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  • Chrystel se touche en levrette sur le lit

Quelques clichés de Chrystel

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Lundi 22 septembre 1 22 /09 /Sep 23:22

Histoire vécue... commentaires bienvenus!!!

Le défilé de lingerie était organisé par un site de vente en ligne qui avait mobilisé parmi les libertines et libertins présents pour mettre en valeur des dessous vraiment très chauds, du genre de ceux que l'on en porte pas ni les jours ni dans une soirée romantique. Laurence avait souhaité apporter sa contribution, peut-être pour assouvir un fantasme d'exhibitionnisme. Elle était très belle et la mise en scène amusante mais la lingerie n'était pas vraiment à notre goût. Par correction, tout le monde faisait semblant de s'extasier, applaudissant à chaque sortie de scène de l'un des mannequins de circonstance. Seb, trouvant là un prétexte pour s'éclipser, était allé nous chercher une coupe de champagne. De retour vers le podium improvisé, il distribua les coupes et vint se positionner à droite de Chrystel, à deux pas de Stéphanie. Discrètement, pour ne pas éveiller de sentiment de jalousie chez sa compagne, il soufflait des mots doux à l'oreille de Chrystel que je soupçonnais de ne pas être si doux que cela, compte tenu de la réaction de cette dernière. Les joues empourprées, elle riait et semblait partager une grande complicité avec notre ami qui, surexcité, avait entrepris de lui caresser la croupe à travers sa robe avec sa main gauche, comme pour illustrer les propos qu'il lui tenait. Je suis resté sur ma faim tout à l'heure. Je n'ai pas fini de te déguster. Leur manège était de moins en moins discret. Chrystel avait tourné la tête vers lui et ils s'embrassaient passionnément. Il avait remonté l'arrière de la robe de Chrystel au dessus de la jarretière de ses bas auto-fixants et continuait son massage fessier. Les spectateurs placés derrière nous n'en manquaient certainement pas une miette, pas plus que Stéphanie qui, ne voulant pas rester hors jeu, s'était positionnée derrière moi et m'avait enlacée par la taille en glissant ses mains dans les poches avant de mon pantalon. Il ne lui fallu pas longtemps pour mettre la main sur l'objet convoité et commencer à jouer avec. Stéphanie n'avait pas le même tempérament que Chrystel. Elle était beaucoup plus entreprenante que cette dernière, qui préférait laisser l'initiative de la séduction aux autres, hommes comme femmes. Parfois, l'attitude de Stéphanie en est même déroutante pour certains hommes, tant ils sont habitués à devoir mener la danse. Pour ma part, je ne voyais pas d'inconvénient à ce que Stéphanie vienne réveiller mon sexe passablement endormi par le show qui se terminait enfin. Ses massages ainsi que la vison de mon amie et de Seb enlacés, lui ayant dorénavant glissé sa main sous le shorty de Chrystel afin de pouvoir peloter son cul sans dentelle interposée, me firent bander instantanément. Stéphanie, qui s'aperçut de mon émoi, me dit sur un ton pervers :

  • - Hummm... ça t'excite de la voir avec lui ?

  • - J'adore...

  • - Regarde comme elle est excitée... je suis sûre qu'elle est toute mouillée à l'idée qu'il va la baiser.

  • - Je te confirme, on l'a tous les deux constaté tout à l'heure.

  • - Petits cachotiers ! Alors comme ça elle a déjà eu sa part du gâteau? Et moi alors ?

  • - Non, nous ne sommes pas allé bien loin. Nous l'avons juste un peu allumée. Nous nous connais, nous ne savons pas nous tenir... Et puis tu étais bien occupée de ton côté avec Fred. Tu as eu ta part du gâteau de ton côté ?

  • - Non, Fred ne veut pas aller plus loin à cause de Laurence. Il a peur qu'elle soit jalouse... Et, compte tenu de ce que nous avons sous les yeux, je crois que ce soir mon chéri n'envisage pas vraiment de finir avec eux. C'est moi qui devrait être jalouse, il n'a pas arrêté de me parler de Chrystel avant de venir à la soirée ! Faut dire qu'elle a vraiment un cul d'enfer la garce...

