Les histoires libertines d'un trentenaire

 Justine, à quatre pattes sur le bureau, devait se contorsionner pour pouvoir sucer son élève qui demeurait debout à côté. Elle avait le cul troussé en l'air et les épaules au raz du bureau, ce qui mettait en valeur ses fesses assez charnues sublimées par sa belle cambrure. Mohamed lui avait planté à nouveau le bâton de colle de Jordan dans le cul. Comme le bâton restait en place tout seul, il pouvait se consacrer entièrement à lui caresser les fesses et lui agacer le clitoris en bon connaisseur de l'anatomie féminine qu'il était. Jordan, quant à lui, était tout à son nouveau rôle de réalisateur de film pornographique. Il tournait autour du bureau avec son téléphone portable dernier cri en mode caméra. Kevin, très dominateur, tenait Justine par les cheveux d'une main, imprimant son rythme à la fellation qu'elle lui prodiguait et faisant régulièrement des commentaires humiliants à son égard. Comme elle se plaignait du fait qu'elle avait du mal à prendre sa bite en bouche, Kevin lui apprit que la queue de Mohamed, bien que moins longue que la sienne, était encore plus large. « Ferme ta gueule et pompe », conclut-il sobrement. Elle avait toujours considéré qu'il y avait quelque chose de pervers dans l'attitude de Kevin en classe ; contrairement à Mohamed, il n'était pas franc du collier et ne lui inspirait pas confiance. Qui plus est, il se savait très mignon et avait tendance à abuser de son potentiel de séduction sur ses petites camarades de classe, avec lesquelles il se comportait en vrai macho. Bref, devoir pomper ce jeune abruti ne l'enchantait guère, même s'il fallait reconnaître qu'il avait de sacrés qualités physiques : un tel chibre sur un corps adolescent avait quelque chose d'incongru et d'objectivement très excitant, nonobstant la personnalité de Kevin. Cette contradiction apparente était renforcée par les traits particulièrement fins et presque enfantins du visage de Kevin. Bref, il était de cette espèce d'hommes qui font facilement tourner la tête des femmes en n'ayant qu'un seul but, les mettre dans leur lit pour les jeter comme des kleenex le lendemain de manière à faire place pour la suivante.

  • - Au fait, demanda Jordan à Kevin, qu'est-ce que du veux faire avec ce marqueur ? Tu veux lui mettre dans le cul, c'est ça ?

  • - Non, je vais lui faire comprendre comme c'est humiliant d'avoir un 0/20. Elle est pas prête d'oublier et nous, on va bien se marrer.

  • - Kevin, je suis prêt à passer l’éponge sur cette histoire de zéro, si vous vous conduisez de manière plus respectueuse avec moi, tenta Justine.

  • - Ah, comme ça tu ne veux plus partir, lui fit remarquer Mohamed. Ça y est, tu es bien avec nous ! Ne t'inquiète pas, nous sommes doux comme des agneaux !

  • - Pas question de négocier quoi que ce soit, tu as bien mérité ton zéro pointé, dit Kevin. Allez, fais voir ton cul.

  • - Kevin prit le marqueur et fit le tour du bureau, muni du marquer indélébile dont Jordan se servait habituellement pour couvrir le lycée et son quartier de graffitis. Il retira le bâton de colle du cul de sa prof et lui écarta les fesses, sous les yeux attentifs de ses deux potes.

  • - Vous avez vu comme son cul s'ouvre les gars ? Vous voyez où je veux en venir ?

  • - Putain trop fort Kevin, dit Momo dont l'esprit fonctionnait plus rapidement que celui de Jordan qui n'avait toujours pas compris mais n'osait pas le dire.

L'anus distendu de Justine s'ouvrait et se fermait sans qu'elle ne le contrôle plus vraiment. Kevin relâcha ses fesses et inscrivit /20 sur la fesse droite de Justine. Lorsque Justine vit son cul reflété la vitre de la porte d'entrée de la classe, elle comprit à son tour que son anus béant ferait office de zéro. Elle était humiliée, mortifiée par la honte.

  • - Alors, tu mérites combien, salope? Demanda Kevin.

  • - Ce ne sont pas les élèves qui notent! Je vais prévenir le CPE !, proteste Justine.

  • - Tu veux te retrouver sur Youtube, toi! Allez, évalue-toi, salope!

  • - C'est bon, mets-moi 0/20 Kevin, j'ai compris...

  • - Bon, c'est bien... mais là, tu n'as qu'une toute petit bulle de rien du tout. Alors prépare-toi, parce que je vais te casser le cul jusqu'à ce que ta rondelle soit bien ouverte ! Ensuite on prendra des photos et gare à toi si tu dis quoi que ce soit sur ce qui s'est passé dans cette salle.

