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  • Chrystel se touche en levrette sur le lit

Quelques clichés de Chrystel

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Chrystel, Justine, les autres

Chrystel est ma compagne.
Elle est belle et libertine.

Justine m'accompagne.
Elle n'existe qu'en rêve.

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Mode d'emploi

Certains textes sont des récits de nos soirées de luxure, d'autres sont le fruit de mon imagination... voyez les catégories dans le menu de gauche pour choisir votre univers !
Lundi 22 septembre 1 22 /09 /Sep 23:22

Histoire vécue... commentaires bienvenus!!!

Le défilé de lingerie était organisé par un site de vente en ligne qui avait mobilisé parmi les libertines et libertins présents pour mettre en valeur des dessous vraiment très chauds, du genre de ceux que l'on en porte pas ni les jours ni dans une soirée romantique. Laurence avait souhaité apporter sa contribution, peut-être pour assouvir un fantasme d'exhibitionnisme. Elle était très belle et la mise en scène amusante mais la lingerie n'était pas vraiment à notre goût. Par correction, tout le monde faisait semblant de s'extasier, applaudissant à chaque sortie de scène de l'un des mannequins de circonstance. Seb, trouvant là un prétexte pour s'éclipser, était allé nous chercher une coupe de champagne. De retour vers le podium improvisé, il distribua les coupes et vint se positionner à droite de Chrystel, à deux pas de Stéphanie. Discrètement, pour ne pas éveiller de sentiment de jalousie chez sa compagne, il soufflait des mots doux à l'oreille de Chrystel que je soupçonnais de ne pas être si doux que cela, compte tenu de la réaction de cette dernière. Les joues empourprées, elle riait et semblait partager une grande complicité avec notre ami qui, surexcité, avait entrepris de lui caresser la croupe à travers sa robe avec sa main gauche, comme pour illustrer les propos qu'il lui tenait. Je suis resté sur ma faim tout à l'heure. Je n'ai pas fini de te déguster. Leur manège était de moins en moins discret. Chrystel avait tourné la tête vers lui et ils s'embrassaient passionnément. Il avait remonté l'arrière de la robe de Chrystel au dessus de la jarretière de ses bas auto-fixants et continuait son massage fessier. Les spectateurs placés derrière nous n'en manquaient certainement pas une miette, pas plus que Stéphanie qui, ne voulant pas rester hors jeu, s'était positionnée derrière moi et m'avait enlacée par la taille en glissant ses mains dans les poches avant de mon pantalon. Il ne lui fallu pas longtemps pour mettre la main sur l'objet convoité et commencer à jouer avec. Stéphanie n'avait pas le même tempérament que Chrystel. Elle était beaucoup plus entreprenante que cette dernière, qui préférait laisser l'initiative de la séduction aux autres, hommes comme femmes. Parfois, l'attitude de Stéphanie en est même déroutante pour certains hommes, tant ils sont habitués à devoir mener la danse. Pour ma part, je ne voyais pas d'inconvénient à ce que Stéphanie vienne réveiller mon sexe passablement endormi par le show qui se terminait enfin. Ses massages ainsi que la vison de mon amie et de Seb enlacés, lui ayant dorénavant glissé sa main sous le shorty de Chrystel afin de pouvoir peloter son cul sans dentelle interposée, me firent bander instantanément. Stéphanie, qui s'aperçut de mon émoi, me dit sur un ton pervers :

  • - Hummm... ça t'excite de la voir avec lui ?

  • - J'adore...

  • - Regarde comme elle est excitée... je suis sûre qu'elle est toute mouillée à l'idée qu'il va la baiser.

  • - Je te confirme, on l'a tous les deux constaté tout à l'heure.

  • - Petits cachotiers ! Alors comme ça elle a déjà eu sa part du gâteau? Et moi alors ?

  • - Non, nous ne sommes pas allé bien loin. Nous l'avons juste un peu allumée. Nous nous connais, nous ne savons pas nous tenir... Et puis tu étais bien occupée de ton côté avec Fred. Tu as eu ta part du gâteau de ton côté ?

  • - Non, Fred ne veut pas aller plus loin à cause de Laurence. Il a peur qu'elle soit jalouse... Et, compte tenu de ce que nous avons sous les yeux, je crois que ce soir mon chéri n'envisage pas vraiment de finir avec eux. C'est moi qui devrait être jalouse, il n'a pas arrêté de me parler de Chrystel avant de venir à la soirée ! Faut dire qu'elle a vraiment un cul d'enfer la garce...

  • - C'est le jeu, tu le sais bien. Un jeu qui comporte des risques. En l'occurrence, je crois que nous sommes tous les quatre assez équilibrés. Hummm, ne t'arrête pas...

  • - Si nous allions bavarder au calme, qu'en dis-tu ? J'en ai assez de toucher un bout de tissu, et je commence à être toute mouillée moi aussi, à cause de toi !

  • - Bonne idée, allons-y.

    Nous entraînions Chrystel et Seb avec nous, qui n'attendaient visiblement que ce moment. Nous nous dirigions vers les « coins calins » du château. Dans l'une des pièces que nous traversions, nous vîmes un couple d'amis en compagnie d'un charmant couple, qui discutaient ensemble assis dans des canapés. L'affaire semblait bien avancé. J'échangeais deux mots avec eux alors que un peu en retrait, Seb, Chrystel et Stéphanie se bécotaient. Seb avait placé sa main dans la culotte de Chrystel et la masturbait vigoureusement tandis-que Stéphanie lui caressait la nuque et les cheveux, lui sussurant des mots à l'oreille. Les gémissements de Chrystel commençaient à se faire entendre lorsque Stéphanie l'empoigna fermement par les cheveux et lui intima probablement l'ordre de s'accroupir. Seb dégrafa les boutons de son pantalon et lui mis son sexe dressé en bouche. Stéphanie embrassait son ami tout en guidant Chrystel dans ses mouvements. Comme toujours dans ces moments là, Seb était hilare. Chrystel le pompait avec frénésie et une délectation bien visible.

  • - Eh bien, c'est chaud là bas, fit remarquer l'une des personnes avec qui je bavardais.

  • - Oui, comme tu dis... d'ailleurs, je vais devoir vous laisser. A plus tard et surtout, ne soyez pas sages!

  • - File, tu risquerais de manquer quelque chose. Et ne t'inquiète pas pour nous...

    Je rejoignais le trio et leur suggérais que l'on aille se taquiner ailleurs. Cela m'aurait gêné de faire cela devant une tablée de personnes de notre connaissance. Seb rentra son engin et Chrystel se releva. Il lui mit une petite tape sur les fesses au passage.