  • - C'est le jeu, tu le sais bien. Un jeu qui comporte des risques. En l'occurrence, je crois que nous sommes tous les quatre assez équilibrés. Hummm, ne t'arrête pas...

  • - Si nous allions bavarder au calme, qu'en dis-tu ? J'en ai assez de toucher un bout de tissu, et je commence à être toute mouillée moi aussi, à cause de toi !

  • - Bonne idée, allons-y.

    Nous entraînions Chrystel et Seb avec nous, qui n'attendaient visiblement que ce moment. Nous nous dirigions vers les « coins calins » du château. Dans l'une des pièces que nous traversions, nous vîmes un couple d'amis en compagnie d'un charmant couple, qui discutaient ensemble assis dans des canapés. L'affaire semblait bien avancé. J'échangeais deux mots avec eux alors que un peu en retrait, Seb, Chrystel et Stéphanie se bécotaient. Seb avait placé sa main dans la culotte de Chrystel et la masturbait vigoureusement tandis-que Stéphanie lui caressait la nuque et les cheveux, lui sussurant des mots à l'oreille. Les gémissements de Chrystel commençaient à se faire entendre lorsque Stéphanie l'empoigna fermement par les cheveux et lui intima probablement l'ordre de s'accroupir. Seb dégrafa les boutons de son pantalon et lui mis son sexe dressé en bouche. Stéphanie embrassait son ami tout en guidant Chrystel dans ses mouvements. Comme toujours dans ces moments là, Seb était hilare. Chrystel le pompait avec frénésie et une délectation bien visible.

  • - Eh bien, c'est chaud là bas, fit remarquer l'une des personnes avec qui je bavardais.

  • - Oui, comme tu dis... d'ailleurs, je vais devoir vous laisser. A plus tard et surtout, ne soyez pas sages!

  • - File, tu risquerais de manquer quelque chose. Et ne t'inquiète pas pour nous...

    Je rejoignais le trio et leur suggérais que l'on aille se taquiner ailleurs. Cela m'aurait gêné de faire cela devant une tablée de personnes de notre connaissance. Seb rentra son engin et Chrystel se releva. Il lui mit une petite tape sur les fesses au passage.

  • - Tu as raison. Allez, filons, dit-il.

Chrystel m'embrassa et me prit par la taille, comme pour me rassurer sur ses sentiments envers moi.

  • - On s'amuse bien ce soir, hein chéri ?

  • - Et ça n'est que le début, répondis-je goguenard. Dommage que nous n'ayons pas fait de nouvelles connaissances... plus on est fous...

  • - Attends, tout n'est peut-être pas joué. Et quoi qu'il en soit, Stéphanie et Seb sont très sympas.

  • - Oui, c'est sûr... nous verrons bien.

    Toutes les pièces que nous traversions étaient déjà bien occupées par des couples qui en étaient à des stades plus ou moins avancés de leurs ébats. Dans la première pièce, nous nous attardions pour regarder une femme branler vigoureusement un homme au dessus du visage d'une charmante jeune fille qui semblait être sa compagne. La fille était agenouillée et la femme lui maintenait la tête en arrière par les cheveux, de manière à ce que son joli minois soit totalement exposé à la jouissance de son mâle. La femme encourageait l'homme et s'adressait à la fille sans détours :

  • - il va tout te donner, prépare-toi ma chérie... il va t'en mettre plein la figure, comme tu aimes!

    Quand l'homme déchargea sa semence sur le front de la fille, la femme continua à verbaliser la scène en s'adressant à lui :

  • - Hummm, c'est bon! Regarde comme elle aime ça la petite salope! Qu'est-ce que tu lui as mis!

    Puis elle embrassa la fille amoureusement, partageant au passage un peu de la semence masculine qui avait dégouliné jusqu'à sa bouche. Que de gens étranges dans ce milieu, ai-je pensé. Puis je me suis ravisé, songeant que chacun avait sa part de non-conformisme, plus ou moins enfouie dans son subconscient. Chez les libertins, le "surmoi" doit être un peu moins rigide que chez les autres pour ce qui a trait au sexe...

