Teaser

  • Elle

Quelques clichés de Chrystel

Recherche

Calendrier

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>

Une soirée libertine au château - premier acte


Nous avions rendez-vous vers 22 heures le vendredi soir, sur le parking d'un supermarché en pleine ville, au milieu des immeubles de style années 1970. Bien que de réputation calme, à cette heure en plein hiver le lieu n'était pas des plus engageants. Il faisait un froid glacial. Chrystel était habillée très légèrement comme il se doit pour ce types de soirées et, bien qu'ayant revêtu un manteau par dessus sa courte robe noire, elle frissonnait lorsque nous sortions de la voiture. J'envoyais un SMS pour signaler notre arrivée et, fort heureusement, nous ne tardions pas à apercevoir une ombre se diriger vers nous depuis l'intérieur du parc arboré jouxtant le parking. Nous saluâmes notre hôte qui nous ouvrit le portillon d'accès et nous dirigea sans se répandre en salamalecs vers le château. Nous étions prévenus, mais le lieu nous surprit tout de même. A de maintes reprises nous étions passés dans ce quartier, de retour de week-ends notamment, sans nous douter de la présence pour le moins saugrenue de cette battisse du 18ième siècle au beau milieu de la métropole bétonnée. Un sourire sur son visage nous signifiait que notre guide comprenait notre étonnement, sans pour autant qu'il ne ressentît le besoin de nous fournir de plus amples explications sur l'histoire du lieu.

  • C'est par ici, suivez-moi.

  • Sommes-nous les premiers?

  • Non, nous n'attendons plus beaucoup de monde après vous.

En gravissant les marches de l'escalier monumental, nous commencions à entendre de la musique électronique émaner du château, à grand renforts de basses. Le rythme de nos pouls respectifs s'accéléraient, comme entraînés par celui des « bits par minute » distillés par la puissante sono.

  • Vous pouvez laisser vos manteaux dans cette pièce que l'on a aménagée pour. Ne craignez rien, ils sont en sécurité. Notre petite fête se déroule à l'étage, comme vous pouvez l'entendre.

  • OK, nous allons laisser nos affaires ici, ça sera mieux pour la suite de la soirée. Vous habitez ici, dans le château?

  • Eh bien disons... oui. Vous êtes ici chez nous. Veuillez m'excuser, mais je dois aller m'occuper des autres invités à l'étage. A tout à l'heure!


Une fois de plus, nous comprîmes à son sourire que notre hôte souhaitait préserver une part du mystère qui entourait cette soirée. Nous nous délestâmes de nos manteaux et autres pulls puis visitâmes le rez-de-chaussée, où nous croisâmes au détour d'un couloir quelques couples qui comme nous n'avaient pu contenir leur curiosité. Nous nous saluions et échangions des regards complices tout en nous jaugeant mutuellement, mais cela n'allait pas plus loin. A ce stade de la soirée, la situation restait extrêmement sous contrôle, bien que tout le monde arborait des tenues très sexy qui n'auraient pas eu leur place dans le monde « ordinaire ». Nous nous décidions à nous jeter dans la gueule du loup, c'est à dire à monter à l'étage. A cet instant, nous souhaitions tous deux ardemment que nos amis Sébastien et Stéphanie avec qui nous avions rendez-vous soient déjà sur place, ce qui aurait eu pour effet de nous soulager un peu notre trac.