  • - Tu as raison. Allez, filons, dit-il.

Chrystel m'embrassa et me prit par la taille, comme pour me rassurer sur ses sentiments envers moi.

  • - On s'amuse bien ce soir, hein chéri ?

  • - Et ça n'est que le début, répondis-je goguenard. Dommage que nous n'ayons pas fait de nouvelles connaissances... plus on est fous...

  • - Attends, tout n'est peut-être pas joué. Et quoi qu'il en soit, Stéphanie et Seb sont très sympas.

  • - Oui, c'est sûr... nous verrons bien.

    Toutes les pièces que nous traversions étaient déjà bien occupées par des couples qui en étaient à des stades plus ou moins avancés de leurs ébats. Dans la première pièce, nous nous attardions pour regarder une femme branler vigoureusement un homme au dessus du visage d'une charmante jeune fille qui semblait être sa compagne. La fille était agenouillée et la femme lui maintenait la tête en arrière par les cheveux, de manière à ce que son joli minois soit totalement exposé à la jouissance de son mâle. La femme encourageait l'homme et s'adressait à la fille sans détours :

  • - il va tout te donner, prépare-toi ma chérie... il va t'en mettre plein la figure, comme tu aimes!

    Quand l'homme déchargea sa semence sur le front de la fille, la femme continua à verbaliser la scène en s'adressant à lui :

  • - Hummm, c'est bon! Regarde comme elle aime ça la petite salope! Qu'est-ce que tu lui as mis!

    Puis elle embrassa la fille amoureusement, partageant au passage un peu de la semence masculine qui avait dégouliné jusqu'à sa bouche. Que de gens étranges dans ce milieu, ai-je pensé. Puis je me suis ravisé, songeant que chacun avait sa part de non-conformisme, plus ou moins enfouie dans son subconscient. Chez les libertins, le "surmoi" doit être un peu moins rigide que chez les autres pour ce qui a trait au sexe...

    Un peu plus loin, nous vîmes trois filles à quatre pattes en enfilade, avec au bout de la file un garçon assis sur une chaise. La première suçait le mec, la deuxième léchait le cul de la première et la troisième s'occupait du cul de la deuxième. Il manque un deuxième larron pour fermer la marche, ai-je pensé en reluquant la croupe offerte de la troisième. Quoi qu'il en soit, il n'y avait pas moyen là non plus de trouver le moindre centimètre carré de matelas pour nous quatre qui commencions à errer comme des âmes en peine, soumis que nous étions au supplice du voyeur : voir mais ne pas toucher ; bander ou mouiller, mais ne pas baiser.

Stéphanie me tira par le bras, ce qui eu pour effet de me ramener à la réalité.

  • - Viens, j'ai trop envie, me dit-elle.

  • - Y'a vraiment foule dans ces pièces, je sais pas où on va se mettre, sans mauvais jeu de mot.

  • - Toujours aussi drôle... tout ce que je sais, c'est qu'il faut que tu me mettes sans tarder parce que voir tous ces trucs ça m'a rendu folle, moi !

Je roulais un palot à Stéphanie en lui portant la main au panier. Elle était effectivement trempée et se mit à gémir très fort dès que mon indexe et mon majeur se furent portés sur son clitoris.

  • - Toujours aussi chaude et sonore, lui glissais-je en lui mordillant l'oreille.

  • - Je veux ta queue, me répondit-elle sobrement.

  • - Allons voir plus loin s'il reste quelque place.

    Chrystel et Seb avaient filé devant. Nous les retrouvions dans la troisième pièce, qui était bondée comme les précédentes. Chrystel se tenait debout une coupe de champagne à la main, le haut de la robe descendu sous la poitrine. Seb était dans son dos et faisait rouler ses tétons saillants entre indexes et pouces tout en lui prodiguant des bisous dans le cou. Un homme qui mesurait à vue d'oeil plus d'un mètre quatre-vingt dix était courbé sur elle, l'embrassant et la masturbant avec des gestes rapides. Elle ne perd pas son temps, la coquine! Après avoir vu Laurence en grande discussion avec une copine dans les canapés, je reconnus rapidement Fred en la personne du deuxième homme. Un joli couple qui marchait dans nos pas, fin de trentaine, l'air timide, s'arrêta pour regarder le spectacle. L'homme parlait à voix basse à sa charmante femme visiblement troublée. Trouvant probablement que les choses allaient trop loin à son goût, Laurence se leva et suggéra à Fred d'aller prendre un verre, car elle mourrait de soif. Pour la deuxième fois de la soirée, Fred était contraint de s'arrêter en chemin. Trop dur pour lui.

    Chrystel, à qui de nombreuses personnes avaient offert des coupes de champagne au cours de cette soirée était quelque peu éméchée et Seb, qui n'avait pas bu moins qu'elle mais avait usé d'artifices pour annihiler les effets de l'alcool savait manifestement profiter de la situation. Seb commençait à la connaître un peu. Ce qui lui plaisait particulièrement chez Chrystel, d'ordinaire assez BCBG et exerçant un travail à responsabilité qui lui interdisait tout écart de conduite, c'est que dans ces moments là elle laissait libre cours à ses envies, tout naturellement. Lorsqu'ils étaient entrés dans la troisième pièce et qu'elle avait aperçu Fred qu'elle apprécie beaucoup, Chrystel était allé spontanément discuter avec lui, une coupe de champagne à la main. Elle l'avait taquinée sur son début de soirée remarqué avec Stéphanie, lui reprochant de ne pas être venu s'occuper d'elle. Quel égocentrisme, ces filles. Bref, elle le draguait. Seb était hilare, comme d'habitude lorsqu'il avait la moindre émotion à gérer. Cette fille l'excitait. Fred avait posé ses mains sur les épaules de Chrystel comme pour la consoler et elle s'était rapprochée de lui pour l'embrasser. Brusquement et alors qu'il n'avait prononcé presque aucun mot, le grand brun taciturne avait descendu le haut de sa robe et avait pris ses seins à pleine mains. L'un et l'autre se livraient à un duel de langues mouillées et invasives aussi bruyant que passionné. Seb avait posé son verre et s'était positionnée derrière Chrystel pour ne pas être en reste. Ses mains avaient pris la place de celles de Fred qui étaient descendues en dessous de la ceinture lorsque Stéphanie et moi avions fait irruption dans la pièce.

    En quittant les lieux, Fred ne manqua pas de faire un clin d'oeil à Chrystel signifiant qu'il espérait bien ne pas en rester là. Chrystel et Seb nous rejoignirent et la femme du couple timide leva son verre en notre direction nous gratifiant d'un sourire mal assuré mais assez expressif. Seul à le remarquer, je lui rendais la pareille.