    Un peu plus loin, nous vîmes trois filles à quatre pattes en enfilade, avec au bout de la file un garçon assis sur une chaise. La première suçait le mec, la deuxième léchait le cul de la première et la troisième s'occupait du cul de la deuxième. Il manque un deuxième larron pour fermer la marche, ai-je pensé en reluquant la croupe offerte de la troisième. Quoi qu'il en soit, il n'y avait pas moyen là non plus de trouver le moindre centimètre carré de matelas pour nous quatre qui commencions à errer comme des âmes en peine, soumis que nous étions au supplice du voyeur : voir mais ne pas toucher ; bander ou mouiller, mais ne pas baiser.

Stéphanie me tira par le bras, ce qui eu pour effet de me ramener à la réalité.

  • - Viens, j'ai trop envie, me dit-elle.

  • - Y'a vraiment foule dans ces pièces, je sais pas où on va se mettre, sans mauvais jeu de mot.

  • - Toujours aussi drôle... tout ce que je sais, c'est qu'il faut que tu me mettes sans tarder parce que voir tous ces trucs ça m'a rendu folle, moi !

Je roulais un palot à Stéphanie en lui portant la main au panier. Elle était effectivement trempée et se mit à gémir très fort dès que mon indexe et mon majeur se furent portés sur son clitoris.

  • - Toujours aussi chaude et sonore, lui glissais-je en lui mordillant l'oreille.

  • - Je veux ta queue, me répondit-elle sobrement.

  • - Allons voir plus loin s'il reste quelque place.

    Chrystel et Seb avaient filé devant. Nous les retrouvions dans la troisième pièce, qui était bondée comme les précédentes. Chrystel se tenait debout une coupe de champagne à la main, le haut de la robe descendu sous la poitrine. Seb était dans son dos et faisait rouler ses tétons saillants entre indexes et pouces tout en lui prodiguant des bisous dans le cou. Un homme qui mesurait à vue d'oeil plus d'un mètre quatre-vingt dix était courbé sur elle, l'embrassant et la masturbant avec des gestes rapides. Elle ne perd pas son temps, la coquine! Après avoir vu Laurence en grande discussion avec une copine dans les canapés, je reconnus rapidement Fred en la personne du deuxième homme. Un joli couple qui marchait dans nos pas, fin de trentaine, l'air timide, s'arrêta pour regarder le spectacle. L'homme parlait à voix basse à sa charmante femme visiblement troublée. Trouvant probablement que les choses allaient trop loin à son goût, Laurence se leva et suggéra à Fred d'aller prendre un verre, car elle mourrait de soif. Pour la deuxième fois de la soirée, Fred était contraint de s'arrêter en chemin. Trop dur pour lui.

    Chrystel, à qui de nombreuses personnes avaient offert des coupes de champagne au cours de cette soirée était quelque peu éméchée et Seb, qui n'avait pas bu moins qu'elle mais avait usé d'artifices pour annihiler les effets de l'alcool savait manifestement profiter de la situation. Seb commençait à la connaître un peu. Ce qui lui plaisait particulièrement chez Chrystel, d'ordinaire assez BCBG et exerçant un travail à responsabilité qui lui interdisait tout écart de conduite, c'est que dans ces moments là elle laissait libre cours à ses envies, tout naturellement. Lorsqu'ils étaient entrés dans la troisième pièce et qu'elle avait aperçu Fred qu'elle apprécie beaucoup, Chrystel était allé spontanément discuter avec lui, une coupe de champagne à la main. Elle l'avait taquinée sur son début de soirée remarqué avec Stéphanie, lui reprochant de ne pas être venu s'occuper d'elle. Quel égocentrisme, ces filles. Bref, elle le draguait. Seb était hilare, comme d'habitude lorsqu'il avait la moindre émotion à gérer. Cette fille l'excitait. Fred avait posé ses mains sur les épaules de Chrystel comme pour la consoler et elle s'était rapprochée de lui pour l'embrasser. Brusquement et alors qu'il n'avait prononcé presque aucun mot, le grand brun taciturne avait descendu le haut de sa robe et avait pris ses seins à pleine mains. L'un et l'autre se livraient à un duel de langues mouillées et invasives aussi bruyant que passionné. Seb avait posé son verre et s'était positionnée derrière Chrystel pour ne pas être en reste. Ses mains avaient pris la place de celles de Fred qui étaient descendues en dessous de la ceinture lorsque Stéphanie et moi avions fait irruption dans la pièce.

