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Cher Maître,
Comme vous le disiez avec force lors du dernier conseil, nous devons savoir nous entourer des bonnes personnes si nous voulons mener notre noble entreprise à bien ; aussi nous efforçons-nous d’apporter notre pierre à l’édifice. Nous venons en effet d'auditionner une candidate d’exception, Chrystel T.. Nous ne doutons pas que ses talents vous surprendront.
Elle possède une qualification supérieure et son apparence est irréprochable. C’est bien le minimum que l’on puisse attendre pour les tâches hautement stratégiques qui lui seront dévolues, me direz-vous. Mais l’essentiel n’est pas là. Elle est mignonne et très sexy ; on perçoit aisément chez elle une sensualité débordante dévoilée par un regard mutin, malgré une timidité de façade toute relative. L’expérience nous a montré que c’est une jouisseuse de la vie : elle sait apprécier ce qui est bon et semble insatiable pour tout ce qui est susceptible de satisfaire ses désirs. Elle est par ailleurs profondément altruiste et apporte un soin particulier à la satisfaction des désirs des autres, avec abnégation.
Elle est arrivée à l’entretien d’embauche accompagnée de son mari ; nous avons tout d’abord pensé qu’il s’agissait d’un moyen pour elle de se rassurer, mais nous avons vite compris que ledit mari souhaitait assister à l’entretien pour conseiller sa femme dans ses choix, le cas échéant.
La commission de recrutement était constituée de M. Masoch, directeur des ressources humaines, et de moi-même. Une seule candidate a été auditionnée, son CV la positionnant d’emblée bien au dessus de toutes les autres.
Après quelques tests techniques destinés à évaluer la solidité de ses acquis, nous lui avons demandé de dévoiler un peu sa personne : M. Masoch, jamais à court d’idée (vous le connaissez !), lui suggéra de nous montrer ses seins, ce qu’elle fit de bonne grâce. Elle déboutonna et enleva son chemisier puis dégrafa son soutien-gorge de manière à dégager sa poitrine. Ses seins sont relativement petits mais très bien galbés ; ses tétons pointaient, dévoilant par là une certaine excitation. N’y tenant plus, je me levai pour la palper en bonne et due forme, lâchant un « vous me semblez avoir les qualités requises pour ce poste, ma chère ! ». En portant sa main sur mon entrejambe, elle rétorqua : « Vous paraissez avoir également quelques qualités indéniables… ». Son mari, resté discret jusqu’alors, dit à sa femme : « Ma chérie, je crois que c’est le moment ou jamais de montrer tes qualités et ton savoir faire à ces messieurs si tu veux avoir le poste ! ». Joignant le geste à la parole, il glissa sa main sur les cuisses de la belle en remontant jusqu’à son entrejambe. Le geste fit son petit effet : les pommettes de Chrystel s’empourprèrent et elle laissa échapper un soupir de contentement, qui valait consentement. N’y tenant plus, elle dézippa ma braguette et empoigna mon braquemart qu’elle prit en bouche avec une délectation non dissimulée.
M. Masoch, un temps dépassé par la situation, se décida enfin à reprendre l’évaluation de notre candidate. Après avoir ôté méticuleusement son pantalon et son caleçon, il présenta son dard dressé à notre future collaboratrice. Heureuse de pouvoir montrer ses talents de pompeuse au DRH, sa bouche délaissa mon sexe pour honorer ce nouvel objet de plaisir. Dans les moments qui suivirent, elle alterna entre ma queue et celle de M. Masoch, en bonne besogneuse aguerrie à la chose. Le mari continuant à lui donner du plaisir avec sa main, l’excitation de la belle était à son paroxysme…M. Masoch jugea l’instant propice pour changer le ton de l’entretien, afin de voir si la candidate était capable de faire face à l’adversité. « Maintenant, tu vas nous montrer ton cul, petite salope », lui dit-il. Il s’était tourné vers le mari et l’avait regardé droit dans les yeux, de manière à