    La pièce qui suivait était la dernière et la plus impersonnelle. En début de soirée, nous nous étions promis de ne pas terminer ici. En venant des autres coins calins, on y entrait par une porte située sur la gauche. En face étaient étalés des matelas couverts de draps, inoccupés. Au fond à gauche, une salle de bains attirait quelques personnes épisodiquement. La plupart des gens ne s'attardaient pas dans ce lieu et continuaient leur chemin par une porte située à droite qui menait, via un long couloir, vers l'escalier monumental et la piste de danse. En somme, c'était un lieu de passage beaucoup trop éclairé et pas intime pour un sou, ce qui expliquait qu'à l'inverse des pièces précédentes, les libertins ne s'y attardaient pas. Pourtant, Chrystel se dirigea immédiatement sur les matelas en lâchant un candide:

  • - On est bien ici, vous ne trouvez pas ?

    L'alcool et l'excitation nous ayant fait perdre toute forme de complexe et d'objectivité, personne ne la contredit et, le temps de quitter nos chaussures, nous étions tous à ses côtés. Fous de désir, Chrystel et moi nous embrassions et nos caresses se faisaient de plus en plus poussées. Seb et Stéphanie avaient commencé à faire de même lorsque Seb s'éclipsa dans la salle de bains adjacente. Stéphanie se joignit alors à nous pour mon plus grand plaisir. Alors que j'atais allongé sur les coussins et que Chrystel avait sorti mon sexe pour le masturber tout en me prodiguant des baisers, Stéphanie le prit en bouche. Chrystel n'arrêtant pas son geste, elle me branlait littéralement dans la bouche de Stéphanie qui s'attachait à garder mon gland entre ses lèvres tant bien que mal. Ayant conscience qu'avoir deux charmantes bouches pour soi tout seul n'arrive pas si couramment que cela, j'incitais fermement Chrystel à joindre ses talents de pompeuse à ceux de Stéphanie. Leurs langues se livraient à une joute acharnée avec ma bite en guise d'arbitre, qui n'en demandait pas tant. Avec ma main droite, je relevais sur ses hanches la robe de Chrystel qui était à quatre pattes et descendais son shorty de manière à découvrir ses fesses. Son cul troussé était tourné vers la porte d'entrée principale de la pièce et livré aux regard des passants avec en première loge notre couple timide croisé quelques minutes auparavant. Je le malaxais et prenais un malin plaisir à écarter ses globes fessiers pour la dévoiler dans sa plus profonde intimité. Elle se mit à me pomper plus rapidement traduisant en cela son excitation, alors que Stéphanie avait entrepris de me lécher les couilles. Chrystel accéléra encore la cadence lorsque je lui assénais une paire de claques sur les fesses. Sa croupe ondulait frénétiquement et l'on pouvait entendre de petits gémissements étouffés provenir de quelque part entre mes jambes. Elle céda mon membre à Stéphanie et s'avança de quelques centimètres de manière à offrir davantage ses parties intimes aux assauts de ma main. Elle descendit le haut de sa robe et dirigea sa poitrine vers ma bouche. Mes doigts descendaient le long de son entre-fesses devenu accessible pour aller se loger dans son sexe trempé et ma langue alternait entre ses deux seins tandis que Stéphanie était encore à l'ouvrage sur mon sexe. La femme du couple timide s'était accroupie auprès de nous deux et avait posé la main sur l'épaule de Chrystel. Elle était mignonne et sa timidité apparente la rendait craquante. Sa longue chevelure blonde platine contrastait avec celles de mes deux maîtresses qui avaient toutes deux des cheveux noirs de jais. S'enhardissant, elle embrassa Chrystel maladroitement comme si c'était sa première fois. Probablement surprise mais satisfaite Chrystel lui rendit son baiser, ses joues devenant aussi rouges que celles de la blonde ingénue. Pour des raisons d'efficacité, ma main avait quitté les fesses de ma chérie pour attaquer son Mont de Venus par dessous, au niveau de son organe le plus sensible. Stéphanie avait délaissé ma bite et s'était redressée pour caresser les hanches de Chrystel qui se trémoussait plus que jamais. Alors que je n'avais rien vu venir, prisonnier que j'étais des seins de Chrystel, je sentis subitement un souffle chaud sur mes doigts humides et je compris que je n'étais pas le seul sur le coup. Un rapide coup d'oeil me confirma mon impression : le mec de la blonde avait empoigné le cul de ma nana à pleines mains et était en train de le laper à grand bruit. Il donnait des grands coups de langue de bas en haut, qu'il faisait alterner avec des attaques plus ciblées sur sa chatte ou son anus, du genre frappes chirurgicales. Pas gêné, le mec! Stéphanie avait été attirée par le spectacle et elle écartait dorénavant les globes fessiers de Chrystel pour faciliter la tâche de notre opportuniste complice. Alors qu'il avait positionné durablement sa langue sur le petit trou de ma chérie, ce dernier lui arracha un râle lorsqu'il introduit directement deux doigts dans sa chatte et qu'il se mit à la pilonner sans phase de rodage.

  • - Ouah, c'est bon ça ! Oh! Ahhhh!

