Mai 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | |||||||
5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | ||||
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ||||
19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | ||||
26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | |||||
|
Ce soir là, Justine devait retourner au lycée pour surveiller les heures de colles que trois de ses élèves avaient récoltées en guise de sanction une semaine auparavant. Bien que sympathiques au demeurant, Kevin, Jordan et Mohammed étaient assez dissipés en classe et adoptaient souvent une attitude bravache et machiste à son égard. Cette fois-ci, ils avaient dépassé les bornes et elle avait décidé de marquer le coup pour asseoir son autorité sur eux. La veille, alors qu'elle était au tableau, dos à la classe, elle avait en effet surpris les bribes d'une conversation animée que les trois copains avaient entre eux. Non seulement ils troublaient la tranquillité de la classe, mais il y avait bien plus grave : dans le brouhaha, elle avait cru entendre les mots « salope », « cul » et « sucer ». Lorsqu'elle s'était retournée pour identifier la provenance des bavardages et pour intervenir, elle avait surpris Kevin en train de mimer une fellation sous le regard hilare de ses deux complices, le reste de la classe étant consterné par tant d'immaturité et d'irrespect. Comme les règles de l'éducation nationale l'imposent, elle ne les avait pas exclus de son cours, bien que ce ne fut pas l'envie qui lui manquait. Conformément à ce que l'institution attendait d'elle, elle leur avait calmement fait la morale à la fin du cours et avait opté pour une sanction éducative, à savoir deux heures de travaux dirigés supplémentaires, appelés communément « colles » par les élèves.
Justine leur avait préparé une série de questions portant sur des documents dont la problématique générale était l'égalité entre les hommes et les femmes, souhaitant par ce biais leur faire prendre conscience de la gravité de leurs propos machistes de la veille. Elle avait déniché des textes sur les différences salariales entre les hommes et les femmes, sur la difficile condition des femmes Afghanes, sur le déficit de scolarisation des filles dans les pays en développement, sur la sous-représentation des femmes dans les instances dirigeantes publiques et privées en France, etc. Bien forcés de le faire, les trois élèves lisèrent les documents mais très vite, ils émirent des protestations :
Ça me prend la tête vos documents, Madame, dit Mohammed.
C'est n'importe quoi, renchérit Kevin.
Madame, vous savez pas que les hommes sont pas faits comme les femmes, lui demanda Jordan? A partir de là, ils peuvent pas être égaux. C'est un fait.
Justine les encouragea à réfléchir calmement au contenu des textes, tout en s'efforçant de garder elle-même son calme devant tant de bêtise. Leurs interventions l'ayant mise sur la défensive, elle ne pouvait cependant pas réprimer certains signes de nervosité comme croiser et décroiser ses jambes toutes les deux minutes et faire claquer de manière compulsive son triple décimètre sur sa cuisse. Mohamed, le leader du groupe, le lui fit remarquer sans prendre de gants, en fixant des yeux ses jambes avec un petit sourire narquois :
Madame, on n'arrive pas à se concentrer avec votre règle, là ...
La remarque de Mohamed avait fait mouche. Justine avait bien compris à son sourire que plus que le bruit provoqué par le claquement régulier de la règle sur sa cuisse, ce qui déconcentrait Mohamed était son jeu de jambes. Elle réalisa alors que le bureau auquel elle était assise ne comportait pas le panneau destiné usuellement à masquer les jambes du professeur. Or elle était vêtue d'un tailleur-jupe et le bureau était surélevé sur une estrade de 20 centimètres de hauteur environ, comme il était d'usage de le faire jusqu'à quelques années auparavant. Bien que les nouvelles pratiques pédagogiques préconisèrent dorénavant d'enlever ces estrades pour favoriser une plus grande proximité entre les élèves et l'enseignant, nombre de lycées anciens n'avaient pas pris la peine de les supprimer. Toujours est-il que très clairement, Mohamed avait fait allusion à la vue ascendante imprenable qu'il avait sur ses jambes. Aussitôt cette remarque tonitruante formulée, le visage de Justine s'empourpra et elle balbutia :
Mohamed, reprends ton travail... je te prie ! Je... je me passe volontiers de tes commentaires !