Après avoir enfilé une capote, Kevin grimpa sur le bureau et l'encula sans prendre de précaution particulière, comme un novice de manière saccadée et en enfonçant violemment son énorme bite adolescente jusqu'à la garde à chaque coup de reins. Elle commença par crier de douleur, mais une chaleur dans le bas ventre prit peu à peu le pas sur cette douleur initiale qui s'estompait à mesure que son anus se détendait. Ses cris changeaient progressivement, se faisant saccadés et plus aigus. Momo lui dit de fermer sa gueule parce qu'on ne s'entendait plus bavarder dans la classe... pour être certain qu'elle mettrait son injonction à exécution, il sortit sa grosse bite circoncise et la lui fourra dans la bouche. Le visage écarlate de honte, elle entama des va-et-vient sur le membre hors normes de son élève, si odorant qu'il lui donna la nausée. Elle avait toujours trouvé Momo très mignon, bien que parfois désagréable en classe et trop sûr de lui. Pour autant, jamais elle n'aurait imaginé devoir le sucer, qui plus est dans de telles circonstances. Elle se retrouvait ainsi prise entre deux ados en rut qui poussaient tellement profondément leurs avantages qu'ils semblaient vouloir faire en sorte que leurs bites se rejoignent quelque part entre sa gorge et son rectum. En un mot, c'était la « compète » entre nos deux complices, et la cadence devint vite infernale. Comme elle sentait le plaisir monter, Justine acceptait dorénavant un peu mieux son sort, bien qu'ayant toujours à l'esprit les problèmes qui ne manqueraient pas de se poser après ce viol : comment la regarderaient-ils après cela en classe? Allaient-ils en parler à leurs copains? Allaient-ils mettre en ligne des photos ou vidéos, sur Youtube, sur MySpace ou sur un blog? Son esprit divaguait sur ces questions essentielles lorsque Jordan, resté en retrait jusqu'alors, se contentant de regarder et de prendre quelques souvenirs avec son téléphone portable, remarqua le changement d'attitude de Justine. En effet, absorbée par ces réflexions hautement sérieuses, Justine s'était presque instinctivement cambrée au maximum de ses possibilités, les reins cassés et son cul charnu tendu vers Kevin qui avait saisi avec fermeté ses flancs afin que Justine ne puisse se soustraire à son opération de démolition anale.

  • - Mais c'est qu'elle aime ça la salope!, dit Jordan.

  • - Eh comment! Répondit kevin, tout en faisant une pause purement technique dans ses va-et-vient. Avec ce que je viens de lui mettre! Elle doit pas avoir l'habitude de se faire troncher comme ça!

Tous s'étaient mis à se foutre ostensiblement de sa gueule à grand renforts d'insultes de cour de récréation. Ils étaient parvenus à leurs fins, en soumettant à leur bon vouloir leur prof d'ordinaire trop autoritaire d’après eux. Le fait qu'elle montre des signes de plaisir à se faire baiser le cul malgré sa fierté révélait qu'elle avait perdu le contrôle de la situation mais aussi le contrôle d'elle-même.

  • - De retour à la réalité, Chrytel cessa brusquement de pomper Mohamed et lâcha d'un ton péremptoire:

  • - Bon maintenant, fini de s'amuser les loulous. On arrête tout et je fais une croix sur ce qui s'est passé parce que vous n'êtes pas de mauvais garçons, au fond. Ça restera entre nous, il n'y aura pas de sanctions, je vous le prom....

  • - Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que Momo lui carra son gros gland jusqu'à la glotte.

  • - Putain Momo, un peu de respect! dit Jordan. Laisse- la finir! C'est vrai, quoi, on ferait peut-être bien de filer...

  • - Tu rigoles ou t'es un bouffon? T'as pas compris qu'elle kiffe la queue, cette bourge ? Elle fait son cinoche histoire de dire, trancha Mohamed. S'adressant à Justine, il ajouta : Bouge ton gros cul, salope! Je veux te voir bouger ton cul sur la bite de mon pote!

  • - Justine tardant à réagir, Momo lui asséna une série rapide de claques sur les fesses en criant « Allez! Allez! Je veux voir bouger la graisse de ton gros cul! Bouge sur sa bite! ».

Justine, le visage rouge de honte, se mit à dandiner maladroitement son postérieur tout en proférant des grognements de protestation, tandis que Jordan commençait lui aussi à la fesser énergiquement d'une main, le mobile en mode vidéo dans l'autre. Momo, qui tapait lui aussi sur son cul à un rythme toujours aussi soutenu, s'esclaffa :

  • - Tu nous fais quoi, là? La danse du ventre version salope à quatre pattes? Empale-toi sur lui! Je veux entendre ton gros cul claquer sur son ventre! Allez!

