Chrystel, Justine, les autres
Elle est belle et libertine.
Justine m'accompagne.
Elle n'existe qu'en rêve.
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Personnages
- L’accusée (Chrystel). Elle a les yeux bandés et est entravée par des menottes reliées à une laisse. Tenue sexy, talons hauts. Elle porte un collier SM permettant de la diriger.
- Le président de la cour (Moi?). Il est vêtu de la robe, si possible. A défaut, costard.
- 3 juges en robe ou costard.
- 1 greffier. Le greffier filme et prend des photos. Il est sollicité pour faire entrer l’accusée et la conduire sur la demande du président. Il peut la peloter mais ne la pénètre pas, sauf si volonté de Chrystel.
Lieu
Chez nous ou chez l’un des hommes présents.
Résumé
Chrystel est accusée de pratiquer assidûment la fornication, la fellation et la sodomie, et parfois même tout cela à la fois.
Circonstance aggravante, elle semble aimer cela. L’accusée reconnaît les faits qui lui sont reprochés, mais il reste à déterminer la peine : il faut pour cela évaluer son goût pour ces pratiques condamnables…
Scénario
Le président, les juges sont assis sur des chaises, en rang. Le greffier se tient debout, latéralement. Le caméscope est sur pied, il tourne en continu.
- Le président : Greffier, faites entrer l’accusée.
Le greffier se dirige vers la porte et dirige Chrystel par sa laisse vers une chaise située en face des juges. Il la fait s’asseoir.
- Le président : accusée, levez-vous.
Chrystel s’exécute.
- Le président : veuillez dire votre prénom à la cour, ainsi que votre âge.
- L’accusée : je m’appelle Chrystel, j’ai 31 ans.
- Le président : veuillez faire un tour sur vous-même, que la cour puisse juger de vos atouts.
Chrystel s’exécute.
- Le président : Accusée, faites quelques pas de long en large s’il vous plaît.
Chrystel s’exécute et revient devant la chaise.
- Le président : Greffier, veuillez soulever la jupe de l’accusée, de sorte que la cour puisse constater l’objet du crime.
Le greffier soulève la jupe de Chrystel découvrant ses dessous : shorty, portes jarretelles. Il la caresse.
- Le président : Accusée, tournez-vous.
Le greffier soulevant toujours la jupe de Chrystel, les juges admirent son postérieur. Il lui caresse le cul.
- Le président : Greffier, faites asseoir l’accusée. La cour va faire lecture des chefs d’accusation qu’elle a retenus à l’encontre de l’accusée.
- Le président : Chrystel, vous êtes accusée en premier lieu de pratiquer la fornication à outrance. Le reconnaissez-vous ?
- Chrystel : oui.
- Le président : ça n’est pas suffisant. La cour veut vous entendre dire : « oui, je pratique la fornication à outrance ».
- Chrystel : oui, je pratique la fornication à outrance.
- Le président : Levez-vous. Pouvez-vous nous montrer de quel côté cela se pratique ?
Chrystel se lève, soulève sa jupe, baisse sa culotte et montre sa chatte.
- Le président : Bien asseyez-vous. La cour prend acte du fait que vous plaidez coupable pour ce chef d’accusation.
Chrystel, vous êtes accusée en deuxième lieu de la pratique obscène de la fellation. Le reconnaissez-vous ?
- Chrystel : oui, je pratique la fellation.
- Le président : Greffier, apportez le gode s’il vous plaît.
- Le président : Accusée, pouvez-vous nous montrer, à l’aide de cet objet, la manière dont vous pratiquez la fellation ?
Chrystel suce le gode avec peu d’entrain.
- Le président : Eh bien, que se passe-t-il ?
- Chrystel : Monsieur le Président, je n’ai pas l’habitude de sucer des morceaux de plastique : le goût n’est pas terrible ! Je pense que pour une question de réalisme, je pourrais vous montrer comme je suce en prenant votre queue comme support !