    Je me dégageais de ma position pour faire connaissance avec la blonde, le sexe dressé et ayant ma chemise pour seul vêtement. Elle était vêtue d'une jupe portefeuille et d'un top noir sexy que je ne tardais pas à relever après que nous nous fûmes embrassés. Je la délestais de son soutien-gorge superflu pour dégager deux gros seins relativement bien galbés et Ô combien attirants. Sans être grosse le moins du monde, elle avait de belles formes et j'aimais cela. Elle était de ces filles qui ne vous embrassent pas, mais vous mangent la bouche comme des affamées. Elle m'excitait et, compte tenu du traitement qui m'avait été réservé quelques secondes auparavant, j'aurais perforé un mur avec mon engin. J'explorais sa vulve que je devinais entièrement épilée et la pénétrais de mes doigts. Elle me caressait les fesses d'une main et me branlait de l'autre. Je l'incitais à se dénuder totalement et en profitais pour enlever ma chemise. Lorsqu'elle me vit enfiler un préservatif, elle se mit à quatre pattes, tournée vers Chrystel qui était toujours dans la même position, et me présenta sa croupe ornée d'un de ces tatouages bien placés dont je raffole. Son cul était lisse comme celui de ma compagne. Je ne pus résister à la tentation de m'en délecter, me disant qu'il était toujours bon d'envoyer la langue en éclaireur. Je lui léchais un moment la chatte, puis la pénétrais en douceur. Elle et Chrystel s'embrassaient, le spectacle était grandiose. J'étais hypnotisé par la tête de tigre qui ornait le creux des reins auxquels j'étais agrippé. L'animal regardait fixement, prêt à bondir... Je décidais de faire diversion en le secouant un peu et accélérais la cadence. Ma partenaire manifestait son plaisir tandis-que son mari n'en finissait plus de doigter Chrystel qui, comme je la connaissait, devait trouver le temps long. Baise-moi bon sang! Seb avait disparu dans la salle de bains depuis bientôt une demie heure et le type qui s'occupait d'elle ne semblait pas vouloir sortir sa queue pour la baiser, alors qu'elle avait sous les yeux le spectacle troublant de son homme chevauchant une autre femme, dans sa position préférée qui plus est. Elle en retirait un certain sentiment de fierté car la salope avait l'air d'apprécier, mais comme à l'accoutumée, elle ne put refouler une pointe de jalousie qui lui montait du bas ventre vers l'estomac. Seb tomba à point nommé. Pour rattraper le temps perdu, il se déshabilla sur le champ et, alors que Stéphanie s'était rapprochée de moi pour me caresser les fesses, il fondit sur Chrystel pour lui fourrer son sexe engourdi en bouche. Elle le suçait, toujours besognée par notre doigteur fou. Seb avait du mal à bander. Il décalottait son gland et le passait sur les lèvres de ma chérie, qui empoigna sa bite molle et l'engloutit entièrement. Seb poussa un soupir de plaisir, ponctué d'une claque cinglante sur la croupe offerte de Chrystel. Le geste encouragea l'ami de ma partenaire qui lui asséna à son tour une paire de claques sonores sur le cul. Subitement, le membre de Seb avait durci et il guidait dorénavant la tête de Chrystel de manière à ce qu'elle lui lèche les couilles alors qu'il se branlait de la main droite.

  • - Hummmm. C'est toujours aussi bon avec toi, lui dit-il.

    Il ne lui laissa pas le loisir de répondre, lui clouant le bec avec sa queue. Le mec et lui inversèrent les rôles, Seb étant déterminé à terminer la dégustation qu'il avait entamée près de l'escalier un peu plus tôt. Il se délectait de la chatte devenue juteuse de Chrystel et écartait ses fesses au maximum pour offrir ses orifices aux assauts de sa langue. Chrystel avait de nouveau la tâche ingrate de faire bander le sexe qu'elle avait en bouche et dont le propriétaire semblait fortement intimidé. Un préservatif enfilé, Seb la prit en levrette alors que son deuxième partenaire avait laissé tombé l'idée de se voir prodiguer une fellation pour de langoureux baisers.

    Le tigre était de plus en plus secoué. Mon bassin claquait en cadence contre les fesses de la blonde qui montait dans les tours. Par moments, je ralentissais les mouvements pour l'embrasser dans le cou, lui caresser les seins et lui souffler des mots doux. Puis je reprenais de plus belle. Stéphanie me caressait les fesses d'une main et se masturbait de l'autre. Passablement délaissée depuis le début de la soirée et à bout de patience, elle me chuchota à l'oreille :

  • - Viens me baiser, j'en peux plus. S'il te plaît, viens.

  • - Chuuuuuut ! Lui répondis-je, à la fois compréhensif et un peu gêné par ses propos.

    Tout en continuant mes va-et-viens dans la chatte de la blonde, j'embrassais Stéphanie. Ma partenaire, qui comprit la situation et qui en retira manifestement un surplus d'excitation, se mit à respirer bruyamment et fut prise de convulsions. Je me retirais avant d'avoir joui et résistais à la pression surréaliste de Stéphanie pour passer un moment allongé aux côtés de cette fille dont je ne connaissait pas même le prénom. Son mari lui fit signe qu'il souhaitait partir avant même que j'aie eu le temps de le lui demander.

    Seb avait attrapé chrystel par les épaules et, fidèle à sa curieuse technique, alternait des va-et-viens rapides en levrette avec des périodes plus ou moins longues où il attendait quelques secondes la queue à moitié sortie de la chatte de Chrystel avant de l'enfoncer entièrement d'un coup sec. Il répétait ce geste brusque quatre ou cinq fois de suite, puis reprenais un rythme plus commun. La première fois, Chrystel poussa un cri de douleur et fit le dos rond. Malgré cela, il continua et au troisième coup, elle commença à gémir en se masturbant le clitoris. Il lui releva la tête par les cheveux pour qu'elle se cambre au maximum. Regardant droit devant elle, Chrystel constata qu'une petite assemblée d'une dizaine de personnes la regardait se faire baiser. Au milieu d'elles se tenait Fred qui lui sourit. Le quatrième coup la fit hurler de plaisir. Seb la baisa alors dans les règles; On entendait les fesses de Chrystel claquer en cadence et lorsque le rythme s'accéléra, elle jouit.

 

 

 

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines
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Lundi 22 septembre 1 22 /09 /Sep 19:01

Histoire vécue... commentaires bienvenus!!!

Nous avions rendez-vous vers 22 heures le vendredi soir, sur le parking d'un supermarché en pleine ville, au milieu des immeubles de style années 1970. Bien que de réputation calme, à cette heure en plein hiver le lieu n'était pas des plus engageants. Il faisait un froid glacial. Chrystel était habillée très légèrement comme il se doit pour ce types de soirées et, bien qu'ayant revêtu un manteau par dessus sa courte robe noire, elle frissonnait lorsque nous sortions de la voiture. J'envoyais un SMS pour signaler notre arrivée et, fort heureusement, nous ne tardions pas à apercevoir une ombre se diriger vers nous depuis l'intérieur du parc arboré jouxtant le parking. Nous saluâmes notre hôte qui nous ouvrit le portillon d'accès et nous dirigea sans se répandre en salamalecs vers le château. Nous étions prévenus, mais le lieu nous surprit tout de même. A de maintes reprises nous étions passés dans ce quartier, de retour de week-ends notamment, sans nous douter de la présence pour le moins saugrenue de cette battisse du 18ième siècle au beau milieu de la métropole bétonnée. Un sourire sur son visage nous signifiait que notre guide comprenait notre étonnement, sans pour autant qu'il ne ressentît le besoin de nous fournir de plus amples explications sur l'histoire du lieu.

  • C'est par ici, suivez-moi.

  • Sommes-nous les premiers?

  • Non, nous n'attendons plus beaucoup de monde après vous.

En gravissant les marches de l'escalier monumental, nous commencions à entendre de la musique électronique émaner du château, à grand renforts de basses. Le rythme de nos pouls respectifs s'accéléraient, comme entraînés par celui des « bits par minute » distillés par la puissante sono.