Écarlate, Justine réagit à cette injonction en suçant Momo de plus belle, puis elle trouva la cadence et le geste adéquat pour s'enculer elle-même sur le membre de Kevin. Afin de faire remarquer à tous ainsi qu'à la vidéo le changement d'attitude de leur prof et pour bien montrer qu'il ne faisait rien, Kevin lâcha les hanches de Justine et leva les bras en l'air à la manière puérile d'un footballeur tentant de se disculper à l'occasion d'une obstruction, tandis que Justine continuait à donner des coups de fesses énergiques en arrière. Momo, qui aimait bien mener la danse et qui était peut être aussi au bord de l'explosion, interrompit la gâterie à laquelle il avait droit en empoignant Justine par les cheveux et en dégageant son sexe. Kevin ayant brutalement repris les choses en mains, rattrapé par sa nature fougueuse et dominatrice, des cris stridents sortirent à son corps défendant de la bouche ainsi dégagée de Justine.

  • - T'excite pas comme ça! Arrête de faire ta morfale! Je te promets que c'est pas la dernière fois que tu as le goût de ma queue dans ta bouche, alors vas-y doucement...Quand tu sortiras d'ici, tu sentiras la bite, je te le garantis, ma salope, dit Momo. J'ai pas pris de douche après le cours d'EPS de ce matin, tu dois apprécier, comme tu as l'air d'être une connaisseuse! Et avec ça, tu pourras te toucher chez toi pendant plusieurs jours en pensant à ma queue! Une odeur pareille ne part pas à la première douche, ne t'inquiète pas...

Tandis que que Justine commençait à s'excuser de la promptitude de ses mouvements buccaux dans un langage châtié, le jeunot lui passait son gland sur le visage en insistant sur ses narines et en faisant mine de vouloir y fourrer sa bite. Justine, qui était plus écarlate que jamais, avait les yeux révulsés et poussait dorénavant de petits cris ridicules dont la cadence était rythmée par les coups de reins lents mais profonds de Kevin, qui semblait vouloir passer sa vie dans son cul. Mohamed, hilare, reprit :

  • - Tiens, d'ailleurs, mes potes et moi on s'est dit que tu apprécierais sûrement de lécher les bourses de Jordan et moi, parce qu'on a tous les deux la particularité d'être boursiers... en signe de compassion pour les jeunes défavorisés que nous sommes, tu peux bien faire ça! La promotion de l'égalité des chances, tu connais ?

Momo joignit le geste à la parole, empoignant ses couilles et les fourrant dans la bouche de sa prof, qui les goba avec délectation malgré leur odeur forte de mâle en rut et leur goût particulièrement musqué. Une fois ses attributs imbibés de salive, notre lascar reprit son jeu favori qui consistait à se frotter contre le visage de Justine. Il le fit comme un animal et elle frotta son visage contre ses couilles comme une chatte en chaleur, excitée par les effluves de testostérone dégagées par les parties génitales de son élève. Il laissa sa place à Jordan qui sortit d'énormes couilles pendantes de son caleçon, refila son portable à Mohamed, agrippa Justine par les cheveux d'une main et lui présenta ses bourses gonflées de l'autre. Malgré leur odeur, Justine les lécha, en prit une en bouche, puis l'autre. Cette paire de couilles de taureau en rut n'étaient pas sans lui faire quelque effet bien qu'elles soient surmontées pour le coup d'un pénis de taille moyenne, elle était bien obligée de se l'avouer. Jordan, qui était un sentimental, se baissa pour l'embrasser à la manière d'un ado prodiguant son premier baiser, à grand renfort de coups de langue et de salive à l'odeur de tabac ; il la léchait maladroitement tout autour de sa bouche, ce qui était à la fois désagréable et touchant. Momo rappela les tourtereaux à la réalité avec l'habituelle subtilité qui le caractérisait :

  • - Eh Jordan, t'es dégueulasse ! Elle arrête pas de sucer des queues depuis tout à l'heure et toi tu lui roules des pelles comme dans « Les feux de l'amour »! Ça craint !

  • - Ah ouais, putain, j'suis con moi ! T'as raison, mais je voulais trop l'embrasser cette meuf. Je la kiffe depuis le premier jour de la rentrée, elle est trop bonne bonne, répondit Jordan qui décidément était le plus tendre de la bande.

S'adressant à Justine, ce dernier reprit :

  • - S'cuse moi Madame, la vérité, j'vous trouve trop belle.

Justine, qui trouvait cette déclaration d'amour aussi attendrissante que saugrenue, se contenta d'un sourire en réponse. Momo commençait naturellement à charrier son pote quand Kevin, ralentissant la cadence, lui dit :

  • - Putain Momo, vient filmer ça... j'crois qu'c'est bon, j'lui ai mis sa bulle, regarde ! Mort de rire !