A l'étage, nous trouvâmes une bonne quarantaine de couples, verres de champagne à la main, répartis entre le vestibule, la salle dévolue à la danse et la cuisine où se trouvaient boissons et buffet froid. Tout le monde était en tenue sexy et certaines femmes étaient même vêtues de manière assez provocante, sans que ce soit la majorité. Nous saluâmes les têtes connues et discutâmes quelques minutes avec Laurence et Fred que nous avions déjà croisés à plusieurs reprises en club libertin et avec qui nous étions depuis longtemps en relation via MSN Messenger, mais avec qui nous n'avions pas encore butiné. Laurence, qui devait participer à un défilé de lingerie un peu plus tard dans la soirée, s'apprêtait à s'éclipser quand Seb et Steph se joignirent à nous. Une fois les présentations faites, ils nous expliquèrent qu'ils étaient arrivés avant nous et qu'ils étaient en train de visiter les « coins-calins » spécialement aménagés dans le château pour ce soir. Nous décidâmes de prendre un verre et de découvrir avec eux ces fameuses pièces. Elles étaient disposées en enfilade, comme il est d'usage dans les anciennes constructions. La première que nous visitions était très sombre et l'on devinait tout juste la présence d'un matelas dans une alcôve. La deuxième était moins sombre. Des matelas étaient posés à même le sol et un film pornographique y était projeté sur le plafond. Si le doute eût été encore permis malgré les tenues extraordinaires des convives, il ne l'était plus tout à coup : la soirée promettait d'être chaude. La troisième pièce était la plus éclairée et la plus grande. Puisqu'elle permettait de desservir plusieurs pièces annexes dont une salle de bains, elle était assez passante. Les matelas recouvraient une partie du plancher en bois et l'ambiance y était assez froide. Nous nous promirent de ne pas terminer la soirée dans cette partie du château, trop éclairée et donc pas assez intime à notre goût. La visite terminée, nous retournâmes vers le reste des convives qui étaient massés dans la pièce de danse ou dans la cuisine. L'ambiance commençait à se détendre, l'alcool aidant probablement les plus timides. Quelques couples commençaient à se trémousser sur la piste et de notre côté, nous n'en finissions pas de saluer et de parler avec des couples que nous connaissions de près ou de loin. Sur la piste, la température monta d'un seul coup lorsqu'un homme au look gothique-chic retroussa la courte robe de l'une des deux filles qui l'accompagnaient, la retourna, l'empoigna par sa longue chevelure noire et lui administra une fessée très théâtralisée. La victime était une sublime jeune femme aux cheveux de jais. Elle arborait un tatouage gothique assez imposant sur le bas des reins qui tranchait avec sa grande classe, la grande finesse de ses traits et la parfaite harmonie de ses formes. Son bourreau était secondé par l'autre fille du trio, très belle également, qui semblait prendre un grand plaisir à flageller la soumise. La scène était saugrenue car jusqu'alors tout était resté dans les règles de la bienséance, la soirée ayant un peu de mal à démarrer. Elle eut cependant eu le mérite d'exciter les corps et les esprits : les couples se mirent à se frôler et les regards se chargèrent de désir. Laurence partie préparer son défilé et Seb en train de remplir son verre à la cuisine, Stéphanie et Fred se rapprochèrent de manière flagrante au cours d'une danse endiablée. Elle était très entreprenante et lui semblait un peu dépassé par la situation, mais complice de bon coeur. Chrystel, un peu éméchée par le champagne, se laissait draguer par la femme d'un couple que nous connaissions via un site Internet. Alors que le mari de ce couple et moi discutions de notre côté depuis quelques minutes, nous aperçûmes nos deux femmes s'enlacer et s'embrasser à pleine bouche sur la piste... cela n'ira pas beaucoup plus loin car nous savons pour en avoir déjà discuté ensemble que nos deux amis ne pratiquent que le mélangisme. D'après notre maigre expérience, les couples qui pratiquent le mélangisme sont souvent venus au libertinage pour assouvir les fantasmes homosexuels de la femme en même temps que les penchants voyeuristes de l'homme, et toute intervention physique masculine est dès lors proscrite. Chaque membre du couple y trouve son compte car dans cette configuration où seules les femmes ont des relations sexuelles, les hommes peuvent mesurer leur pouvoir et leur puissance à travers la valeur de leur conjointe sur le « marché des plaisirs », tout en limitant les risques de voir monter le sentiment de jalousie. Nous ne souhaitons pas avoir ce type de relations où les hommes commentent en spectateurs les ébats de leurs belles, cela fait partie des règles que nous nous sommes fixées. Nous préférons que tout le monde s'implique et nous acceptons de courir le risque que des sentiments naissent entre l'un des éléments du couple et une autre personne avec qui il a eu des relations sexuelles, risque qui existe aussi lors de relations exclusivement homosexuelles mais dont les conséquences en terme de stabilité du couple sont moindres.

Le fait que je me rapprochais des deux filles et commençais à entrer dans la danse avec elles m'a d'ailleurs valu un regard désapprobateur de la part du mari, d'autant plus qu'il pouvait constater que sa femme, emportée par son désir, n'avait rien contre mon attitude. A partir de cet instant, quatre issues étaient envisageables :

  1. Partir à trois. Le mari aurait été terriblement jaloux et leur couple aurait été mis en péril. Solution proscrite car non éthique.

  2. Pratiquer le mélangisme. Solution inenvisageable pour nous, pour les raisons mentionnées plus haut.

  3. Les deux filles partent toutes seules se lécher le minou. Outre le fait que Chrystel préfère être en compagnie d'hommes même lorsqu'elle fait l'amour avec une femme, cette solution n'est pas dans l'esprit de l'échangisme. Elle relève d'une forme de libertinage que nous comprenons et respectons, mais que nous ne sommes pas prêts à vivre.