Ouais ça va M'dame, pas la peine de crier. Mais bon, moi je peux pas travailler parce que je bloque sur vos jambes... c'est vrai, quoi, vous m'excitez à croiser et recroiser tout le temps vos jambes comme ça, faut comprendre !
Mohamed, ça suffit reprends-toi, sinon je te mets deux heures de colles supplémentaires ! Ce ne sont pas des choses qui se disent.
Quoi M'dame c'est sympa ce que j'vous dit... vous êtes trop excitante avec votre petit tailleur BCBG et vos bas noirs... la vie de ma mère, ça fait trop coquine ! En fait, vous cachez bien votre jeu derrière votre sale caractère...
Justine comprit qu'il avait aperçu les jarretières de ses bas autofixants qu'elle avait mis en prévision de la soirée romantique qu'elle devait passer avec son mari, en l'absence des enfants. Plus gênée que jamais, elle tira sur sa jupe pour cacher le haut de ses bas et répondit d'une vois peu assurée :
Que dis-tu ? Je... je vais appeler le Conseiller Principal d'Education Mohamed !
Kevin prit la défense de son copain :
Allez, Madame, faut pas se fâcher pour ça ! En plus il vous fait des compliments et à votre âge, ça devrait vous faire plaisir !
Comment ça à mon âge ? Je n'ai jamais que 33 ans et je peux vous dire que je plais aux hommes malgré ce soit-disant âge avancé ! Et puis il y a des manières de dire les choses... Mohamed ne m'a pas respecté, ce qui renvoie à la problématique de vos textes.
De manière habile, Justine essayait de calmer le jeu en recentrant la conversation sur les textes. C'était bien essayé, mais Kevin la prit à son propre piège :
Ouhaou, coquine en plus de ça ! Comme ça vous « plaisez aux hommes » ! En tous cas, Madame, on a bien vu grâce à vous que les hommes et les femmes ne sont pas fait pareils entre les jambes ! Mort de rire !
Tous les trois étaient partis dans un fou rire inextinguible, lorsqu'elle s'énerva :
Bon, pour commencer, je vous mets 0/20 à tous les trois, et ça comptera dans votre moyenne du trimestre. Ensuite, que l'un d'entre vous aille chercher le CPE tout de suite. Jordan, allez-y ! Cette affaire ne va pas en rester là, croyez-moi.
En de telles circonstances, le règlement du lycée interdisait en effet à Justine de quitter la classe pour aller chercher elle-même de l'aide, car en aucun cas un professeur ne doit laisser ses élèves sans surveillance en abandonnant sa classe.
Alors que Jordan signifiait son refus d'obtempérer, Mohamed se leva calmement et se dirigea vers le bureau. Justine, qui commençait à avoir peur, se leva de sa chaise à son tour afin de tenir tête plus aisément à ce grand gaillard d'un mètre quatre-vingt-dix, elle qui dépassait péniblement le mètre soixante cinq avec ses chaussures à talons. Elle tenait toujours son triple décimètre en main, pensant peut-être inconsciemment qu'il pouvait lui servir d'arme en cas de besoin. Mohammed la prit par le bras et lui dit :
Madame, vous pouvez pas nous mettre un 0. On va sûrement redoubler à cause de ça. Et puis si vous appelez le CPE, on va se faire exclure du bahut. Alors faut laisser tomber, OK ? Soyez raisonnable !
Justine, qui se sentait agressée à juste titre, ponctua ses protestations par un coup de règle sec sur le bureau. Mohammed, qui ne lâchait pas prise et qui se rapprochait d'elle peu à peu, reprit :
On peut même vous donner des choses en échange, si vous acceptez d'oublier ce qui vient de se passer ici...
Comment ça Mohamed, tu veux parler de drogue ? D'argent ? Mais ça va pas non !
Non M'dame, de l'argent on n'en a pas et la drogue, on la vent, on ne la donne pas. Je parlais pas de ça...