- Le président : Soit… Greffier, amenez l’accusée.
Le Greffier amène Chrystel vers le Président et l’agenouille devant lui. Elle le suce.
- Le président : La cour prend acte du fait que vous plaidez coupable pour ce chef d’accusation.
Chrystel, vous êtes accusée en troisième lieu de la pratique coupable de la sodomie. Le reconnaissez-vous ?
- Chrystel : oui, je pratique la sodomie.
- Le président : Accusée, levez-vous. Pouvez-vous nous montrer de quel côté cela se pratique ?
Chrystel se lève, se tourne, soulève sa jupe, baisse sa culotte et montre ses fesses.
- Le président : C’est insuffisant. Écartez vos fesses et penchez-vous en avant je vous prie !
Chrystel écarte ses fesses en se penchant en avant, cambrée.
- Chrystel : Est-ce suffisant ainsi, Monsieur le président ?
- Le président : Bien asseyez-vous. La cour prend acte du fait que vous plaidez coupable pour ce chef d’accusation.
Chrystel, vous êtes accusée en dernier lieu de pratiquer à la fois fornication, la fellation et la sodomie. Que répondez-vous à cela ?
- Chrystel : Je le revendique, Monsieur le président.
Le Greffier, les juges et le président, en chœur : Oh ! Quelle salope !
- Le président : Accusée, vous reconnaissez les faits et serez condamnée. Mais il y a pire que les faits en eux-mêmes : d’aucun disent que vous prenez du plaisir à vous vautrer dans le stupre et la débauche. Il paraîtrait que vous jouissez comme une salope quand vous baisez, quand vous sucez, quand vous vous faites enculer et quand vous vous faites prendre par plusieurs hommes à la fois. Est-ce vrai ?
- Chrystel (coquine): Comment savoir, Monsieur le président ? Il ne faut pas se fier au « qu’en dira-t-on »…
- Le président : En effet, vous avez raison. Qu’à cela ne tienne : la cour ne rendra pas son verdict avant d’avoir évalué scientifiquement le plaisir que vous prenez à vous adonner à la luxure. Messieurs les jurés, il va falloir donner de votre personne, au nom de la Justice ! Sortez vos engins !
Les jurés ouvrent leur braguette…
- Le président : Greffier, distribuez les capotes et déshabillez l’accusée ! Retirez-lui sa jupe, son haut et son soutien-gorge.
Le greffier distribue les capotes. Il lève l’accusée, lui retire ses vêtements. Il en profite pour l’embrasser et la caresser.
- Le président : Amenez l’accusée devant moi et faites-la s’agenouiller (sur le sol, des coussins).
Le président prend la tête de Chrystel et la guide vers son sexe pour se faire sucer et lécher les couilles. Chrystel s’exécute avec plaisir. Sur un signe du président, le greffier guide Chrystel une autre queue. Elle la suce goulûment, les yeux toujours bandés.
Le procès part « en couille ». Le président se lève et pelote le cul de Chrystel, en la guidant sur les queues. Le greffier prend des photos et filme le reste de la soirée. Une fois toutes les queues sucées, le bandeau de Chrystel est remplacé par un loup. Elle découvre enfin ses jurés et peut « mettre un visage sur une queue »!!!! Le reste est à l’avenant : elle est léchée, doigtée, godée, baisée, enculée et prise en sandwich sans ménagement, pour le plus grand bonheur de tous…
L’accusée est évidemment condamnée pour les chefs d’accusation qu’elle a reconnus et, du fait des circonstances aggravantes, elle recevra une claque sur les fesses de la part de chaque membre de la cour. La soirée se poursuit jusqu’à épuisement…
Histoire vécue... commentaires bienvenus!!!