    En quittant les lieux, Fred ne manqua pas de faire un clin d'oeil à Chrystel signifiant qu'il espérait bien ne pas en rester là. Chrystel et Seb nous rejoignirent et la femme du couple timide leva son verre en notre direction nous gratifiant d'un sourire mal assuré mais assez expressif. Seul à le remarquer, je lui rendais la pareille.

    La pièce qui suivait était la dernière et la plus impersonnelle. En début de soirée, nous nous étions promis de ne pas terminer ici. En venant des autres coins calins, on y entrait par une porte située sur la gauche. En face étaient étalés des matelas couverts de draps, inoccupés. Au fond à gauche, une salle de bains attirait quelques personnes épisodiquement. La plupart des gens ne s'attardaient pas dans ce lieu et continuaient leur chemin par une porte située à droite qui menait, via un long couloir, vers l'escalier monumental et la piste de danse. En somme, c'était un lieu de passage beaucoup trop éclairé et pas intime pour un sou, ce qui expliquait qu'à l'inverse des pièces précédentes, les libertins ne s'y attardaient pas. Pourtant, Chrystel se dirigea immédiatement sur les matelas en lâchant un candide:

  • - On est bien ici, vous ne trouvez pas ?

    L'alcool et l'excitation nous ayant fait perdre toute forme de complexe et d'objectivité, personne ne la contredit et, le temps de quitter nos chaussures, nous étions tous à ses côtés. Fous de désir, Chrystel et moi nous embrassions et nos caresses se faisaient de plus en plus poussées. Seb et Stéphanie avaient commencé à faire de même lorsque Seb s'éclipsa dans la salle de bains adjacente. Stéphanie se joignit alors à nous pour mon plus grand plaisir. Alors que j'atais allongé sur les coussins et que Chrystel avait sorti mon sexe pour le masturber tout en me prodiguant des baisers, Stéphanie le prit en bouche. Chrystel n'arrêtant pas son geste, elle me branlait littéralement dans la bouche de Stéphanie qui s'attachait à garder mon gland entre ses lèvres tant bien que mal. Ayant conscience qu'avoir deux charmantes bouches pour soi tout seul n'arrive pas si couramment que cela, j'incitais fermement Chrystel à joindre ses talents de pompeuse à ceux de Stéphanie. Leurs langues se livraient à une joute acharnée avec ma bite en guise d'arbitre, qui n'en demandait pas tant. Avec ma main droite, je relevais sur ses hanches la robe de Chrystel qui était à quatre pattes et descendais son shorty de manière à découvrir ses fesses. Son cul troussé était tourné vers la porte d'entrée principale de la pièce et livré aux regard des passants avec en première loge notre couple timide croisé quelques minutes auparavant. Je le malaxais et prenais un malin plaisir à écarter ses globes fessiers pour la dévoiler dans sa plus profonde intimité. Elle se mit à me pomper plus rapidement traduisant en cela son excitation, alors que Stéphanie avait entrepris de me lécher les couilles. Chrystel accéléra encore la cadence lorsque je lui assénais une paire de claques sur les fesses. Sa croupe ondulait frénétiquement et l'on pouvait entendre de petits gémissements étouffés provenir de quelque part entre mes jambes. Elle céda mon membre à Stéphanie et s'avança de quelques centimètres de manière à offrir davantage ses parties intimes aux assauts de ma main. Elle descendit le haut de sa robe et dirigea sa poitrine vers ma bouche. Mes doigts descendaient le long de son entre-fesses devenu accessible pour aller se loger dans son sexe trempé et ma langue alternait entre ses deux seins tandis que Stéphanie était encore à l'ouvrage sur mon sexe. La femme du couple timide s'était accroupie auprès de nous deux et avait posé la main sur l'épaule de Chrystel. Elle était mignonne et sa timidité apparente la rendait craquante. Sa longue chevelure blonde platine contrastait avec celles de mes deux maîtresses qui avaient toutes deux des cheveux noirs de jais. S'enhardissant, elle embrassa Chrystel maladroitement comme si c'était sa première fois. Probablement surprise mais satisfaite Chrystel lui rendit son baiser, ses joues devenant aussi rouges que celles de la blonde ingénue. Pour des raisons d'efficacité, ma main avait quitté les fesses de ma chérie pour attaquer son Mont de Venus par dessous, au niveau de son organe le plus sensible. Stéphanie avait délaissé ma bite et s'était redressée pour caresser les hanches de Chrystel qui se trémoussait plus que jamais. Alors que je n'avais rien vu venir, prisonnier que j'étais des seins de Chrystel, je sentis subitement un souffle chaud sur mes doigts humides et je compris que je n'étais pas le seul sur le coup. Un rapide coup d'oeil me confirma mon impression : le mec de la blonde avait empoigné le cul de ma nana à pleines mains et était en train de le laper à grand bruit. Il donnait des grands coups de langue de bas en haut, qu'il faisait alterner avec des attaques plus ciblées sur sa chatte ou son anus, du genre frappes chirurgicales. Pas gêné, le mec! Stéphanie avait été attirée par le spectacle et elle écartait dorénavant les globes fessiers de Chrystel pour faciliter la tâche de notre opportuniste complice. Alors qu'il avait positionné durablement sa langue sur le petit trou de ma chérie, ce dernier lui arracha un râle lorsqu'il introduit directement deux doigts dans sa chatte et qu'il se mit à la pilonner sans phase de rodage.