En passant sans aucune gêne au tutoiement, il continua :
Regarde, tu nous fais de l'effet à tous les trois. Comme t'as l'air d'aimer la bite, je te propose qu'on te fasse le cul gratos... je peux te dire que tu t'en souviendras parce qu'on est tous montés comme des ânes et tu nous fais bander grave. T'es OK ?
Justine, mortifiée par la honte et passablement troublée, tenta d'asséner un coup de règle sur le bras de Mohammed pour lui faire lâcher prise. Esquivant le coup, Mohammed saisit le bras de Justine et lui fit faire un demi tour en accompagnant son mouvement, un peu comme si tous les deux exécutaient une passe de Rock n' Roll. Elle se retrouva enveloppée dans les bras de son élève, dos collé contre lui. Il profita de l'effet de surprise pour lui subtiliser sa règle, qu'il déposa sur le bureau et pour lui passer les mains dans le dos afin de la neutraliser. Justine recommença à se débattre, mais sans grande conviction compte tenu du déséquilibre entre les forces en présence. Mohamed, qui la maintenait aisément d'une main, commença à lui caresser l'épaule de l'autre et à l'embrasser dans le cou. Il continua de plus belle malgré les protestations de sa prof, probablement encouragé par le fait que celles-ci étaient de moins en moins affirmées. Lorsqu'elle se tut, il finit même par libérer ses mains de son étreinte afin de pouvoir lui caresser les deux seins à travers son chemisier et, à sa grande surprise, Justine se laissa faire sans broncher. Les caresses de Mohamed sur ses seins se faisaient plus appuyées, ses baisers plus fougueux, et il frottait dorénavant son bassin contre ses fesses. Il ne fallu d'ailleurs que quelques secondes pour qu'elle ressente une bosse bien dure se former dans le pantalon de son élève, massant ses fesses au rythme des mouvements de ce dernier. Elle dut se rendre à l'évidence, Mohamed l'émoustillait. Pourtant, la situation était tellement gênante qu'elle ne pouvait décemment pas laisser libre cours à ses envies du moment. Alors qu'elle réfléchissait à une manière de s'esquiver avec les honneurs, Mohamed lui susurra :
Allez, laisse-toi aller. Tu en as envie, ça se voit. On va bien s'amuser ensemble. Tu sens comme tu me fais bander ? Ne t'inquiète pas, on a l'habitude mes potes et moi, on va prendre soin de toi et de ton cul. Tu nous en diras des nouvelles ; et promis, on ne dira rien à personne. Si tu joues le jeu, y'a rien qui sortira de cette pièce. OK ma p'tite prof chérie ?
Mohamed, pour la dernière fois, je t'en supplie, ...
Elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase que d'un geste précis, Mohamed lui fit faire volte face, saisit son visage des deux mains et l'embrassa à pleine bouche. Les suppliques de Justine laissèrent alors la place aux sifflets et aux applaudissements de Kevin et de Jordan, époustouflés par la performance que leur copain venait de réaliser. Lorsque Justine enlaça le cou de Mohamed, les sifflets se turent et, pour une fois, les deux lascars furent attentifs à ce que faisait leur professeur.
Très adroit pour son âge, Mohamed profita de ce moment de tendresse pour soulever sa jupe et glisser une main sur la culotte de Justine. Tout en l'embrassant à grands coups de langues, il la masturbait doucement à travers le tissu. Lorsqu'il écarta la dentelle pour accéder à son but, elle laissa échapper un soupir. Quelques secondes après, un doigt glissé dans son vagin lui arracha un gémissement.
Jordan et Kevin, qui ne pouvaient décidément pas rester en place bien longtemps, se levèrent de leur table pour se rapprocher de la scène surréaliste qui se déroulait derrière le bureau de leur professeur. Kevin remarqua :
Eh les deux là, vous nous jouez Love Story ou quoi ? Vous ne voulez pas non plus qu'on soit les témoins de votre mariage, par hasard ? Mohamed, montre-nous un peu son cul à cette salope !
Surpris par ses copains en flagrant délit d'humanité, Mohamed se ressaisit. Il retira sa main de l'entre-jambes de Justine et exhiba son doigt baveux en direction de ses deux camarades.