prendre un ascendant psychologique sur lui. En effet, si les moments qui avaient précédé avaient convaincu notre DRH de la qualité de soumise de la candidate, un doute subsistait quant aux intentions de son mari. Ce dernier se fendit d’un sourire gêné et piqua un fard, soit qu’il se sentait humilié d’être impuissant dans une telle situation, car sa femme voulait ce job par-dessus tout et, qui plus est, elle semblait apprécier la tournure prise par l’entretien, soit que M. Masoch avait visé juste en devinant chez lui une certaine jouissance à voir sa femme prise en mains par deux hommes virils et dominateurs. Il esquissa une protestation de pure forme dans un grommellement qui révélait son excitation mais paradoxalement, il retira sa main de l’entrejambe de sa femme, la laissant ainsi libre de ses mouvements. Elle qui semblait rougir facilement était écarlate, sous l’effet de la conjonction du frottement des membres contre son beau visage et de l’excitation provoquée par le début de l’entretien, mais aussi et surtout consécutivement à l’ordre que lui avait donné M. Masoch. Elle se dressa sur ses talons face à l’assistance et releva la jupe de son tailleur pour dévoiler ses bas et son shorty en dentelles noires. Le mari avait sorti sa queue et se branlait en regardant la scène. M. Masoch, irrité que son ordre ne soit pas correctement exécuté, se leva, embrassa la belle à pleine bouche en empoignant sa crinière de la main gauche et en explorant son Mont de Vénus de la droite. La belle écarta les jambes pour lui ouvrir la voie, tout en gémissant. Notre lubrique DRH quitta la bouche et la chatte de la candidate et, en la maintenant par les cheveux, lui fit faire un demi tour. Il lui courba l’échine et la força à se cambrer, en tirant en arrière sur ses cheveux et en imprimant une pression sur ses reins, avec sa main droite. « C’est ton cul qu’on veut voir ; tu dois apprendre à exécuter les ordres correctement », lui dit-il. Elle acquiesça en gémissant de douleur, M. Masoch ne s’étant pas embarrassé de précautions superflues pour exécuter sa manœuvre. Il releva sa jupe sur ses reins, dévoilant ainsi sa croupe. Il fit glisser le shorty avec sa main et elle termina de l’enlever en faisant quelques mouvements de déhanchement, pour mon plus grand bonheur, celui de M. Masoch et, soyez-en certain, celui du mari. M. Masoch, en caressant la croupe de la pouliche, se tourna vers le mari et dit : « Ta femme a un cul d’enfer ; on va bien s’occuper de son petit trou à cette salope » ; il ponctua sa phrase d’une magistrale claque sur la fesse droite de Chrystel, en continuant de fixer le branleur dans les yeux. La claque fit réagir la candidate brutalement, qui rentra ses fesses en arrondissant son dos. M. Masoch tira sur ses cheveux de plus belle et lui intima l’ordre de rester cambrée. Le mari supplia d’une voix rauque et hésitante : « allez-y doucement, quand même ! ». M. Masoch sourit et, tout en lui fouillant l’entrejambe, demanda à Chrystel : « Tu n’aimes pas ça te faire enculer, salope ? ». Elle gémit sous les attouchements de notre collaborateur, mais tarda à répondre. Il lui claqua une nouvelle fois les fesses et réitéra sa question. Elle se dandina, mais pris garde à maintenir la posture, ce qui dénotait chez elle une certaine capacité d’apprentissage des règles… Elle répondit alors : « Si, j’aime ça ! J’aime me faire enculer ! Mon cul est à vous !» M. Masoch sourit et se tourna victorieusement vers le mari qui essuyait une nouvelle humiliation. Caressant la croupe de la pouliche qu’il venait de prendre en mains, il lui dit « C’est bien, tu es une bonne petite salope ; on va te donner ce que tu désires et en même temps, on va voir ce que tu vaux ». Il la conduisit par les cheveux vers le bureau et lui fit tendre son cul de nouveau, en direction du mari, pour que celui-ci ne perde rien du traitement infligé à sa femme.
