité pour faire entrer l’accusée et la conduire sur la demande du président. Il peut la peloter mais ne la pénètre pas, sauf si volonté de Chrystel.


Lieu

Chez nous ou chez l’un des hommes présents.


Résumé

Chrystel est accusée de pratiquer assidûment la fornication, la fellation et la sodomie, et parfois même tout cela à la fois.

Circonstance aggravante, elle semble aimer cela. L’accusée reconnaît les faits qui lui sont reprochés, mais il reste à déterminer la peine : il faut pour cela évaluer son goût pour ces pratiques condamnables…


Scénario


Le président, les juges sont assis sur des chaises, en rang. Le greffier se tient debout, latéralement. Le caméscope est sur pied, il tourne en continu.


- Le président : Greffier, faites entrer l’accusée.


Le greffier se dirige vers la porte et dirige Chrystel par sa laisse vers une chaise située en face des juges. Il la fait s’asseoir.


- Le président : accusée, levez-vous.


Chrystel s’exécute.


- Le président : veuillez dire votre prénom à la cour, ainsi que votre âge.


- L’accusée : je m’appelle Chrystel, j’ai 31 ans.


- Le président : veuillez faire un tour sur vous-même, que la cour puisse juger de vos atouts.


Chrystel s’exécute.


- Le président : Accusée, faites quelques pas de long en large s’il vous plaît.


Chrystel s’exécute et revient devant la chaise.


- Le président : Greffier, veuillez soulever la jupe de l’accusée, de sorte que la cour puisse constater l’objet du crime.


Le greffier soulève la jupe de Chrystel découvrant ses dessous : shorty, portes jarretelles. Il la caresse.


- Le président : Accusée, tournez-vous.


Le greffier soulevant toujours la jupe de Chrystel, les juges admirent son postérieur. Il lui caresse le cul.


- Le président : Greffier, faites asseoir l’accusée. La cour va faire lecture des chefs d’accusation qu’elle a retenus à l’encontre de l’accusée.


- Le président : Chrystel, vous êtes accusée en premier lieu de pratiquer la fornication à outrance. Le reconnaissez-vous ?


- Chrystel : oui.


- Le président : ça n’est pas suffisant. La cour veut vous entendre dire : « oui, je pratique la fornication à outrance ».


- Chrystel : oui, je pratique la fornication à outrance.


- Le président : Levez-vous. Pouvez-vous nous montrer de quel côté cela se pratique ?


Chrystel se lève, soulève sa jupe, baisse sa culotte et montre sa chatte.


- Le président : Bien asseyez-vous. La cour prend acte du fait que vous plaidez coupable pour ce chef d’accusation.

Chrystel, vous êtes accusée en deuxième lieu de la pratique obscène de la fellation. Le reconnaissez-vous ?


- Chrystel : oui, je pratique la fellation.


- Le président : Greffier, apportez le gode s’il vous plaît.


- Le président : Accusée, pouvez-vous nous montrer, à l’aide de cet objet, la manière dont vous pratiquez la fellation ?


Chrystel suce le gode avec peu d’entrain.


- Le président : Eh bien, que se passe-t-il ?


- Chrystel : Monsieur le Président, je n’ai pas l’habitude de sucer des morceaux de plastique : le goût n’est pas terrible ! Je pense que pour une question de réalisme, je pourrais vous montrer comme je suce en prenant votre queue comme support !



- Le président : Soit… Greffier, amenez l’accusée.


Le Greffier amène Chrystel vers le Président et l’agenouille devant lui. Elle le suce.


- Le président : La cour prend acte du fait que vous plaidez coupable pour ce chef d’accusation.

Chrystel, vous êtes accusée en troisième lieu de la pratique coupable de la sodomie. Le reconnaissez-vous ?


- Chrystel : oui, je pratique la sodomie.


- Le président : Accusée, levez-vous. Pouvez-vous nous montrer de quel côté cela se pratique ?


Chrystel se lève, se tourne, soulève sa jupe, baisse sa culotte et montre ses fesses.

- Le président : C’est insuffisant. Écartez vos fesses et penchez-vous en avant je vous prie !


Chrystel écarte ses fesses en se penchant en avant, cambrée.


- Chrystel : Est-ce suffisant ainsi, Monsieur le président ?


- Le président : Bien asseyez-vous. La cour prend acte du fait que vous plaidez coupable pour ce chef d’accusation.

Chrystel, vous êtes accusée en dernier lieu de pratiquer à la fois fornication, la fellation et la sodomie. Que répondez-vous à cela ?


- Chrystel : Je le revendique, Monsieur le président.


Le Greffier, les juges et le président, en chœur : Oh ! Quelle salope !


- Le président : Accusée, vous reconnaissez les faits et serez condamnée. Mais il y a pire que les faits en eux-mêmes : d’aucun disent que vous prenez du plaisir à vous vautrer dans le stupre et la débauche. Il paraîtrait que vous jouissez comme une salope quand vous baisez, quand vous sucez, quand vous vous faites enculer et quand vous vous faites prendre par plusieurs hommes à la fois. Est-ce vrai ?


- Chrystel (coquine): Comment savoir, Monsieur le président ? Il ne faut pas se fier au « qu’en dira-t-on »…


- Le président : En effet, vous avez raison. Qu’à cela ne tienne : la cour ne rendra pas son verdict avant d’avoir évalué scientifiquement le plaisir que vous prenez à vous adonner à la luxure. Messieurs les jurés, il va falloir donner de votre personne, au nom de la Justice ! Sortez vos engins !


Les jurés ouvrent leur braguette…


- Le président : Greffier, distribuez les capotes et déshabillez l’accusée ! Retirez-lui sa jupe, son haut et son soutien-gorge.


Le greffier distribue les capotes. Il lève l’accusée, lui retire ses vêtements. Il en profite pour l’embrasser et la caresser.


- Le président : Amenez l’accusée devant moi et faites-la s’agenouiller (sur le sol, des coussins).


Le président prend la tête de Chrystel et la guide vers son sexe pour se faire sucer et lécher les couilles. Chrystel s’exécute avec plaisir. Sur un signe du président, le greffier guide Chrystel une autre queue. Elle la suce goulûment, les yeux toujours bandés.


Le procès part « en couille ». Le président se lève et pelote le cul de Chrystel, en la guidant sur les queues. Le greffier prend des photos et filme le reste de la soirée. Une fois toutes les queues sucées, le bandeau de Chrystel est remplacé par un loup. Elle découvre enfin ses jurés et peut « mettre un visage sur une queue »!!!! Le reste est à l’avenant : elle est léchée, doigtée, godée, baisée, enculée et prise en sandwich sans ménagement, pour le plus grand bonheur de tous…

L’accusée est évidemment condamnée pour les chefs d’accusation qu’elle a reconnus et, du fait des circonstances aggravantes, elle recevra une claque sur les fesses de la part de chaque membre de la cour. La soirée se poursuit jusqu’à épuisement…

Par David - Publié dans : Nouvelles pornographiques
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