  4. Se promettre de rester « bons amis », en tout bien tout honneur libertin. C'est cette dernière solution qui émergea, après un dernier baiser échangé entre les miss.


Alors que Chrystel et moi dansions sur la piste depuis quelques minutes au rythme de la musique techno qui n'est pas vraiment notre tasse de thé et que Stéphanie et Fred s'étaient enlacés, leurs langues se battant en duel, Seb vint nous rejoindre, probablement agacé de voir sa compagne se jeter de la sorte dans les bras d'un autre et se frotter à lui comme une femelle en chaleur. Nous lui ouvrâmes grand les bras et, bientôt, notre trio entra lui aussi dans la décadence. Il faut préciser que Chrystel aimait beaucoup Seb, qui en plus d'être très mignon, bien foutu et bon baiseur, est doté d'un esprit rare. Il est à la fois intelligent, sympathique et plein d'humour. Elle et lui ne tardèrent pas à s'embrasser, alors que mes mains rejoignirent les siennes sur la poitrine de Chrytel, puis dans son boxer en dentelle noire ; sa robe était alors légèrement relevée par devant, mais cela restait assez discret. Lorsque nous constatâmes tous les deux qu'elle mouillait abondamment, nous échangeâmes un clin d'oeil complice accompagné d'un large sourire. Seb et Chrystel avaient déjà fait l'amour ensemble et ils avaient l'air d'en garder tous les deux un très bon souvenir.


  • Viens, dis-je à Chrystel. Allons visiter un peu les recoins du château... Qu'en dis-tu, Seb?

  • Je suis partant. Je sens qu'on va s'amuser, réponddit-il avec un sourire jusqu'aux oreilles.


La soudaineté de mon intervention surprit Chrytel, encore toute à son excitation. Elle ne répondit pas et, les joues rosies, nous suivit sous les regards envieux et curieux des danseurs ayant repéré notre manège. Je guidais Chrytel par la main, ouvrant le chemin. Seb qui fermait la marche profitait de la situation pour caresser la croupe de Chrystel, bien convaincu qu'il la tiendrait fermement entre ses mains plus tard dans la soirée. Arrivés sur le balcon intérieur qui surplombe l'escalier monumental où quelques couples conversaient, nous fîmes une halte. Cette fois-ci, Chrystel était tournée face à moi et nous nous embrassions. Seb, lui était resté un peu en retrait, probablement pour admirer la scène. Il est vrai que le lieu est somptueux et que la présence de Chrystel, certes habillée en tenue de soirée assez classique mais dont l'attitude d'excitation et certains détails comme sa chaînette de cheville et ses chaussures à plate-formes en plexiglas, accentuait la beauté de la scène par le contraste qu'elle provoquait. Comprenant ses pensées, je soulevais la robe de Chrystel par derrière pour exhiber ses fesses charnues. Seb me regardait avec un immense sourire plein de complicité perverse, Hummm, c'est bon ça!, alors que les personnes assises dans les escaliers ou de passage à côté de nous ne perdaient rien de la scène. Les pressions de mes doigts sur son clitoris firent haleter la miss, qui resta muette. Seb s'approcha alors et s'agenouilla derrière elle. Il lui empoigna les fesses et les malaxa vigoureusement en admirant leur réaction sous la pression de ses mains comme un gamin découvrant son nouveau jouet. Puis il fit glisser son shorty en dentelles le long de ses jambes, à la hauteur de ses genoux. Toujours hilare, il écarta les deux globes fessiers de la miss, marqua un temps d'arrêt pour admirer le spectacle et lui bouffa littéralement le cul, sous l'oeil amusé des personnes présentes. Le plaisir fut fulgurant pour Chrystel, électrisée par la langue de Seb et par mes doigts agiles. Seb et moi étions sur le point de l'emmener dans une pièce à part pour la baiser aussi sauvagement que notre degré d'excitation était élevé quand l'heure du défilé de lingerie arriva. Nous convînmes ensemble de remettre nos galipettes à plus tard, pour ne pas manquer le « clou de la soirée ». Chrytel remonta sa culotte et ajusta sa robe, puis nous nous dirigeâmes vers la piste de danse où nous rejoignîmes Stéphanie et Fred qui, comme nous, avaient calmé leurs ardeurs et prenaient tranquillement un verre ensemble.







Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés