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Depuis quelques semaines, nous avions découvert le W.N., un petit club échangiste proche de chez nous, en même temps que nous avions épousé le monde du libertinage. Nous y allions le plus souvent les vendredis soirs puisque ces soirées là étaient « mixtes », ce qui signifie que l’établissement consentait à laisser rentrer des hommes non accompagnés pour satisfaire les couples adeptes de trios, quatuors ou autres formations à plusieurs. Pour notre part, nous avions commencé le libertinage par des trios avec des hommes et nous trouvions tous les deux notre bonheur dans ce type de configurations. Chrystel aimait se faire baiser par deux hommes entièrement dévoués à son plaisir et moi, au-delà du plaisir physique, j’aimais l’observer se faire draguer sur la piste de danse ou au bar par des bandes de copains entreprenants ou des célibataires séducteurs ; la voir céder sans aucune résistance aux avances parfois grossières de beaux gosses sûrs d’eux et de leur pouvoir de séduction m’excitait au plus haut point. Dans ces moments là, elle s’abandonnait totalement à son prédateur et je la trouvais diablement belle en proie facile. Ce soir là pourtant, les dragueurs n’étaient pas au goût de Chrystel. Bien sûr, elle a accepté des invitations à danser collé-serré, elle s’est fait caresser sa belle croupe parée d’une courte jupe par quelques partenaires de frotti-frotta gonflés à bloc, elle a essuyé des mains-au-cul plus ou moins anonymes, elle a accepté de bonne grâce quelques coupes de champagne et a papoté de longues minutes avec des prétendants, mais elle n’a pas été séduite. Seuls à notre table assis dans des fauteuils, nous méditions sur le caractère aléatoire des rencontres en club échangiste et convînmes qu’il valait mieux ne pas se forcer à passer à l’acte à contrecœur sous prétexte de rentabiliser notre sortie en club. Tout en philosophant, nous scrutions les clients du club dans l’espoir de ne pas repartir bredouilles. De manière concomitante, nous remarquâmes un couple harmonieux qui vint s’asseoir deux tables plus loin, visiblement dans le même état de déception que le notre. Ils étaient un peu plus âgés que nous, probablement au milieu de la trentaine tous les deux. Nous les regardions discrètement et partagions nos avis sur eux. Lui était grand et assez baraqué, sérieux mais charismatique. Alors que je faisais remarquer à Chrystel que la fille grande et élancée était très sexy, elle me dit qu’elle la trouvait mignonne également et qu’elles s’étaient échangés des sourires complices, ce qui m’avait échappé. Je pensais à cet instant que cette affaire allait en rester là, convaincu que lui n’était pas au goût de Chrystel. Par-dessus le marché, nous n’avions jamais fricoté avec un couple. C’est alors que je croisais le regard de l’homme qui me fit un large sourire et souleva son verre en guise de salut. Je lui rendis son salut et Chrystel suggéra qu’on aille les rejoindre. Nous prîmes place à leurs côté et bavardâmes de choses et d’autres. Céline et Laurent avaient un peu plus d’expérience que nous dans le libertinage puisqu’ils avaient déjà rencontré quelques couples avec qui ils avaient pratiqué le « mélangisme », ce qui signifie qu’ils avaient batifolé sans aller jusqu’à la pénétration hors couple. Depuis, nous avons compris que les mélangistes sont pour la plupart des couples qui mettent l’accent sur les relations homosexuelles féminines, sans que ce soit pour autant une généralité, certains couples hétérosexuels souhaitant par cette pratique préserver le coït comme acte intime. A l’époque, ces subtilités nous échappaient largement. Quoi qu’il en soit, le courant passait très bien entre nous et nous discutions comme des copains de longue date sur des sujets variés et parfois coquin. Laurent, effectivement très sûr de lui, avait presque dix ans de plus que nous. Céline était également un peu plus âgée et avait un aplomb assez rare. D’après leurs dires, c’est elle qui avait convaincu Laurent de faire l’expérience du libertinage.
Tout en tenant la conversation, Laurent avait entrepris de caresser la cuisse de Chrystel qui était assise sur la même banquette à côté de lui. Afin de lui faciliter la tache, elle se blottit contre lui en continuant elle aussi à converser comme si de rien n’était. Céline, devinant mon émoi, profita d’un silence pour se tourner vers moi et m’embrasser à pleine bouche. Elle embrassait avec fougue : sa langue envahit brutalement ma bouche et en explora les moindres recoins. Chrystel offrit alors ses lèvres à laurent dont une main explorait dorénavant son entrejambe. Elle écartait ses cuisses pour lui laisser le champ libre, comme certaines fleurs s’ouvrent pour accueillir le soleil. Je fis de même avec Céline et, tirant sa dentelle de côté, constatais que sa chatte poilue elle était trempée. Rapidement, Céline qui décidément avait un tempérament de meneuse, suggéra que nous allions poursuivre notre conversation à l’étage où l’ambiance était beaucoup plus intimiste : lumière tamisée, alcôves, cellule à barreaux, cabines de bateaux, voyeurs, gémissements… dès la montée des marches de l’escalier menant au premier étage, les choses étaient claires pour tout le monde : Laurent soulevait la jupe de Chrystel, opportunément passée devant lui, pour caresser ses fesses ; Céline et moi, enlacés, nous embrassions comme deux jeunes tourtereaux. Bien que très compréhensifs, nous repoussions les sollicitations de quelques voyeurs surexcités pour atteindre notre but, un salon inoccupé. Nous en trouvions un d’une taille correcte qui, comme la plupart des salons du W.N., était fermé par une porte mais doté de hublots aménagés dans la paroi de sorte que les clients du club pouvaient deviner ce qui se passait dans la pénombre de la pièce. Etait-ce l’heure avancée, les quelques coupes de champagne bues durant la soirée ou tout simplement l’excitation, ce détail ne semblait gêner personne. Chrystel se laissa tomber à la renverse sur le matelas en Skye rouge ; debout devant elle, Laurent la toisait en retirant sa chemise. Céline, assise à califourchon sur moi, m’embrassait de plus belle alors que je lui pelotais les fesses, les mains dans sa culotte. A cet instant, je commençais sérieusement à me poser des questions car cette fille m’excitait, mais je ne bandais pas. Laurent avait retiré le shorty en dentelles de Chrystel et lui écartait les jambes, à genoux devant le matelas. Il lui bouffait sa chatte rasée avec avidité, lui arrachant de petits gémissements qui allaient crescendo. Moi, comme un con, je commençais à avoir peur de ne pas arriver à baiser Céline. Inspirée par Chrystel et Laurent, Je me dis alors que goûter sa chatte trempée pouvait être un bon moyen de réveiller la bête de sexe qui sommeillait profondément en moi et lui délivrais un cunnilingus haut de gamme qui la fit rapidement monter dans les tours. Pendant ce temps, Laurent était monté à genoux sur le matelas, avait retiré son jean et sorti sa bite au niveau du visage de Chrystel qui, se tournant légèrement sur le côté, l’avait pris en bouche. Il avait une queue à son image : grande, épaisse et raide. Elle s’en délectait. Céline et moi étions partis dans un 69 de la dernière chance qui me donna un peu de vigueur lorsque Chrystel se mit à quatre pattes pour pourvoir mieux sucer Laurent qui y prenait visiblement beaucoup de plaisir. Avec toujours beaucoup d’assurance, il interrompit la fellation pour aller chercher un préservatif dans une poche de son jean puis revint vers Chrystel. Elle reprit sa sucette pendant qu’il s’employait à sortir le caoutchouc de l’aluminium. Sans fioritures, il se positionna alors derrière elle, enfila la capote et la pénétra doucement. Les expressions que je lisais sur le visage de Chrystel m’excitaient bien que la scène me rendît fou de jalousie. La connaissant par cœur, je voyais bien qu’elle prenait un plaisir indescriptible malgré la gêne occasionnée par un certain manque de préparation initial de sa chatte à cet assaut à revers par une belle bite emplastiquée. A mon tour, je