Ma compagne Chrystel et moi avons débuté dans le libertinage à la fin de l'été 2004, à l'aube de nos trente ans. Nous avions alors osé pousser la porte d'un club libertin non loin de chez nous pour observer. En fait d'observer, nous avons fait un trio avec un autre homme, pour notre plus grand bonheur. Par la suite, nous avons déposé une petite annonce en vue de faire des trios. Nous avons rencontré quelques charmants jeunes hommes par ce biais et concrétisé avec l'un d'entre eux; ce ne fut d'ailleurs pas la meilleure expérience libertine que nous ayons eue, loin s'en faut, le jeune homme en question s'étant senti très mal à l'aise lors du trio. Loin d'être découragé, nous avons répondu aux sollicitations d'Éric, un trentenaire bien sympathique qui avait répondu à notre annonce.
Fin octobre, nous sommes allés au restaurant avec Éric pour faire sa connaissance, après avoir longtemps discuté avec lui par e-mail interposé. Il est d'un très bon milieu social et a de la conversation, c'est d'ailleurs peut-être pour cela que la soirée reste assez sérieuse. Il est plutôt mince, très sportif, pas très grand et habillé BCBG. Éric est très sympa et le feeling est au rendez vous; nous décidons donc de nous revoir prochainement chez nous, pour «approfondir nos relations». Nous l'invitons le mercredi 10 novembre au soir, pour un petit dîner et « plus si affinités ». Chrystel s'habille très sexy : une robe noire très courte, des bas auto-fixant dont on voit aisément la dentelle, des dessous coquins et chics et des chaussures à talons. Elle a longtemps hésité à s'habiller de la sorte, ayant peur que cela fasse trop « allumeuse ». Il est vrai que dans la vie, elle est vêtue plutôt BCBG et assez sagement. Elle a été convaincue quand je lui ai fait remarquer qu'émoustiller notre invité était bien le but recherché!
Éric arrive chez nous sur le coup de 21h, une bouteille de vin en cadeau. Nous prenons l'apéritif et discutons beaucoup de sujets très sérieux à table, jusqu'à ce que je propose de faire une pause dans le repas et de rejoindre les canapés du salon, pour des raisons de confort. Chrystel et moi nous asseyons l'un à côté de l'autre; Éric se place dans le canapé d'en face. A cette époque, il est convenu tacitement entre nous que c'est moi qui fait le premier pas dans nos soirées trio. Cette convention, abandonnée depuis, était destinée à ménager mon amour propre qui aurait pu souffrir de voir mon amour draguer un autre homme; elle facilitait également la tâche de Chrystel qui est d'un naturel plutôt réservé. Après 2 heures de discussions variées, je pense qu'il est temps de s'amuser un peu. Tandis que nous parlons, je pose ma main sur le genou de Chrystel, le caresse, et remonte doucement jusqu'en haut de ses bas. Éric repère notre manège et est, il faut bien le dire, assez troublé. Je remonte la robe de Chrystel, dévoilant ainsi entièrement ses jambes et laissant entrevoir son shorty de dentelles noires. Complimentant la belle d'une voie balbutiante c'est mignon tout plein, ça, Éric ne tarde pas à venir s'asseoir à côté d'elle. Elle l'embrasse à pleine bouche, alors qu'il lui caresse l'autre jambe. Bien que donnant de prime abord l'impression d'être sûr de lui, Éric est assez intimidé par la situation. La suite montrera qu'il ne se laisse pas pour autant déborder par ses émotions... Nous caressons notre Vénus, aux anges d'être le centre des attentions de deux hommes qui ont envie d'elle. Nos mains investissent son entrejambe et ses seins, les siennes découvrent à travers nos pantalons nos membres durcis. Faisant honneur à notre invité, elle déboutonne le jean d'Éric, découvrant