Il se retira alors du cul de Justine, sauta en bas du bureau, se mit de côté et lui écarta ses fesses au maximum. Elle avait l'anus béant. L'inscription sur sa fesse droite intacte et on pouvait toujours lire le « /20 », qui, adjoint au trou du cul ouvert, donnait le fameux 0 /20 qu'elle méritait d'après Kevin. Momo filma et prit en photo la scène, puis la montra à Justine.

  • - Alors salope, il va falloir être sage maintenant pour remonter ta moyenne avec ça !

  • - Arrête un peu Mohamed, répondit Justine qui baissait les yeux et était rouge comme une pivoine. Arrête ce jeu débile, tu mérites mieux. Elle se tut un instant, puis reprit : viens plutôt me baiser, j'ai la chatte en feu avec vos âneries. Et puis je ne crois pas que je mérite cette note quand même !

  • - Ah ! Ça y est ! Enfin tu te décoinces ! Dit Momo. Répète un peu ce que tu viens de dire, je voudrais être sûr que tout le monde a bien entendu...

  • - Je t'en supplie, viens me baiser, j'en peux plus. Et puis j'en ai marre de me faire enculer. J'ai une chatte, moi ! Allez, soit sympa... s'il te plaît, Mohamed...

  • - Bon, puisque c'est demandé gentiment, ça ne se refuse pas. Je peux prendre le relai, Kevin ?

  • - Bien sûr je t'en prie, fait comme si c'était ta putain mon pote. On partage tout, tu sais bien.

Après avoir tapé dans la main de Kevin et échangé avec lui un clin d'œil appuyé, Mohamed grimpa sur le bureau et se dressa au dessus de la croupe de Justine. Il enfila un préservatif d'une main experte et, tout en se masturbant, glissa deux doigts dans son anus dilaté.

  • - Non, pas là Mohamed, s'il te plaît ! Tu m'as promis ! S'insurgea Justine.

  • - Tu prends tes désirs pour des réalités, je ne t'ai rien promis du tout ma belle, lui répondit-il. Puis, s'adressant à Jordan, il dit : tu sais pas où on pourrait trouver un truc genre le tube de colle mais en plus gros ? Ce faisant, il fourra sa queue dans la chatte de Justine qui arrêta immédiatement de protester, malgré les doigts plantés fermement dans son cul.

  • - Heu... attends... je crois avoir vu quelque chose dépasser de son sac à mains... Voilà, c'est un aérosol de déodorant. Il est pas très gros, mais toujours plus gros que le bâton de colle. Ça devrait aller. Tiens mon pote !

Mohamed prit le vaporisateur, crachat sur le cul de Justine et le glissa dedans, lui arrachant au passage des cris de douleur tant l'objet était large. Heureusement que je ne prends avec moi que le petit format, se dit-elle. Ils sont capables de tout, ces salops; ils n'ont vraiment pas d'éducation.

Le bougre n'en resta pas là : il la baisa simultanément dans la chatte. Justine, doublement pénétrée, en bavait : la rigidité de l'aérosol ainsi que sa froideur étaient extrêmement désagréables et chaque coup de reins de son élève ayant pour effet d'enfoncer le succédané de gode dans son cul en même temps que son énorme bite, elle avait vraiment mal.

  • - Ça fait trop mal Mohamed... arrête ça je t'en supplie... a la limite, je préfère deux queues que d'avoir ce truc dans mon cul en même temps que tu me baises !

  • - OK, pour une fois on va faire ce que tu demandes. Comme quoi nous savons nous comporter en vrais gentlemen. Par contre, je veux essayer ton cul personnellement. Je ne suis pas sûr que tu gagnes au change parce que ma bite est beaucoup plus large que ce déo ridicule. Qui est-ce qui s'y colle dans sa moule, les gars ?

  • - Moi, dit naturellement Jordan. J'ai encore rien fait et je rêve de la baiser !

  • - OK. On va se mettre par terre, ça sera plus pratique. Toi salope, mets toi à poil pour de bon pour qu'on ait le champ libre, parce que l'exercice qui suit est assez technique. Tu peux garder tes bas si tu veux, ça gêne pas. On va te faire grimper aux rideaux de la classe, je te préviens ! Va falloir t'accrocher...

  • - T’emballe pas Mohammed, j’en ai vu d’autres, répondit Justine tout en enlevant sa jupe de tailleur. Cesse tes vantardises, elles ne te grandissent pas, reprit-elle en l’enlaçant et en essayant de lui arracher un baiser.
Lun 2 mar 2009 Aucun commentaire