  • Vous pouvez laisser vos manteaux dans cette pièce que l'on a aménagée pour. Ne craignez rien, ils sont en sécurité. Notre petite fête se déroule à l'étage, comme vous pouvez l'entendre.

  • OK, nous allons laisser nos affaires ici, ça sera mieux pour la suite de la soirée. Vous habitez ici, dans le château?

  • Eh bien disons... oui. Vous êtes ici chez nous. Veuillez m'excuser, mais je dois aller m'occuper des autres invités à l'étage. A tout à l'heure!


Une fois de plus, nous comprîmes à son sourire que notre hôte souhaitait préserver une part du mystère qui entourait cette soirée. Nous nous délestâmes de nos manteaux et autres pulls puis visitâmes le rez-de-chaussée, où nous croisâmes au détour d'un couloir quelques couples qui comme nous n'avaient pu contenir leur curiosité. Nous nous saluions et échangions des regards complices tout en nous jaugeant mutuellement, mais cela n'allait pas plus loin. A ce stade de la soirée, la situation restait extrêmement sous contrôle, bien que tout le monde arborait des tenues très sexy qui n'auraient pas eu leur place dans le monde « ordinaire ». Nous nous décidions à nous jeter dans la gueule du loup, c'est à dire à monter à l'étage. A cet instant, nous souhaitions tous deux ardemment que nos amis Sébastien et Stéphanie avec qui nous avions rendez-vous soient déjà sur place, ce qui aurait eu pour effet de nous soulager un peu notre trac.

A l'étage, nous trouvâmes une bonne quarantaine de couples, verres de champagne à la main, répartis entre le vestibule, la salle dévolue à la danse et la cuisine où se trouvaient boissons et buffet froid. Tout le monde était en tenue sexy et certaines femmes étaient même vêtues de manière assez provocante, sans que ce soit la majorité. Nous saluâmes les têtes connues et discutâmes quelques minutes avec Laurence et Fred que nous avions déjà croisés à plusieurs reprises en club libertin et avec qui nous étions depuis longtemps en relation via MSN Messenger, mais avec qui nous n'avions pas encore butiné. Laurence, qui devait participer à un défilé de lingerie un peu plus tard dans la soirée, s'apprêtait à s'éclipser quand Seb et Steph se joignirent à nous. Une fois les présentations faites, ils nous expliquèrent qu'ils étaient arrivés avant nous et qu'ils étaient en train de visiter les « coins-calins » spécialement aménagés dans le château pour ce soir. Nous décidâmes de prendre un verre et de découvrir avec eux ces fameuses pièces. Elles étaient disposées en enfilade, comme il est d'usage dans les anciennes constructions. La première que nous visitions était très sombre et l'on devinait tout juste la présence d'un matelas dans une alcôve. La deuxième était moins sombre. Des matelas étaient posés à même le sol et un film pornographique y était projeté sur le plafond. Si le doute eût été encore permis malgré les tenues extraordinaires des convives, il ne l'était plus tout à coup : la soirée promettait d'être chaude. La troisième pièce était la plus éclairée et la plus grande. Puisqu'elle permettait de desservir plusieurs pièces annexes dont une salle de bains, elle était assez passante. Les matelas recouvraient une partie du plancher en bois et l'ambiance y était assez froide. Nous nous promirent de ne pas terminer la soirée dans cette partie du château, trop éclairée et donc pas assez intime à notre goût. La visite terminée, nous retournâmes vers le reste des convives qui étaient massés dans la pièce de danse ou dans la cuisine. L'ambiance commençait à se détendre, l'alcool aidant probablement les plus timides. Quelques couples commençaient à se trémousser sur la piste et de notre côté, nous n'en finissions pas de saluer et de parler avec des couples que nous connaissions de près ou de loin. Sur la piste, la température monta d'un seul coup lorsqu'un homme au look gothique-chic retroussa la courte robe de l'une des deux filles qui l'accompagnaient, la retourna, l'empoigna par sa longue chevelure noire et lui administra une fessée très théâtralisée. La victime était une sublime jeune femme aux cheveux de jais. Elle arborait un tatouage gothique assez imposant sur le bas des reins qui tranchait avec sa grande classe, la grande finesse de ses traits et la parfaite harmonie de ses formes. Son bourreau était secondé par l'autre fille du trio, très belle également, qui semblait prendre un grand plaisir à flageller la soumise. La scène était saugrenue car jusqu'alors tout était resté dans les règles de la bienséance, la soirée ayant un peu de mal à démarrer. Elle eut cependant eu le mérite d'exciter les corps et les esprits : les couples se mirent à se frôler et les regards se chargèrent de désir. Laurence partie préparer son défilé et Seb en train de remplir son verre à la cuisine, Stéphanie et Fred se rapprochèrent de manière flagrante au cours d'une danse endiablée. Elle était très entreprenante et lui semblait un peu dépassé par la situation, mais complice de bon coeur. Chrystel, un peu éméchée par le champagne, se laissait draguer par la femme d'un couple que nous connaissions via un site Internet. Alors que le mari de ce couple et moi discutions de notre côté depuis quelques minutes, nous aperçûmes nos deux femmes s'enlacer et s'embrasser à pleine bouche sur la piste... cela n'ira pas beaucoup plus loin car nous savons pour en avoir déjà discuté ensemble que nos deux amis ne pratiquent que le mélangisme. D'après notre maigre expérience, les couples qui pratiquent le mélangisme sont souvent venus au libertinage pour assouvir les fantasmes homosexuels de la femme en même temps que les penchants voyeuristes de l'homme, et toute intervention physique masculine est dès lors proscrite. Chaque membre du couple y trouve son compte car dans cette configuration où seules les femmes ont des relations sexuelles, les hommes peuvent mesurer leur pouvoir et leur puissance à travers la valeur de leur conjointe sur le « marché des plaisirs », tout en limitant les risques de voir monter le sentiment de jalousie. Nous ne souhaitons pas avoir ce type de relations où les hommes commentent en spectateurs les ébats de leurs belles, cela fait partie des règles que nous nous sommes fixées. Nous préférons que tout le monde s'implique et nous acceptons de courir le risque que des sentiments naissent entre l'un des éléments du couple et une autre personne avec qui il a eu des relations sexuelles, risque qui existe aussi lors de relations exclusivement homosexuelles mais dont les conséquences en terme de stabilité du couple sont moindres.