un sexe déjà bien dressé, long et au gland assez gros; Chrystel ne tarde pas à le prendre en bouche, alors que je m'occupe de sa chatte avec délectation. Elle nous suce à tour de rôle tandis que nous la titillons avec nos doigts et nos langues. Éric s'avère assez entreprenant et guide Chrystel sur sa queue ou sur ses couilles, dont le faible volume contraste avec celui, imposant, de son sexe. La belle se met en levrette, et à tour de rôle nous nous faisons pomper et nous lui bouffons littéralement le cul. Aux dires de tous ceux qui ont eu le plaisir de voir son cul et d'en profiter, Chrystel a une paire de fesses à faire bander un eunuque. Sa chatte et son anus lisses et soigneusement parfumés par ses soins sont un véritable délice pour les amateurs. La soirée part sur des chapeaux de roues... Je pénètre alors la miss en levrette alors qu'elle suce Éric, et me penche en avant pour embrasser Chrystel dans le cou tout en la guidant sur le sexe d'Éric. Elle le pompe goulûment, et je dois dire que le spectacle de cette grosse bite lui remplissant la bouche m'excite terriblement... Éric met alors un préservatif, prêt à prendre ma place. Il revient vers la bouche de Chrystel, pour qu'elle le fasse durcir; elle commence à le sucer, mais il empoigne sa queue d'une main, les cheveux de Chrystel de l'autre et lui plaque sa bouche contre ses couilles en la forçant à incliner sa tête de profil pour qu'elle puisse tout prendre en bouche. Elle les gobe avec délectation et moi, je me retrouve avec le gros gland d'Éric près de mon visage... Nous avions parlé de notre bi-curiosité ensemble, il n'a donc pas pris trop de risque quand il a dirigé sa queue vers ma bouche, en me mettant la main sur l'épaule et en me souriant. A la grande surprise de Chrystel, toutefois certainement pas aussi grande que la mienne, je l'ai sucé. Éric se faisait bouffer les couilles par une fille pendant que son mec le suçait, je crois que ça nous a tous bien plu. A deux doigts de lâcher la sauce à cause du caractère excitant de la scène, je suggère à Éric de prendre le relai dans la chatte de la miss. L'intérêt d'un tel trio pour une fille, c'est bien sûr que les temps morts n'existent pas... Il la fait se lever et la baise contre un mur, par devant en lui soulevant une jambe. Alors qu'elle crie son plaisir, il la retourne et lui fait prendre appui contre le mur, les fesses cambrées, et la prend vigoureusement par derrière. Il la baise comme un fou pendant que je l'embrasse et lui caresse les seins. Tout le monde est au comble de l'excitation, et Éric se met à lui claquer le cul et à verbaliser son caractère dominateur, en osant « Ah c'est bon, hein, salope! », ce à quoi elle acquiesce sans broncher, même si elle est assez surprise. Voir se type prendre ainsi le contrôle de ma copine, pour quelques instants, m'excite follement. Nous inversons les rôles et Chrystel se prend de nouveau quelques claques sur les fesses, distribuées cette fois en cœur par ses deux étalons. Notre invité comprend à cette occasion que ni elle ni moi n'avons d'objection à ce qu'il la domine et emploie un langage cru à son égard, même si elle ne raffole pas de cela habituellement.
Nous faisons une pause pour boire un verre et décidons d'aller nous détendre dans la baignoire. L'interlude est détendant et, alors que je baise Chrytel debout contre le plan-vasque de la salle de bains, Éric s'agenouille pour goûter à ma bite sortie de sa chatte, curieux lui aussi de sentir l'effet d'un sexe masculin en bouche... La sensation n'est pas désagréable, mais tous les deux, nous préférons toutefois nous occuper d'une jolie fille.