  • - Ouah, c'est bon ça ! Oh! Ahhhh!

    Je me dégageais de ma position pour faire connaissance avec la blonde, le sexe dressé et ayant ma chemise pour seul vêtement. Elle était vêtue d'une jupe portefeuille et d'un top noir sexy que je ne tardais pas à relever après que nous nous fûmes embrassés. Je la délestais de son soutien-gorge superflu pour dégager deux gros seins relativement bien galbés et Ô combien attirants. Sans être grosse le moins du monde, elle avait de belles formes et j'aimais cela. Elle était de ces filles qui ne vous embrassent pas, mais vous mangent la bouche comme des affamées. Elle m'excitait et, compte tenu du traitement qui m'avait été réservé quelques secondes auparavant, j'aurais perforé un mur avec mon engin. J'explorais sa vulve que je devinais entièrement épilée et la pénétrais de mes doigts. Elle me caressait les fesses d'une main et me branlait de l'autre. Je l'incitais à se dénuder totalement et en profitais pour enlever ma chemise. Lorsqu'elle me vit enfiler un préservatif, elle se mit à quatre pattes, tournée vers Chrystel qui était toujours dans la même position, et me présenta sa croupe ornée d'un de ces tatouages bien placés dont je raffole. Son cul était lisse comme celui de ma compagne. Je ne pus résister à la tentation de m'en délecter, me disant qu'il était toujours bon d'envoyer la langue en éclaireur. Je lui léchais un moment la chatte, puis la pénétrais en douceur. Elle et Chrystel s'embrassaient, le spectacle était grandiose. J'étais hypnotisé par la tête de tigre qui ornait le creux des reins auxquels j'étais agrippé. L'animal regardait fixement, prêt à bondir... Je décidais de faire diversion en le secouant un peu et accélérais la cadence. Ma partenaire manifestait son plaisir tandis-que son mari n'en finissait plus de doigter Chrystel qui, comme je la connaissait, devait trouver le temps long. Baise-moi bon sang! Seb avait disparu dans la salle de bains depuis bientôt une demie heure et le type qui s'occupait d'elle ne semblait pas vouloir sortir sa queue pour la baiser, alors qu'elle avait sous les yeux le spectacle troublant de son homme chevauchant une autre femme, dans sa position préférée qui plus est. Elle en retirait un certain sentiment de fierté car la salope avait l'air d'apprécier, mais comme à l'accoutumée, elle ne put refouler une pointe de jalousie qui lui montait du bas ventre vers l'estomac. Seb tomba à point nommé. Pour rattraper le temps perdu, il se déshabilla sur le champ et, alors que Stéphanie s'était rapprochée de moi pour me caresser les fesses, il fondit sur Chrystel pour lui fourrer son sexe engourdi en bouche. Elle le suçait, toujours besognée par notre doigteur fou. Seb avait du mal à bander. Il décalottait son gland et le passait sur les lèvres de ma chérie, qui empoigna sa bite molle et l'engloutit entièrement. Seb poussa un soupir de plaisir, ponctué d'une claque cinglante sur la croupe offerte de Chrystel. Le geste encouragea l'ami de ma partenaire qui lui asséna à son tour une paire de claques sonores sur le cul. Subitement, le membre de Seb avait durci et il guidait dorénavant la tête de Chrystel de manière à ce qu'elle lui lèche les couilles alors qu'il se branlait de la main droite.