Et ça, c'est Love Story peut-être ? T'as vu comme elle mouille ? Faut juste savoir s'y prendre avec les bourgeoises, mon pote !, dit-il.
Bon, ça suffit maintenant, cria Justine en réajustant sa culotte et sa jupe. Moi, je m'en vais. Restons-en là.
Sans lui laisser le temps de mettre son projet à exécution, Mohamed l'empoigna par le bras et lui dit :
Attends ! On commence tout juste à s'amuser... t'as pas entendu ce qu'a dit mon pote, ils veulent voir ton cul... tu peux pas partir !
Lâche-moi tout de suite !, enragea Justine.
Allez, montre-nous ton cul salope !, lui rétorqua Mohamed en la troussant littéralement, le buste posé sur le bureau, à côté de la règle qu'il avait laissée là quelques minutes auparavant.
Vas-y, fous la à poil, dit Jordan.
Vire-lui sa culotte, reprit Kevin.
Mohamed ne se fit pas prier. En la maintenant courbée sur le bureau d'une main, il releva sa jupe de tailleur et baissa la culotte de Justine jusqu'à ses genoux de l'autre main. Les sifflets reprirent dans la salle, ce qui arracha instinctivement à Justine un « taisez-vous là en bas » d'autant plus inopportun que comme chacun le sait, il s'agit d'une célèbre contrepèterie grivoise qui, s'ils la connaissaient, aurait eu pour effet d'exciter encore un peu plus ses élèves.
T'es plus trop en position de commander, si tu vois ce que je veux dire, donc tu fais ce qu'on te dit. Alors c'est toi qui la ferme. Tu parles lorsqu'on te le demande ou alors tu lèves la main si tu veux participer. Compris Salope ?
Il accompagna sa question d'un bon coup de règle sur le cul de Justine, qui la fit tressaillir et s'exclamer :
Oui, c'est bon, c'est bon, doucement s'il te plaît Mohamed !
C'est bon quoi ? La règle ?
Non ! Pitié ! Je ferai tout ce que tu demandes, mais arrête avec la règle je t'en supplie.
Ce que je te demande, c'est de fermer ta gueule et de ne plus nous donner d'ordre. Or à l'instant, tu viens d'essayer de me dicter ma façon de faire. Je vais te punir pour sa, ma petite prof chérie. Qu'est-ce que vous en dites les gars ? On lui fait quoi ?
Tu lui files 10 coups de règle et on la saute en tournante. C'est le tarif, dit Kevin.
Putain les mecs c'est chaud !, dit Jordan.
Ouais c'est bon, t'as qu'à te casser si t'es pas content lui répondit Mohamed. En attendant, nous, on va bien s'amuser avec ce cul... Allez salope, cambre-toi et compte.
Et justine compta les coups de règle qui tombaient régulièrement sur ses fesses, en serrant les dents. Elle s'efforça de ne pas pleurer et y parvint, fort heureusement pour son amour propre qui n'était pas encore totalement anéanti. Il faut dire que Mohamed n'était pas un vrai méchant et qu'il savait manifestement administrer des coups de règle plus impressionnant que douloureux.
C'est bien, t'es une brave fille, lui dit Mohamed. Courageuse et fière, comme je les aime. A partir de maintenant, on va te faire du bien. Jordan, passe-moi ton bâton de colle s'il te plaît !
Pour quoi faire ? Demanda Jordan naïvement.
Qu'est-ce que je viens de dire ? Pour lui faire du bien ! Tu vas voir... Me dis pas que tu l'as encore oublié ! Elle va encore pas être contente et pour une fois, elle aura raison de râler avec ce que j'envisage de faire de ce bâton !
Non, c'est bon, le voilà.
Jordan lui passa le bâton de colle en question. Mohamed le saisit et le glissa dans la chatte de Justine qui eut un mouvement défensif compte tenu de la soudainement de cette introduction. Mohamed lui enjoignit de rester cambrée et la masturba de plus en plus fort avec le tube. Justine était rouge comme une pivoine, haletante et gémissante. Elle sentait des goutes de sueur perler sous ses aisselles et son vagin se lubrifier à son corps défendant.