C’est le moment que je choisis pour intervenir. Je me dirigeais vers la scène et, notre DRH s’esquivant d’un côté pour se faire sucer, je me plaçais de l’autre et j’empoignais à pleines mains le cul de notre future employée. Je le malaxais, le caressais et le fessais. Elle s’était mise à se masturber le clitoris, folle d’excitation. Je dis « M. Masoch, vous avez du flair : elle a un cul splendide ». A l’aide de mes deux mains, j’écartais au maximum ses globes fessiers. Son mari voyait ainsi sa femme exposée, la chatte béante. Il n’a pas fallu 10 secondes dans cette position pour que son anus s’ouvre légèrement. Il se referma, après nous avoir laissé entrevoir furtivement son intimité la plus cachée. Le mari se branlait, fou d’excitation. Sa femme se masturbait de plus belle et, bien décidé à en voir davantage, je recommençais le geste. Son très bel anus, bien lisse, réagit de la même manière. Lorsqu’il fut refermé, je laissai tomber de la salive sur sa raie écartelée, faisant le maximum pour que le filet atteigne sa cible, ce qui fut le cas : c’était son jour de chance. Elle haletait, M. Masoch imprimant un rythme d’enfer à ses va-et-vient dans sa bouche, avec son sexe durci. Dans un souci de transparence à l’égard du mari, je donnais l’ordre à sa femme d’écarter une fesse avec l’une de ses mains, de manière à libérer une des miennes. J’étalais alors la salive sur et autour de son anus ; pensant que cela ne suffirait pas, je récoltais un peu de sa mouille abondante dans sa chatte pour parfaire la lubrification de son fion. Elle avait dorénavant le buste appuyé contre le bureau, une main sur son clito, une autre sur une fesse. Sa tête inclinée vers le côté mettait sa bouche à la disposition du DRH. Il lui enfonçait sa bite au plus profond en la tenant toujours par les cheveux, lui passait de temps en temps ses couilles sur la langue et sur le visage, pour lui signifier sa nouvelle condition de subordonnée. Elle suçait et léchait à « tour de langue », en poussant des petits gémissements, comme on peut le faire lorsque l’on s’abandonne totalement. Ses gémissements se transformèrent en un grognement étouffé par la queue de M. Masoch, quand je lui enfonçais mon index dans sa rosette. Elle me regardait du coin de l’œil, je la fixais avec un sourire en coin et poussais mon avantage au maximum : son anus lubrifié accueillit mon doigt sans difficulté, l’excitation y étant pour quelque chose. Elle profita d’un moment de répit laissé par la queue de Masoch pour devancer ma question en me disant : « c’est bon… ». La simplicité du propos était touchante, mais je la soupçonnais de me flatter dans le but d'avoir le poste. C’était en tous cas une invitation à continuer, étant entendu que cette invitation était inutile puisque j’étais bien décidé à poursuivre l’exploration quoi qu’il en soit. « Ca n’est que le début !, rétorquais-je, je vais t’ouvrir le cul, ma petite salope… ». Regardant le mari et pensant le moment venu où son esprit avait basculé, je poursuivis tout en faisant aller et venir méthodiquement mon doigt dans les entrailles de la belle, avec un léger mouvement de rotation :
- Avec votre permission, bien sûr…
- Elle est à vous, grommelât-il en baissant les yeux.
- Je peux donc prendre possession de son cul ? insistais-je en introduisant un deuxième doigt dans l’anus, ce qui fit pousser
un « ahan ! » à l’intéressée, mi-gêne, mi-plaisir.
- Allez-y, enculez-la, si ça peut l’aider à obtenir le poste…
- Non, je vais le faire parce qu’elle aime ça, ta salope, dis-je, irrité par l'attitude négative du mari. Regarde comme elle aime ça
se faire ouvrir le cul ! repris-je.
- Bien sûr qu’elle aime ! Reprit M. Masoch en lui assénant une claque sur les fesses.
Etant toujours en avance d’un temps sur l’échelle de la perversité, il eut l’idée de démontrer ses propos au mari en interpellant la belle, dont la bouche s’était perdue quelque part entre les couilles et la cuisse de notre DRH. Elle dit, d’une voix étouffée : « Oui, j’aime ça, c’est bon…allez-y ! Continuez ! ». La chienne montrait un caractère très volontaire et cette phrase eut un certain effet sur son mari, qui se branlait de plus en plus fort et se tu à partir de cet instant, définitivement sous notre emprise.