Le fait que je me rapprochais des deux filles et commençais à entrer dans la danse avec elles m'a d'ailleurs valu un regard désapprobateur de la part du mari, d'autant plus qu'il pouvait constater que sa femme, emportée par son désir, n'avait rien contre mon attitude. A partir de cet instant, quatre issues étaient envisageables :

  1. Partir à trois. Le mari aurait été terriblement jaloux et leur couple aurait été mis en péril. Solution proscrite car non éthique.

  2. Pratiquer le mélangisme. Solution inenvisageable pour nous, pour les raisons mentionnées plus haut.

  3. Les deux filles partent toutes seules se lécher le minou. Outre le fait que Chrystel préfère être en compagnie d'hommes même lorsqu'elle fait l'amour avec une femme, cette solution n'est pas dans l'esprit de l'échangisme. Elle relève d'une forme de libertinage que nous comprenons et respectons, mais que nous ne sommes pas prêts à vivre.

  4. Se promettre de rester « bons amis », en tout bien tout honneur libertin. C'est cette dernière solution qui émergea, après un dernier baiser échangé entre les miss.


Alors que Chrystel et moi dansions sur la piste depuis quelques minutes au rythme de la musique techno qui n'est pas vraiment notre tasse de thé et que Stéphanie et Fred s'étaient enlacés, leurs langues se battant en duel, Seb vint nous rejoindre, probablement agacé de voir sa compagne se jeter de la sorte dans les bras d'un autre et se frotter à lui comme une femelle en chaleur. Nous lui ouvrâmes grand les bras et, bientôt, notre trio entra lui aussi dans la décadence. Il faut préciser que Chrystel aimait beaucoup Seb, qui en plus d'être très mignon, bien foutu et bon baiseur, est doté d'un esprit rare. Il est à la fois intelligent, sympathique et plein d'humour. Elle et lui ne tardèrent pas à s'embrasser, alors que mes mains rejoignirent les siennes sur la poitrine de Chrytel, puis dans son boxer en dentelle noire ; sa robe était alors légèrement relevée par devant, mais cela restait assez discret. Lorsque nous constatâmes tous les deux qu'elle mouillait abondamment, nous échangeâmes un clin d'oeil complice accompagné d'un large sourire. Seb et Chrystel avaient déjà fait l'amour ensemble et ils avaient l'air d'en garder tous les deux un très bon souvenir.


  • Viens, dis-je à Chrystel. Allons visiter un peu les recoins du château... Qu'en dis-tu, Seb?

  • Je suis partant. Je sens qu'on va s'amuser, réponddit-il avec un sourire jusqu'aux oreilles.


La soudaineté de mon intervention surprit Chrytel, encore toute à son excitation. Elle ne répondit pas et, les joues rosies, nous suivit sous les regards envieux et curieux des danseurs ayant repéré notre manège. Je guidais Chrytel par la main, ouvrant le chemin. Seb qui fermait la marche profitait de la situation pour caresser la croupe de Chrystel, bien convaincu qu'il la tiendrait fermement entre ses mains plus tard dans la soirée. Arrivés sur le balcon intérieur qui surplombe l'escalier monumental où quelques couples conversaient, nous fîmes une halte. Cette fois-ci, Chrystel était tournée face à moi et nous nous embrassions. Seb, lui était resté un peu en retrait, probablement pour admirer la scène. Il est vrai que le lieu est somptueux et que la présence de Chrystel, certes habillée en tenue de soirée assez classique mais dont l'attitude d'excitation et certains détails comme sa chaînette de cheville et ses chaussures à plate-formes en plexiglas, accentuait la beauté de la scène par le contraste qu'elle provoquait. Comprenant ses pensées, je soulevais la robe de Chrystel par derrière pour exhiber ses fesses charnues. Seb me regardait avec un immense sourire plein de complicité perverse, Hummm, c'est bon ça!, alors que les personnes assises dans les escaliers ou de passage à côté de nous ne perdaient rien de la scène. Les pressions de mes doigts sur son clitoris firent haleter la miss, qui resta muette. Seb s'approcha alors et s'agenouilla derrière elle. Il lui empoigna les fesses et les malaxa vigoureusement en admirant leur réaction sous la pression de ses mains comme un gamin découvrant son nouveau jouet. Puis il fit glisser son shorty en dentelles le long de ses jambes, à la hauteur de ses genoux. Toujours hilare, il écarta les deux globes fessiers de la miss, marqua un temps d'arrêt pour admirer le spectacle et lui bouffa littéralement le cul, sous l'oeil amusé des personnes présentes. Le plaisir fut fulgurant pour Chrystel, électrisée par la langue de Seb et par mes doigts agiles. Seb et moi étions sur le point de l'emmener dans une pièce à part pour la baiser aussi sauvagement que notre degré d'excitation était élevé quand l'heure du défilé de lingerie arriva. Nous convînmes ensemble de remettre nos galipettes à plus tard, pour ne pas manquer le « clou de la soirée ». Chrytel remonta sa culotte et ajusta sa robe, puis nous nous dirigeâmes vers la piste de danse où nous rejoignîmes Stéphanie et Fred qui, comme nous, avaient calmé leurs ardeurs et prenaient tranquillement un verre ensemble.

 

 

 

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines
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Lundi 22 septembre 1 22 /09 /Sep 18:57
Pour y voir plus clair, j'essaye d'améliorer la mise en page qui laisse à désirer sur certains articles... voilà pourquoi je les publie à nouveau. Je n'efface pas les anciens pour garder la trace de vos (trop rares) coms.
A bientôt !
Par David - Publié dans : Généralités / débats
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Lundi 22 septembre 1 22 /09 /Sep 18:49

Ça y est, c'est décidé, ce soir nous sortons au *****. On est vendredi et il paraît que le vendredi les soirées sont plus intéressantes et plus chaudes que le samedi, car les hommes seuls sont acceptés. Notre fille est chez ses grands parents, nous sommes libres comme l'air... Nous prenons un petit apéro dînatoire tout en nous préparant pour la soirée. Après un passage à la salle de bains, Chrystel commence l'essayage de ses tenues, pour mon plus grand plaisir. Elle choisit une de ses robes noires de soirées, trop courtes pour être portées lors des sorties conventionnelles. Elle enfile un shorty en dentelles et un soutien-gorge, ainsi que des bas. Ce soir, elle a décidé d'essayer de porter ses chaussures plate-forme pour aller danser, ce qui n'est pas une mince affaire : elles font environ 17 centimètres de talons! La traversée du parking du ***** s'avèrera d'ailleurs une épreuve pour elle... Pour ma part, j'enfile un pantalon noir de soirée et une chemise sexy. Nous voilà partis pour le ***** club, c'est une première pour nous. Quelques mots échangés avec le vigile du parking et le videur, puis nous laissons nos affaires au vestiaire. Le moment est venu de découvrir enfin ce haut lieu du libertinage dans la région!