Laisse-toi aller, ma p'tite prof chérie, dit Mohamed. Ça va te faire du bien. Tu te sentiras plus détendue après cette petite séance à laquelle tu es arrivée très stressée tout à l'heure. Cool, ma belle... tu le sens bien le bâton, là ?
Oui Mohamed, mais arrête s'il te plaît !
Pourquoi est-ce que j'arrêterais, puisque ça te plaît ?
Non ça ne me plaît pas, arrête tout de suite !
Si ça ne te plaît pas, alors pourquoi ta chatte est-elle dégoulinante, explique-moi ? Et ce bâton, tu vois comme il est enduit de ta mouille, hein ?
Mohamed lui mit le bâton visqueux sous le nez, en lui redressant la tête par les cheveux. Il le lui fit sentir, puis sucer. Elle s'exécuta sans enthousiasme. Puis il demanda à Kevin de venir écarter les fesses de la prof, lâcha un gros glaviot sur l'anus de celle-ci et introduisit lentement son pouce dedans. Malgré les râles de Justine, il enfonça du premier coup son pouce jusqu'au bout de la deuxième phalange, puis il le fit coulisser sur un rythme crescendo. Après quelques minutes, il lui fourra difficilement le tube de colle dans le cul et reprit ses mouvements de va-et-vient sous les grognements de Justine, en les alternant avec des mouvements circulaires sur lesquels Jordan le questionna :
Pourquoi tu fais-ça ?
Pour lui élargir le cul, andouille ! T'y connaît rien ou quoi ? Tes parents n'ont pas la télé, c'est ça ?
Ah ouais, s'cuse, j'avais pas vu... Attends, je vais filmer ça avec mon mobile, comme ça j'aurai un souvenir...
Il sortit ton téléphone portable et immortalisa la scène en gros plan, zoomant sur l'anus martyrisé de sa prof.
A cet instant, Kevin, surexcité par ce à quoi il venait d'assister, eut une idée lumineuse :
la salope m'a mis un 0/20 une fois que j'étais absent au DS , dit-il a ses potes. C'est moi qui vais te mettre un 0, cette fois-ci, ma prof adorée. Jordan, passe-moi ton marqueur s'il te plaît. Et toi salope, mets-toi à poil et quatre pattes sur le bureau, comme une chienne. Allez, bouge ton cul !, dit-il à Justine en lui assénant une série de claques sur le popotin alors qu'elle retirait docilement son chemisier et son soutien-gorge.
Tiens, attends salope, tu vas garder ta jupe et tes bas, et tu vas remettre ta veste de tailleur, lui dit-il. Comme ça ni toi ni nous n'oublierons que nous sommes en train de sauter notre petite prof BCBG adorée. Tu vas avoir l'air trop classe en tailleur en train de sucer des bites.
Comme tu veux Kevin, à condition que tu arrêtes de me traiter de salope. Tu oublies le respect que tu me dois.
Ça ma petite salope, c'est du blabla. Une nana comme toi, ce qu'on lui doit c'est de la sauter en règle. C'est ce que tu veux, ça se voit trop ! Allez, arrête un peu de parler et suce-moi. J'y peux rien moi si t'es une salope. Et il faut appeler une salope une salope, comme on dit.
Il dézippa sa braguette et sortit son engin dressé vers le plafond. Le bougre était bien pourvu, Mohamed n'avait pas menti. Lorsqu'elle s'approcha et le décalotta, Chrystel senti des effluves d'urine monter à ses narines. Manifestement, Kevin n'avait pas prévu de se faire sucer aujourd'hui et son hygiène laissait à désirer, comme celle de beaucoup d'adolescents, du reste. Par expérience, Justine savait qu'il valait mieux engloutir le membre odorant le plus rapidement possible, sans trop y penser. Sa promptitude fut assimilée à tort à de la voracité par Kevin qui le lui fit remarquer :
Ah ben ça y est, tu fais plus de chichis maintenant ! Fais-toi plaisir ma belle, c'est pas tous les jours que tu dois en voir des comme celle-là !
Commentaires