M. Masoch écarta les fesses de la candidate et, comme je retirais mes doigts, on put admirer son trou béant.
Après avoir chaussé un préservatif, je forçais la porte d'entrée de la cité interdite de l’impératrice à coups de béliers puissants. Son cul était royal, mais elle couinait comme une cochonne, le souffle court et les yeux révulsés. Après quelques minutes de pur délice passées dans son cul, M. Masoch me demanda : « Puis-je ? ». Je lui répondis : « J’allais vous le proposer, mon cher ! ». Il l’empoigna de nouveau pas les cheveux et la fit se mettre à terre, les épaules contre le sol et le cul en l’air, offert à ses assauts. Il retira sa jupe, de manière à découvrir encore plus ses fesses; elle était dorénavant presqu'entièrement nue, seulement parée de ses bijoux, de ses bas noirs et de ses chaussures à talons. Quel contraste, si l'on songe qu'une heure auparavant cette jeune femme se rendait à un rendez-vous professionnel habillée comme une sainte-n'y-touche! Elle ne s'attendait certainement pas à se retrouver en pareille position... Masoch lui malaxait les fesses et l'on pu alors constater que son anus était franchement distendu, puisqu’il s’ouvrait tout seul. Un préservatif enfilé, il fondit sur elle comme l’oiseau sur sa proie et lui introduisit son énorme membre dans le fondement de la candidate; il poussa alors lentement mais avec fermeté son gland au plus profond de son colon. Elle se masturbait et, s’abandonnant totalement de manière à relâcher ses chairs, un filet de bave dégoulina de sa bouche sur le sol…Je me souviens m’être alors fait la réflexion suivante : « Si Masoch passe, toute la société peut passer ». Sans vouloir vous offenser, cher Maître, il est vrai que Masoch est monté comme un âne. Quoi qu'il en soit, il l’encula méthodiquement pendant une bonne quinzaine de minutes, comme il sait le faire. Il alternait de longues périodes de mouvements amples et rapides, qui la faisaient défaillir, avec des moments de calme pendant lesquels la fille au cul divin reprenait son souffle. Au terme de ce rodéo sauvage, Masoch eut envie de constater l’effet produit par son passage sur la rondelle de l’ingénue. Il se retira délicatement, écartant d’une main l’une des fesse charnues. Le diamètre du trou noir n’était pas à la mesure de celui du membre de son bourreau, ce qui déplut fortement à ce dernier. Il réintroduisit alors brutalement sa queue dans l’orifice encore béant en s’aidant de sa main droite. La jeune femme poussa un petit cri et releva sa tête en arrière. Il répéta ce geste 4 ou 5 fois, son gros gland élargissant le trou du cul de la belle de manière indécente. Un large sourire aux lèvres, Masoch lâcha son membre pour écarteler les fesses afin d’admirer le tunnel obscur de la petite bourgeoise délurée. Bien que malmenés depuis un bon moment, son anus et ses fesses gardaient de leur superbe. Je sais que vous êtes un fin connaisseur de cette partie de l'anatomie d'une femme, mon cher Maître; vous ne serez pas décu, quand vous aurez ce spécimen entre les mains, croyez-moi.
Masoch, ce pervers, intima alors l'ordre au mari de venir lécher le cul défoncé de sa femme tandis-qu'il se branlait au dessus du visage empourpré de sa future collaboratrice, sur le point de lui donner sa semence. N'y tenant plus, je rentrais à nouveau dans la danse, présentant ma queue gonflée à bloc à l'entrée de l'anus que le mari léchait avec application. Il se branlait de manière compulsive, ivre d'excitation. Je lui pris la tête, lui fourrai ma bite dans la bouche et lui dit : « suce bien cette bite qui va défoncer ta femme. Tu as intérêt à bien la lubrifier! ». Il devint tout rouge et s'exécuta, en se branlant de plus belle. J'enculais de nouveau Chrystel vigoureusement, alors que le mari écartait les fesses de sa femme pour assister au spectacle. Je lui demandais alors s'il voulait goûter; il compris tout de suite de quoi je voulais parler et, sans répondre, approcha sa bouche de mon sexe tout droit sorti du cul de sa femme. Je crois bien qu'il prenait goût à la bite et à l'humiliation... Pendant se temps, Masoch s'était vidé sur la joue de Chrystel, qui dégoulinait de sperme. Je décidais d'en terminer moi aussi et, après être retourné dans son cul, j'enlevais mon préservatif et éjaculais sur le dos de la candidate. A mon grand étonnement et alors que je ne lui avais rien demandé, le mari nettoya ma bite et lécha le sperme sur le dos de sa femme. Alors qu'elle se redressait, il s'embrassèrent à pleine bouche, partageant ainsi la trace de nos jouissances.
- Ma belle, vous avez passé avec succès la première audition, dis-je alors à Chrystel. Vous avez du talent et de la présence. Vous
feriez selon nous une bonne collaboratrice, mais nous ne sommes pas les décideurs. Quelles sont vos disponibilités pour un deuxième entretien?
Nous avons fixé le rendez-vous à la semaine prochaine. Cela vous convient-il, cher Maître? Pensez-vous que le mari doive venir? J'ai hâte de vous présenter Chrystel, je pense qu'elle vous conviendra. En attendant, veuillez agréer, cher Maître, l'expression de mes sentiments dévoués.
Frère Dolmancé
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