Il faut bien le dire, nous sommes assez déçus par l'endroit : parmi les hommes seuls, beaucoup sont en costume, tout juste sortis du boulot... on a des doutes sur la possibilité qu'ils ont eu de prendre une petite douche avant de venir. C'est pas notre truc. D'autres sont habillés comme s'ils allaient ramasser des champignons, gros godillots et chemise à carreaux... le tout n'est pas très attirant! Et puis ça augure mal de l'attitude de ce genre de personnes, qui parce qu'elles payent fort cher leur entrée se croient tout permis, à commencer par ne pas faire le moindre effort vestimentaire.

Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, nous papotons avec quelques couples de nos connaissances, prenons une coupe et allons nous trémousser sur la piste. Nous ne sommes pas emballés par l'ambiance et ne faisons aucune touche, homme, femme ou couple... Je remarque alors un jeune homme assez mignon et esseulé, l'air un peu timide, qui fait des allés et venues entre le bar et la piste. Je le signale à Chrystel, qui me dit l'avoir repéré... Elle me fait remarquer son jeune âge, ce qui la freine un peu : elle a une préférence marquée pour les trentenaires et il doit avoir au plus 25 ans. L'envie de s'amuser un peu est plus forte et les réticences de la miss liées à l'âge du jeune homme volent en éclat. Nous entreprenons d'aller le chauffer sur la piste. Nous allons nous placer non loin de lui et commençons à danser tous les deux de manière torride : nous nous enlaçons et nous embrassons lascivement, et je ne tarde pas à passer mes mains sur la croupe de Chrystel ainsi que sur ses seins, à travers sa robe -courte et moulante comme il se doit dans les soirées libertines. Tout en dansant, nous nous rapprochons progressivement de lui, qui repère notre manège. Il comprend aux regards qu'il échange avec nous qu'il peut entrer dans la danse, ce qu'il fait en prenant Chrystel par la taille et en se frottant contre elle, par derrière. Rapidement, elle se retourne, l'enlace et l'embrasse à pleine bouche. Nous continuons notre danse érotique à trois, les mains du jeune homme rejoignant les miennes sur les fesses de Chrystel, puis dans sa culotte. Elle mouille abondamment et ne cache pas son plaisir... Elle-même fait connaissance, tactilement parlant, avec le membre durci de son nouveau compagnon à travers son pantalon. Quelques hommes échauffés par l'attitude de Chrystel qui prend ostensiblement du plaisir à se faire caresser par deux hommes en profitent pour caresser les seins et les fesses de la belle... Elle ne le remarque pas, nos quatre mains lui donnant certainement déjà l'impression d'avoir des paluches partout sur son corps! Bien que comprenant leur attitude, je fais comprendre à l'essaim qu'elle n'a pas décidé de faire un gang bang... Comme souvent en club, nul n'est besoin de faire un dessin, les gens étant en général respectueux des autres.

Après avoir dansé, nous allons prendre une coupe de champagne avec le jeune homme dans des fauteuils à côté du bar. Le bloc de climatisation souffle un air glacial et l'ambiance se refroidit assez rapidement... il s'avère que nous n'avons pas grand chose à nous dire et que C. (son prénom) n'est pas très loquace. Bien que nous ayons pris soin de faire en sorte qu'il soit assis à côté de Chrystel, il garde ses distances et semble tétanisé par sa timidité.

Nous restons ainsi de longues minutes, Chrystel et moi essayant tant bien que mal de relancer régulièrement la conversation. Nous nous échangeons des regards interrogateurs : que faut-il faire? Pensant que Chrystel n'y voit pas d'inconvénient, je suggère de monter dans les coins calins situés à l'étage, pour poursuivre la conversation. Elle me confirmera plus tard qu'elle n'était pas très chaude, mais qu'elle voulait aussi pimenter la soirée...

Tous trois nous dirigeons alors vers les coins calins. Pour faire remonter l'ambiance, je prie Chrystel de nous précéder dans les escaliers, ce qui me permet de lui caresser les fesses en lui soulevant sa courte robe, de manière à ce que notre ami ne perde rien de la scène. Un homme plus entreprenant que lui aurait pris cette initiative à ma place, assurément!

Il y a du monde ce soir, nombre de pièces sont déjà occupées. Nous ne souhaitons pas par ailleurs nous retrouver dans une grande pièce ouverte avec d'autres hommes ou d'autres couples. Nous nous enfermons donc dans une petite pièce qui va rapidement se révéler être une étuve en l'absence de climatisation et compte tenu de la température extérieure caniculaire de ce début juillet.