  • - Hummmm. C'est toujours aussi bon avec toi, lui dit-il.

    Il ne lui laissa pas le loisir de répondre, lui clouant le bec avec sa queue. Le mec et lui inversèrent les rôles, Seb étant déterminé à terminer la dégustation qu'il avait entamée près de l'escalier un peu plus tôt. Il se délectait de la chatte devenue juteuse de Chrystel et écartait ses fesses au maximum pour offrir ses orifices aux assauts de sa langue. Chrystel avait de nouveau la tâche ingrate de faire bander le sexe qu'elle avait en bouche et dont le propriétaire semblait fortement intimidé. Un préservatif enfilé, Seb la prit en levrette alors que son deuxième partenaire avait laissé tombé l'idée de se voir prodiguer une fellation pour de langoureux baisers.

    Le tigre était de plus en plus secoué. Mon bassin claquait en cadence contre les fesses de la blonde qui montait dans les tours. Par moments, je ralentissais les mouvements pour l'embrasser dans le cou, lui caresser les seins et lui souffler des mots doux. Puis je reprenais de plus belle. Stéphanie me caressait les fesses d'une main et se masturbait de l'autre. Passablement délaissée depuis le début de la soirée et à bout de patience, elle me chuchota à l'oreille :

  • - Viens me baiser, j'en peux plus. S'il te plaît, viens.

  • - Chuuuuuut ! Lui répondis-je, à la fois compréhensif et un peu gêné par ses propos.

    Tout en continuant mes va-et-viens dans la chatte de la blonde, j'embrassais Stéphanie. Ma partenaire, qui comprit la situation et qui en retira manifestement un surplus d'excitation, se mit à respirer bruyamment et fut prise de convulsions. Je me retirais avant d'avoir joui et résistais à la pression surréaliste de Stéphanie pour passer un moment allongé aux côtés de cette fille dont je ne connaissait pas même le prénom. Son mari lui fit signe qu'il souhaitait partir avant même que j'aie eu le temps de le lui demander.

    Seb avait attrapé chrystel par les épaules et, fidèle à sa curieuse technique, alternait des va-et-viens rapides en levrette avec des périodes plus ou moins longues où il attendait quelques secondes la queue à moitié sortie de la chatte de Chrystel avant de l'enfoncer entièrement d'un coup sec. Il répétait ce geste brusque quatre ou cinq fois de suite, puis reprenais un rythme plus commun. La première fois, Chrystel poussa un cri de douleur et fit le dos rond. Malgré cela, il continua et au troisième coup, elle commença à gémir en se masturbant le clitoris. Il lui releva la tête par les cheveux pour qu'elle se cambre au maximum. Regardant droit devant elle, Chrystel constata qu'une petite assemblée d'une dizaine de personnes la regardait se faire baiser. Au milieu d'elles se tenait Fred qui lui sourit. Le quatrième coup la fit hurler de plaisir. Seb la baisa alors dans les règles; On entendait les fesses de Chrystel claquer en cadence et lorsque le rythme s'accéléra, elle jouit.

 

 

 

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines
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