chaussais un préservatif sur ma queue à demi bandée et m’empressais de pénétrer Céline en missionnaire avant que l’étreinte de la capote ne fasse refluer le peu de sang qui daignait gorger mon corps caverneux. Je parvenais toutefois à mes fins assez facilement tant Céline était ouverte et humide. Comme bien souvent dans ces cas là, ma mauvaise érection alla de pair avec un manque total d’endurance. Très rapidement, je compris que je ne serais pas un bon amant ce soir là ce qui dans le contexte me ficha un coup au moral. Laurent, très endurant et froid, baisait patiemment Chrystel avec des mouvements amples et réguliers dans sa chatte, faisant claquer son bassin contre ses fesses. Au bout de quelques minutes et après avoir changé trois fois de position pour donner le change, je n’en pouvais plus et déversais mon sperme dans la capote que je m’empressais de retirer du vagin de céline pour éviter l’accident. Celle-ci, très compréhensive, me caressait et essayait de me réconforter tant bien que mal mais je vivais très mal la vision de Laurent qui faisait dorénavant gémir ma compagne en la baisant en levrette, comme elle aime, sans montrer le moindre signe de fatigue. Elle avait dorénavant posé ses épaules contre le matelas pour mieux offrir ses fesses et pouvoir se masturber le clitoris et lui accélérait la cadence en agrippant ses flancs afin de faire coulisser son chibre le plus loin possible. Chrystel gémissait de plus en plus fort et son visage s’était empourpré. Céline me fit remarquer son état et me suggéra d’aller la caresser, ce que bêtement je ne fis pas, égoïstement renfermé dans ce qui ressemblait bel et bien à une vexation. Céline, en revanche, n’avait pas d’états d’âme et n’avait clairement pas eu son compte jusqu’alors. Elle se rapprocha de Chrystel et lui caressa doucement les cheveux. C’est alors que très sûre d’elle-même, elle se pencha et prodigua à Chrystel un de ses baisers fous que j’avais expérimentés quelques minutes auparavant. Chrystel gémissait de plus belle alors que Laurent, impassible, avait légèrement diminué le rythme pour laisser les deux belles s’embrasser en douceur. Céline, un brin perverse, demanda à Chrystel si son homme la baisait bien. Dans mon coin, j’observais la scène et entendis mon amour répondre par l’affirmative, d’une voix haletante. Tenant Chrystel par la nuque, Céline lui susurra qu’elle était très belle, encore plus belle quand elle se faisait baiser. Elle lui caressa le dos, les fesses, puis lui asséna une petite tape sur le haut du postérieur avant de s’asseoir jambes écartées devant elle. De sa main droite à nouveau positionnée derrière sa nuque, elle attira la bouche de ma compagne sur sa chatte ruisselante. Rouge écarlate mais pas vraiment surprise, Chrystel brouta avidement la vulve velue et gluante de Céline. De manière concomitante, elle se mit à gémir très fort et Laurent comprit qu’il devait accélérer la cadence pour l’achever, encouragé en cela par le langage cru de Céline qui lui suggérait de « bien la baiser ». Chrystel ne tarda pas à venir et Céline la cajola dans ses bras pendant qu’elle suçait Laurent pour le faire jouir dans sa bouche. Terminer de cette manière n’était pourtant pas dans les plans de Laurent, qui baisa sa femme en règle alors qu’elle et Chrystel continuaient à se faire des papouilles. Il vint assez rapidement alors qu’elle était plus affairée à embrasser Chrystel à qu’à se concentrer sur la queue qui allait et venait dans son vagin. Nous retournâmes ensuite boire un verre dans les salons du club et convînmes de nous revoir. Nous nous revîmes effectivement quelques semaines après pour une soirée libertine dans un autre club de la région, au cours de laquelle Céline se contenta de regarder Chrystel se faire baiser en trio par son mari et moi. Nous avons aussi passé quelques après-midi ensemble à nous balader avec les enfants, en bons amis. Leur déménagement a malheureusement sonné le glas de cette amitié libertine bien sympathique.
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