Nous rejoignons ensuite la chambre d'amis où nous discutons de choses et d'autres... il est tard et Éric signifie qu'il doit rentrer car sa copine, soit-disant au courant de son aventure de ce soir, doit être inquiète. Chrystel lui fait remarquer qu'il n'a pas joui et qu'il serait dommage de partir en si bonne voie. Plaçant la miss sur le flanc, en chien de fusil, je lui lèche la chatte et dis à Éric que nous n'avons pas encore été au bout des possibilités que le trio nous offre. Chrystel, qui suce déjà activement le membre mou d'Éric, ne prête pas attention à ma remarque mais le message est bien passé auprès de notre invité qui durcit et se fait à nouveau assez directif. Ayant une idée derrière la tête, je m'empare alors d'un tube de gel lubrifiant, en dépose une noisette sur mes doigt et l'applique sur le trou du cul bien lisse de mon amour. Tout en la doigtant dans la chatte, je lui masse l'anus pour le détendre puis lui introduis un doigt dedans. J'entreprends alors des vas et viens énergiques, l'index dans son cul, le majeur dans sa chatte... elle pousse des grognements étouffés par la présence de la bite d' Éric dans sa bouche... Alors que je glisse aisément un deuxième doigt dans son cul et qu'elle pousse un soupir en conséquence, Éric comprend mon manège. Il se redresse et, tout en continuant à se faire sucer, il prend les fesses de Chrystel à pleines mains pour les écarter de manière à observer la scène. Interrompant sa fellation, Chrystel demande alors, faussement naïve : « Mais qu'est-ce que vous avez derrière la tête tous les deux? ». Je lui réponds qu'on aimerait bien profiter de son si beau cul et que ça serait dommage qu'on n'essaye pas de faire une double pénétration... Éric fait alors remarquer que la perspective est alléchante, alors qu'il reluque toujours le petit trou de Chrystel en cours de préparation...J'interromps un instant mon doigté pour rajouter et étaler une noisette de lubrifiant sur l'œillet de ma chérie. Je fais ensuite signe à Éric, encore un peu hésitant car ne sachant pas si Chrystel est ouverte à la sodomie, qu'il peut continuer le travail; pour bien être compris, je lui prends le poignet et approche sa main de la cible. Il introduit alors directement deux doigts dans le cul de Chrystel, qui a repris sa pipe. Ils montrent alors tous les deux des signes d'excitation qui ne trompent pas : elle tortille son cul en gémissant, le tend à la rencontre des doigts d'Éric, celui-ci accélérant fébrilement ses va-et vient. Le tableau fait plaisir à voir! Je doigte Chrystel dans la chatte, qui se voit ainsi pénétrée de toutes parts pour son plus grand plaisir.
Comme elle mouille abondamment, ma main investit sa chatte presque entièrement, ce qui lui procure des sensations intenses et nouvelles. Nous la branlons ainsi vigoureusement alors qu'elle se met à crier d'extase. Elle me demande même d'arrêter mon travail dans sa chatte, tellement elle trouve ce nouveau plaisir étrange, intense et incontrôlable. Je rejoins ce salop d'Éric qui a pris les choses en mains, si l'on peut dire : il l'a empoignée par une fesse et lui défonce le cul avec ses doigts. Elle se retrouve avec 4 doigts dans le cul, qui la pilonnent sans ménagement. Nous jouons ainsi comme deux vieux complices avec sa rondelle afin de bien la dilater, tandis-qu'elle pousse des râles lorsque nous allons trop loin ou lorsque nous lui écartons son délicat petit trou pour observer ses entrailles avec un malin plaisir de potaches. Je suis terriblement excité par la situation et, n'y tenant plus, je chausse une capote et encule ma belle en levrette. Elle se remet alors à sucer Éric de plus belle en poussant de petits gémissements, visiblement surexcitée par la situation. Alors qu'ils se roulent des palots comme des morts de faim, Éric lui susurre tendrement dans l'oreille « T'aimes qu'il t'encule, hein ?! ». Entre deux gémissements, elle lui répond un « oui » que mes coups de queue dans son cul rendent beaucoup plus sonore que la question. Elle y prend tellement de plaisir que je ne peux retenir le mien que quelques minutes. Je m'assieds alors devant la miss, enlève ma capote et me fais sucer, alors