Chrystel s'allonge sur le matelas en Skaï, j'entreprends de lui lécher la chatte alors que C. enlève ses chaussures et s'allonge à côté d'elle. Il l'embrasse, lui caresse les seins, la déshabille... Profitant de ce que j'enlève mon pantalon et mes chaussures, laissant libre la voie, ses doigts vont titiller le clitoris de Chrystel et s'immiscer dans son vagin. Je retourne à mon affaire, entre les cuisses de la miss. Il se dresse sur ses genoux de manière à ce qu'elle puisse dégrafer son pantalon, tout en continuant de lui branler le clito. Chrystel découvre sa bite ornée de grosses couilles pendantes... je devrais dire nous découvrons sa bite, puisque c'est un moment important pour moi aussi, en définitive : comme la plupart des hommes je pense, j'ai tendance à faire des comparaisons, et puis je sais que l'allure de la bite a son importance pour elle, même si ça n'est pas là l'essentiel. Je me dis qu'elle est assez grosse, elle me dira plus tard qu'elle est de taille moyenne : j'ai toujours du mal à estimer la taille et la grosseur de la bite des autres; certainement une question d'angle de vue, étant donné qu'on voit rarement sa propre bite par dessous ou par côté! Quoi qu'il en soit, elle le suce goulûment pendant que nous la caressons. Puisque nous sommes intimes dorénavant, les vêtements sont superflus. Nous faisons une pause pour nous en débarrasser et reprenons le fil de notre trio. Il s'assied sur le matelas, Chrystel se met à quatre pattes pour le sucer et je me place derrière elle pour la lécher. Il se révèle assez entreprenant, bien que toujours aussi peu loquace. Il accompagne d'une main la tête de Chrystel sur sa bite qu'il tient de l'autre, l'air assez dominateur. D'ailleurs, il ne tarde pas à la guider sur ses couilles qu'elle lèche et gobe avec frénésie. Il la maintient sur ses bourses assez longtemps, semblant apprécier les caresses qu'elle lui prodigue. Je le remarque et lui déclare que moi aussi j'adore me faire lécher les couilles. Il me « répond » par un sourire complice et un peu potache, tandis-que Chrystel continue sa besogne, aventurant sa langue sur le périnée, partie située entre les bourses et l'anus, sous la pression exercée sur sa tête par de la main de notre amie... la situation m'excite au plus haut point. L'homme est discrètement dominateur, j'adore! Je bouffe la chatte et le cul de Chrystel de plus belle encouragé par ses gémissements étouffés par la présence de la chair de notre camarade de jeux de ce soir dans sa bouche. Je la masturbe intensément en introduisant mes doigts dans sa chatte trempée, tout en léchant son anus avec délectation. Mes doigts bien lubrifiés, son petit trou humidifié et détendu, j'entreprends de lui doigter l'anus, ma langue s'occupant dorénavant de son clito. C., excité, ne tarde pas à s'intéresser à ce qui se passe de ce côté-ci. Alors que Chrystel continue de la sucer, il se redresse et caresse les fesses de la belle tandis-que j'introduis profondément deux doigts dans son cul. Lui et moi échangeons des regards complices, elle traduit son trouble par des gémissements lorsque j'enfonce... Je retire alors mes doigts pour laisser la voie libre à notre ami. Je branle le clito de Chrystel d'une main et lui écarte une fesse de l'autre, de manière à offrir le plus possible son anus à la vue et aux assauts de C. Il observe, mais n'ose pas prendre le relai... Tout en lubrifiant de nouveau le petit trou de la belle avec sa cyprine, je lui fais alors signe qu'il peut y aller, ce qui a raison de ses dernières hésitations. Il introduit un de ses doigts dans son anus et je ne tarde pas à le rejoindre avec l'un des miens. Nous ouvrons de concert la porte dérobée de Chrystel, alors qu'elle accentue la cambrure de ses reins, tendant ainsi son cul à l'extrême en le faisant aller à la rencontre de nos doigts. L'excitation est alors à son paroxysme. Il va falloir passer à autre chose... Chrystel nous suce tous les deux alternativement, puis j'enfile un préservatif; bien que dans l'intimité nous n'utilisions pas de capote, le recours au latex s'impose dans le cadre du libertinage pour des raisons d'hygiène. Je la pénètre alors longuement en levrette, sa position préférée, tandis qu'elle suce C. avec passion. On crève de chaud dans la pièce; les matelas en Skaï son trempés; ça n'est pas très agréable... Notre jeune ami et moi échangeons les rôles. Il baise Chrystel tandis qu'elle me suce et me lèche les couilles. Je lui branle le clitoris et lui introduis deux doigts bien profondément dans son cul. Elle est très excitée d'être ainsi baisée et simultanément doigtée dans son petit trou... C. se retire alors de sa chatte et entreprend de l'enculer, avec un certain toupet pour un petit jeunot timide. Je m'attends à ce qu'elle proteste, pensant que l'approche est un peu rapide, mais au lieu de cela elle accentue sa cambrure, traduisant ainsi son excitation et son approbation. Compte tenu du temps que nous avions passé auparavant à lui ouvrir le cul avec nos doigts, il rentre sans peine et sans ménagement. Il la besogne ainsi longuement, plus longuement qu'il ne l'avait fait dans sa chatte. Sans phase de transition, il va et vient dans son cul avec des mouvements amples et rapides comme il s'y serait pris s'il avait voulu la faire jouir en la baisant dans sa chatte. Elle se branle le clito et sa bouche commence à délaisser ma bite, ce qui est chez elle signe que l'excitation est à son comble... J'adore la voir ainsi offrir son cul à des inconnus et y prendre du plaisir. Je n'en manque d'ailleurs pas une miette, en écartant ses fesses pour contempler au mieux le membre gonflé de C. lui explorer les entrailles. Le cul de la belle ainsi écartelé, il peut s'enfoncer au plus profond possible. Il prend un plaisir pervers à se retirer de temps à autre de manière à admirer le trou béant de la belle et aussi de manière à me le montrer, en pensant très fort : « Tu vois ce que je lui mets à ta salope de femme? Regarde comme elle aime ça! » . Il me laisse alors la place et je continue sur la voie qu'il a tracée. Nous sommes tous les trois très excités. Nous la prenons alors brièvement en double : elle empale sa chatte sur sa bite et je m'introduis dans son cul. Elle adore ça, mais nous ne tenons pas la position bien longtemps, la chaleur et la sueur ayant raison de nos dernières forces. Je jouis dans la chatte de Chrystel, tandis que notre ami se rhabille déjà. Il file sans mot dire (il aura dit en tout et pour tout pas plus d'une dizaine de mots!) et nous passons par la salle de bains. Nous le retrouverons un peu plus tard sur la piste de danse, à la recherche d'un autre couple avec qui terminer la soirée. Ayant une journée chargée en perspective le lendemain, nous l'abandonnons à sa nouvelle quête.

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines
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Lundi 8 septembre 1 08 /09 /Sep 12:33
Pas le temps d'écrire en ce moment à cause du boulot et de l'heureux événement qui se profile... mais je suis bel et bien là et je vous lis régulièrement !!!

A très bientôt pour de nouvelles aventures, mes chers lecteurs surfeurs
Par David - Publié dans : Généralités / débats
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Dimanche 3 août 7 03 /08 /Août 01:04
Voyez plutôt !

Par David - Publié dans : Photos de nous... enfin, surtout d'elle!
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Vendredi 13 juin 5 13 /06 /Juin 10:59
Chers internautes libertins et coquins,

Je ne vous oublie pas, pas plus que je n'oublie mon blog... mais le boulot a raison de mon temps libre ces derniers temps.

Grrrrrrrrrrr

A bientôt j'espère pour de nouveaux récits,

David
Par David - Publié dans : Généralités / débats
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Jeudi 29 mai 4 29 /05 /Mai 08:49



Seule au milieu de la pièce, dans cette position... c'est un peu "en attendant Sodo", non ?
Par David - Publié dans : Photos de nous... enfin, surtout d'elle!
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Mardi 27 mai 2 27 /05 /Mai 19:34

Dans la forêt de Fontainebleau, il n'est pas rare de croiser quelques biches effarouchées et parfois même une cochonne sauvage en chaleur...

Par David - Publié dans : Photos de nous... enfin, surtout d'elle!
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Lundi 26 mai 1 26 /05 /Mai 19:30
Salut les internautes coquins,

j'ai mis en ligne deux nouvelles photos hard... n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez!

@+
David
Par David
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