que Éric, à genou derrière Chrystel, est en train de mettre un préservatif en regardant le cul dont il va bientôt profiter. Il la pénètre d'un coup, ce qui arrache un « han » à la miss compte tenu de la taille de son membre. Éric ne s'arrête pas et l'encule comme un bourrin, en lui claquant les fesses sans ménagement. Alors qu'elle crie de plus en plus (et pas de douleur!), il lui dit haut et fort, sur un ton dominateur qui tranche avec celui qu'il avait adopté quelques minutes auparavant : « Toi, tu aimes ça te faire baiser dans le cul... T'es une bonne salope !». Ce faisant, il continue de plus belle, méthodiquement, avec une froideur ahurissante pour un type qui est en train d'enculer une femme sous les yeux de son mari. Comme s'il trouvait que la réponse se faisait attendre, il la pilonne le plus profondément possible, en la retenant par la chair de ses hanches. Elle lui répond « Oui, c'est bon » entre deux cris saccadés, haletante. Très sportif et très endurant, Éric accélère le rythme, encouragé par ce blanc seing. Il lui claque les fesses de plus belle et elle, elle pousse des « Oh » et des « Ah » de plaisir...Lui paraît presque détaché alors qu'elle est excitée comme une chatte en chaleur. Il se dresse alors sur ses jambes, se positionnant ainsi au dessus d'elle, de manière à ce que son membre pénètre au plus profond se son cul. A chaque va-et-vient ample et rapide, il enfonce sa bite jusqu'à la garde et ses couilles viennent taper la chatte de la belle qui pousse des petits cris en rythme. Je l'ai rarement vue dans un état pareil lors d'une sodomie. Son visage est écarlate, ses yeux révulsés, ses paroles sont saccadées. Bien qu'elle ne l'ose se l'avouer lorsqu'elle a la tête froide, elle aime se faire dominer sexuellement et prend un grand plaisir à se faire baiser vigoureusement dans le cul. Elle n'est pas la seule à être excitée : la vision de ma copine en train de jouir alors qu'un mec lui défonce copieusement et très professionnellement le trou du cul, qu'il lui claque les fesses, la prend par les cheveux pour qu'elle se cambre encore davantage et la qualifie de « petite salope bonne à enculer » me rend fou. Je bande à nouveau comme un taureau dans la bouche de la miss. Elle plaque alors ses épaules contre le lit, le visage posé de côté, pour tendre encore un peu plus son cul vers le membre qui la rend ivre de plaisir. Je lui frotte les couilles sur son visage, en lui demandant de me lécher; elle tire sa langue mécaniquement et me lèche maladroitement les couilles et l'anus, trop occupée à son plaisir pour se concentrer sur le mien. Cette position me permet d'écarter son cul et d'observer la grosse bite d'Éric la besogner. Lui et moi échangeons des regards complices et assénons des claques sur la paire de fesses charnues qui est le centre de nos attentions. Chacun des coups de boutoir d'Éric dans le cul de Chrystel a pour effet d'enfouir un peu plus la tête de la belle entre mes couilles et les draps du lit. Je la sens saliver sur mon entre-jambes et ses gémissements se font de plus en plus étouffés. Tous les trois sommes au comble de l'excitation.
Je suggère alors que l'on fasse une double pénétration, en guise de bouquet final. Chrystel est éreintée, mais elle est curieuse de découvrir cette sensation qu'elle soupçonne divine. Elle se place sur Éric qui la baise dans la chatte; j'introduis aisément ma bite dans son cul rendu accueillant par le travail « en profondeur » d'Éric. Nous la baisons de concert ce qui la transporte au septième ciel. Après nous avoir encouragé, elle nous supplie d'arrêter dans un fou rire nerveux, l'accumulation de sensation très fortes l'ayant réellement épuisée. Pressé, Éric repartira sans avoir joui, probablement davantage mû ce soir là par le souci de performance que par celui de son propre plaisir.
Nous avons revu Éric quelques semaines après. Il est passé à la maison tard après le boulot et est reparti très vite,après avoir baisé Chrystel. Nous ne l'avons pas revu ensuite, son boulot l'ayant amené à quitter la région, mais nous sommes toujours en contact à ce jour...
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